lundi 29 septembre 2014

PAS EN MON NOM !

Écrit en septembre 2014 

Au milieu des années 60, en France métropolitaine, nous avions de plus en plus d’immigrés Maghrébins, qui venaient faire le travail que nous avions en trop et comme par hasard le travail le plus pénible ou le moins valorisant. En général ils étaient manœuvres sur les chantiers. Quand parfois leurs épouses uniques étaient là, elles étaient habillées un peu comme les femmes corses, en noir, mais sans aucun signe ostentatoire, les cheveux au vent, comme tout le monde. Quand elles portaient un fichu, c’était à la manière des Vamps, c’était aussi comme le portait ma mère pour se protéger des coups de froid de l’hiver.
Les hommes étaient toujours habillés en costumes d’occasion, souvent défraichis, usés qui traduisaient leur envie de s’intégrer, même si leurs conditions de vie étaient très modestes.

Mon père avait des copains harkis, considérés comme traitres par leurs compatriotes et que la France a si peu considérés malgré les immenses services qu’ils lui avaient rendu. Ils aimaient la France, ils se considéraient comme Français d’un département d’outre-mer, ni plus ni moins. La génération de mon père et eux avaient souvent fait ensemble la guerre contre l’Allemagne, un sentiment d’estime mutuel les rapprochait.

Je faisais mes humanités sur les bancs de l’éducation nationale et pétri de Rousseau, Voltaire, Balzac, Zola, je considérais les Maghrébins comme des êtres humains semblables à moi. J’étais révolté lorsque des rapatriés tendance OAS brûlaient les bidonvilles autour de Nice.

Au milieu des années 60 il y avait une émission sur France Inter, le soir. La voix métallique du narrateur nous comptait des récits de voyages dans cette Afrique mystérieuse qui nous faisait rêver. Il rapportait les descriptions d’explorateurs, d’anthropologues, de missionnaires et aussi de romanciers indigènes. Tous décrivaient l’islam comme une culture de paix, d’accueil, d’hospitalité et de tolérance.

J’admirais également des moines du clergé catholique régulier et certains prêtres du clergé séculier, comme l’Abbé Pierre ou l’abbé Ferret de ma paroisse, qui disaient les mêmes choses, proclamaient les mêmes valeurs que l’Islam, sur la charité, sur la fraternité, sur la paix et l’amour de son prochain.

A tel point que je me demandais pourquoi il y avait deux religions, là où il y aurait pu n’y en avoir qu’une seule…
………..
Bien des années ont passé depuis. Les flux migratoires non maitrisés ont multiplié les provenances musulmanes des immigrés, venus pour ne pas faire le travail que nous n'avions plus et qui faute d’intégration, formèrent un communautarisme confessionnel, lequel par définition ne s'intègre pas, parce qu'aucune condition n'est réunie pour ce faire...
L’islam a vu naitre des renégats en son sein, qui prêchent la haine, le génocide, la cruauté, l’intolérance impitoyable, la suppression des libertés… Des gens qui se sont emparés d’une religion comme alibi à leurs mobiles personnels de pouvoir et de conquête…

Les musulmans se réclamant de l’islam ne disaient rien. Peut-être n’en pensaient-ils pas moins en leur fort intérieur ? Nous, indigènes de France, de culture judéo-chrétienne et gréco-latine commencions à nous poser des questions sur la globalité du monde musulman, devant tant d’indifférence apparente, tant de silence…
……….
Et puis, il y a eu en septembre 2014 « PAS EN MON NOM », une levée en masse, une indignation immense qui déchirait le voile de son indifférence apparente, un cri de tout un peuple, musulmans de France, contre les exactions de l’état islamique, contre l’intolérance, contre la barbarie. Ce mouvement exprimait haut et fort par de nombreux écrits dans les journaux, son envie de coexister pacifiquement dans cette nation multiconfessionnelle et surtout LAÏQUE… Ecrit par un collectif dans le Figaro :
« Nous, Français de France et de confession musulmane, tenons à exprimer avec force notre totale solidarité avec toutes les victimes de cette horde de barbares, soldats perdus d’un prétendu Etat islamique, et dénonçons avec la dernière énergie toutes les exactions commises au nom d’une idéologie meurtrière qui se cache derrière la religion islamique en confisquant son vocabulaire. »

Mais ce mouvement sera-t-il le plus fort et saura-t-il enrayer l'intégrisme qui continue à progresser inexorablement ?

