dimanche 27 novembre 2016

Les enfants qu'on tue



Je suis fou de mes fils ! Oui, fou, je crois ! Je suis devant eux comme un gamin devant une vitrine de jouets avant Noël !
Quand je pense à eux, une vague de tendresse et de joie m'envahit...
Je les admire, je suis tellement fier d’eux, j'ai envie de les embrasser, mais je me retiens, car je sais que je les emmerde !
Oh, je sais qu'ils ont des défauts, mais ils sont tellement tendres, tellement... Tout !

Que de souvenirs ! Que d'inquiétudes ils m'ont donné, lorsque parfois ils ont frôlé la mort ! Jamais je n’ai eu de si grande peur que pour ces petits bouts d'choux, même quand j’étais au cœur des fusillades les plus nourries...

Perdre la vie n'est rien... Mais perdre la vie de ses enfants serait la pire des choses... Et je sais que certains l'ont vécu, hélas...

Quelle chose terrible doit être ce genre de disparition !...
Je ne sais si je saurais survivre à cela...

Mais l'actualité, nous montre... Comment les appeler ?...
Des monstres, oui ! des monstres qui tuent des enfants, qui tuent leur enfant... Je frémis d'horreur, de dégoût et de haine, envers ces pervers... Notre démocratie les condamne légèrement, les considérant comme des malades... La perversité n'est pas une maladie ! C'est ce qui est le plus noir au fond de l'humain !

Je considère alors que ces monstres devraient être éradiqués, éliminés à jamais !

Oui je sais je vais m'attirer les foudres des mollassons « contre » la peine de mort ! A ceux-là je dis : Vous pouvez passer votre chemin ! Vous ne me convaincrez pas ! Alors, abstenez-vous de tout commentaire du haut de la tour d'ivoire de vos principes pseudo-humanistes ! Vous pouvez garder pour vous votre prosélytisme angélico-naïf !

Les enfants sont ce que nous faisons de mieux ! Couvrons-les d'amour, ils ne sont pas faits pour être assassinés...






zalandeau, le vendredi 11 septembre 2009





Petite enfant charmante
  Victime de l'indicible
  Toi si innocente
  Que je n'ai pu protéger


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