Si Dieu le veut, Inch Allah… Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
..........
Écrit en 2015 :

Hélas ! l'année d'après, en 2015, un rassemblement à dominante islamo-gauchiste avec pour nom "PAS EN NOTRE NOM", (un seul mot de différence), vient supplanter le précédent mouvement par un appel à l'immigration incontrôlée sans frontière, une victimisation des immigrés (même de ceux de longue date), affichant une communautarisation débridée qui ne dénonce plus la barbarie islamiste extrémiste, n'ayant plus rien à voir avec les "Français de France de confession musulmane", effaçant ainsi toute tentative d'intégration... Et pourtant, ce mouvement (Pas en notre nom), avait débuté en 2002, par une opposition à la guerre en Irak... Mais en 13 ans, elle avait dégénéré en important en France les problématiques politiques des pays en guerre au moyen orient... Et cela, malgré le fait que nous ayons refusé de participer à la guerre en Irak... La France n'a pas fait la guerre en Irak, mais elle se retrouve en 2015 avec l'importation de cette guerre sur son territoire... L'islamogauchisme commence alors à prospérer...
   
 

vendredi 26 septembre 2014

Indifférence

Écrit le 26 septembre 2014
 
L'indifférence est un concept vaste qui recouvre des intentions très variées.

Il y a la vraie indifférence, celle de ceux très nombreux qui se fichent pas mal de certaines choses ou même de tout ce qui peut se passer autour d'eux. Ce sont des gens non-motivés, bien sur, mais qui comprend un sous groupe d'égoïstes, dont l'intérêt est tellement égocentrique, qu'il en exclut toute compassion ou toute empathie pour tout ce qui n'est pas soi. Pour ces derniers, l'autre n'est rien, sauf s'il rentre dans le jeu de leurs intérêts propres.

Il y a l'indifférence apparente, simple maîtrise de soi, voire même forme de pudeur ; on ne va pas aller tout casser dans la rue ou brailler par simple solidarité avec celui qui s'est fait décapiter en Algérie, au motif qu'il faut montrer une indignation alors qu'il n'y a pas de manif à portée de main permettant ce genre de défoulement. Mais cela n’empêche pas d'en parler, d'y penser et d'éprouver des sentiments vifs.

Il y a l'indifférence feinte, qui est de la peur déguisée, sorte de masque, sorte de surdité, de cécité bien commode pour ceux qui n'interviennent pas quand ils pourraient éviter un harcèlement, un viol, sauver quelqu'un.

Il y a enfin l'indifférence issue de la volonté d'adhésion à la pensée unique, voire au politiquement correct. Et cette indifférence là, englobe toutes les trois formes précédentes : égoïsme et intérêt, peur de se démarquer et la maitrise de soi qui en découle. Ce sont les gens qui veulent faire carrière sans vague, sans déplaire, en préservant l'entièreté de leur avenir. J’appellerai cela : L'indifférence courtisane... (Les lèche-culs, quoi !)...

Beaucoup d'entre nous se reconnaitront...
   

mardi 23 septembre 2014

Organiser, prévoir, informer



J’ai commencé par toi, mon Nono. Il fallait bien que je m’y mette. Juste pendant le trajet pour aller à ton code.
Je crois que j’ai bien dosé, pas trop stressant, disons light. Je suis content d’avoir eu ce courage (car Dieu sait que ce n’est plus ma caractéristique principale) et surtout, d’avoir eu cette inspiration, qui m’a fait parler comme j’écris (ce qui devient bien plus rare avec la désorganisation de mes pensées).
Et je suis content d’avoir su être si bref et concis et surtout que tu m’écoutes, car tu es celui avec lequel j’ai le plus grand mal à communiquer. Peut-être ton adolescence tardive ?
J’espère que tu auras compris qu’il y a maintenant urgence à prendre ton envol, aussi bien dans ton intérêt que dans celui de ta mère.
D’ici un certain temps, je t’en remettrai une couche, mais là, avec des faits plus précis.

En attendant, il faut que j’entretienne ton grand frère Toto, sur le même sujet. Mais je crois que je serai moins light avec lui qu’avec toi, car je pense qu’il est sur un petit nuage et que cela nécessite plus de puissance dans le propos pour l’en faire redescendre. Et pour lui, il y a urgence, car sa nonchalance l’a placé hors circuit. On n’embauche pas les gens qui sont sans travail depuis longtemps. Oui, je vais être un peu, voire beaucoup plus percutant, je crois.

Quant à Kikson, je ne sais que lui dire. Il travaille comme une brute pour des clopinettes. Il a énormément de mérite et je ne puis décemment lui faire aucun reproche. Je ne peux que lui recommander de bien veiller sur toi, ton frère et votre mère. Car c’est vraiment lui qui est votre Grand frère Poule et fils poule aussi (par analogie à Papa poule). Maintenant il lui faut aussi à très court terme parvenir à payer son électricité et tous ses loyers, mais je le lui dirai de manière light, il comprend à demi-mot, ton aîné, car il a l’intelligence du cœur…

lundi 22 septembre 2014

Gaffe ! Autre arnaque téléphonique à éviter !

Je n'ai pas envie d'écrire  pendant que vous allez vous faire dorer la pillule. Hé bien pour aujourd'hui, c'est moi qui vais aller profiter du soleil que je vois par la fenêtre...
Et malgré tout si je peux empêcher kek'uns de se faire escroquer, copié-collé à lire :

> Objet: Tr : Attention n° de tel à 315 EUR
>
> > Changement de n° de téléphone à faire suivre
> > En France maintenant beaucoup de N° de téléphones commencent par 09...mais
> > il n'y a que 10 chiffres.
> > L'U.F.C. QUE CHOISIR, organisme très sérieux, demande à ses adhérents de
> > faire circuler le message suivant :
> > Une lettre est déposée à votre domicile par la compagnie PDS -service de
> > colis- indiquant qu'ils sont dans l'impossibilité
> > de livrer un colis et que vous devez les contacter au : 09 06 66 11 911
> > N'appelez pas ce numéro à 11 chiffres !!!
> > Il s'agit d'une arnaque émise depuis le Belize (Amérique Centrale).
> > Si vous appelez et que vous commencez à entendre le message enregistré,
> > vous serez immédiatement facturé de 315 EUR pour cet appel !
> > Je fais suivre, faites-en de même.
>

samedi 20 septembre 2014

Sarkozy le retour ?




Il y a des gens qui disent « il ne faut pas insulter le président en exercice »… Quand il est mauvais, on a quand même les gros mots qui nous démangent la gorge !

Mais alors quand il s’agit d’un type qui ne l’est plus (président) alors j’ai le droit de dire que cet e....é n’a pas compris qu’on le hait, qu’on le déteste, que c’est un pourri machiavélique que l’on voudrait voir griller en enfer… Manque de pot, c’est que c’est lui le diable et que même en enfer il y serait parfaitement bien, parce qu’il est le maitre du mal.

Cet être pervers est traqué de partout par la justice sur de nombreuses affaires où il a fait tout ce qu’un homme politique dépravé, corrompu, corrupteur, malhonnête peut faire. Mais il a déjà réussi à passer au travers de Clearstream en tendant un piège à Renaud Van Ruymbeke et c’est le juge intègre qui a morflé !

Cette pourriture a des soutiens partout y compris dans la magistrature. Comment dès lors, imaginer que le jugement des hommes puisse un jour le coincer quand il suffit de trouver une date fausse, ou une faute d’orthographe pour qu’un avocat véreux fasse jouer le vice de procédure et innocente le plus coupable de tous les Français depuis Pétain ?

Cependant l’instruction des procès est longue et malgré tout, au fond de lui, le nabot pervers balise. Et s’il y en avait un qui le chopait ?

Accéder à la présidence en 2017 serait sa planche de salut et il pourrait ainsi jouer à chat perché pendant un quinquennat, à l’abri des poursuites, en faisant muter les juges d’instruction à Sainte Hélène à moins que la retraite anticipée, l’accident ou la suppression de leur fonction soient des options de la sauvegarde présidentielle…

Alors pourquoi être revenu en 2014, 2ans et demi avant que nécessaire ?
Bien entendu, il lui faut réorganiser sa bande de crétins qui se bouffe le nez depuis son départ, il lui faut ré-instiller des promesses mensongères pour rallier des électeurs désespérés en recherche de planche de salut…
Mais surtout, il veut montrer à la justice qu’il revient et qu’il va parvenir à réussir. Il veut les impressionner, leur faire peur. Les juges ne sont que des hommes. La perspective de sortir du tribunal pour rentrer chez eux leur mettra une boule au ventre, la perspective d’être exclus de la magistrature et marginalisés fera retomber leur ardeur au service de la justice.

Voilà ce qui se trame, voilà le terrible enjeu de ce despote. Il est soutenu par la fraction de la population qui vit de la mondialisation, du libéralisme, des privilèges du système.

Je dis aux paumés : Ne placez pas vos espoirs dans cet homme, il ne fera rien pour vous.

Nous sommes 62 % de la population, masse populaire des exécutants, tous grades confondus. Nous sommes ceux qui fabriquions, qui inventions, qui construisions, mais dont la caste Sarkozyenne n’a plus besoin, parce qu’avec l’UE, la mondialisation, l’ouverture des frontières, ils peuvent vivre bien sans nous.

Alors ne leur donnez pas vos voix, vous voteriez pour le camp opposé, le camp des possédants qui n’a besoin de vous que dans les isoloirs (pour le moment, mais ils vont bientôt changer cela)…

Sarko revient, c’est une mauvaise nouvelle, aussi mauvaise que la continuation d’un état libéral-socialiste Hollandiste, pas plus préoccupé par la précarisation du peuple Français…
L’un (Sarko) comme l’autre (le PS) en parlent beaucoup, mais l’un comme l’autre ne font rien pour le peuple, continuant à servir la caste possédante…

La chasse au gnome malfaisant est ouverte, ainsi que celle au culbuto !

jeudi 18 septembre 2014

La conférence de presse nulle de l’actuel Président



Pathétique, c’est le seul mot que je vois pour qualifier des réponses à coté de la question, du genre éculé « tu viens avec tes questions, je viens avec mes réponses ».

Continuum des anaphores qui font de plus en plus penser à une sorte de méthode Coué.
Affirmations mensongères du genre j’ai fait… La réforme territoriale serait faite ? NON, ce n’est pas vrai. Rien n’est vrai, dans toutes ces affirmations incantatoires à part le mariage pour les homos, ce dont l’immense majorité des Français n’a rien à foutre.
Est qu’un seul des 62% de Français des classes populaires marginalisées en a quelque chose à faire du Mariage Gay ?

Est-ce que les millions de Français des zones périurbaines ou campagnardes, sans emplois peuvent adhérer à ces jérémiades qui ne leur donnent aucun espoir ?

Est-ce que les millions de Français qui ont fui les banlieues devant une immigration communautariste non maitrisée pour aller vers des zones éloignées des centres d’intérêts de la république peuvent se satisfaire d’un discours si piteux ?

Est-ce que les jeunes Français, travailleurs précaires, sous-rémunérés ou chômeurs, au spectacle de cette république qui ne s’occupe que des gens profitant de la mondialisation, applaudiront à ce constat d’échec et même d’impuissance ?

Est-ce que la vue de ces politiciens, de ces hommes de partis gouvernementaux, malhonnêtes, menteurs, uniquement préoccupés de leur sort personnel, intoxiqués à l’argent, au pouvoir et aux privilèges, pourrait ne pas pousser la majorité des jeunes vers le seul parti qui puisse déraciner les actuels buveurs de sang de la république. C’est l’attitude de l’UMPS, c’est l’indécision du PS, c’est l’ignorance de l’existence du peuple, c'est l'abandon des valeurs de la république qui poussent les électeurs vers un choix opportuniste. Mais à l'évidence, le président n'y a encore rien compris...

La vue de la conférence de presse de ce 18 septembre, n’est aucunement de nature à donner de perspective à un peuple Français abandonné par ses élites, tout au contraire.

Tout mouvement de contestation pourra être le prétexte de débordement, lorsque le mouvement de rejet entrera en phase de résistance et pourquoi ne pas l’espérer, de révolte…

tr: Déjà 130.000 signatures !

> Message du 18/09/14 10:36
> De : "Ligue des Conducteurs" <newsldc@liguedesconducteurs.org>
> A : "Marceglin" <marceglin@orange.fr>
> Copie à :
> Objet : Déjà 130.000 signatures !
>
>Déjà 130.000 signatures !
> Chère Madame, Cher Monsieur,
>  
> En quelques jours, 130.000 personnes ont déjà signé notre pétition contre les nouvelles mesures répressives sur les conducteurs :
> PV "à la volée", vidéoverbalisation, radars double-face,…
> Ces mesures destinées à verbaliser encore plus les conducteurs sont actuellement "à l'étude" au ministère de l'Intérieur.
> Il faut de toute urgence leur montrer que l'opinion publique est massivement contre cette nouvelle augmentation de l'impôt-routier !
> S'il vous plaît, signez immédiatement notre pétition "Non aux nouvelles mesure de répression sur les conducteurs" en cliquant ici.
> Et surtout, transférez cet email à tous vos contacts. C'est extrêmement important.
> Savez-vous que les PV électroniques rapportent déjà, en à peine quelques années, 5 fois plus que les PV classiques rédigés à la main ?
> Si demain, les PV se font "à la volée", sans arrêter le véhicule, juste en notant le numéro d'immatriculation dans la tablette numérique, c'est un déluge de PV qui va s'abattre sur nous.
> Distance de sécurité, clignotants, marquage du Stop,… les agents verbalisateurs vont se régaler !
> La circulation va devenir une gigantesque loterie pour l'Etat. Chaque jour, ce sont les numéros d'immatriculation de centaines de milliers de conducteurs qui sortiront "gagnants" du grand Impôt-routier. Et il faudra passer à la caisse. Sans moyen de discuter ou contester.
> Il est encore temps de stopper tout ça.
> S'il vous plaît, signez notre pétition et transférez ce mail. C'est votre mobilisation qui sera déterminante.
> Merci d'avance de votre aide.
> Très cordialement,
> Christiane Bayard,
> Secrétaire générale
23, avenue Jean Moulin 75014 PARIS

mercredi 17 septembre 2014

Et ça veut diriger la France !



Il est vrai que je suis toujours aussi sceptique (non, pas comme la fosse), au sujet des objectifs de nos gouvernants et en particulier de celui qui a fait son coup d’état d’alcôve, le Caudillo MANUEL CARLOS VALLS GALFETTI…

Rappel : Baisser fortement les charges des entreprises, redonner du pognon aux classes défavorisées que l’on nomme pudiquement classes moyennes inférieures et rembourser la dette… Vaste programme, comme répondait le Général à l’affirmation « Mort aux cons » de Louis Vallon…

L’embauche de fonctionnaires supplémentaires, doit certainement faire baisser la dette puisqu'ils le disent, alors que je pensais que plus de dépenses créait plus de dette, mais moi je suis un sans-dents alors j’peux pas comprendre…
Diminuer les prélèvements sur les entreprises, il parait que ça fait faire des économies (mais à qui, à l’état ? Je dirais plutôt aux entreprises, mais vu que je suis bête j’ai rien pigé)…
Redonner de l’argent aux pauvres, probablement que cela ne doit rien coûter à l’état (Ce serait financé par du blanchiment d’argent de la drogue des saisies qu’il paraît, c’est ma voisine qui me l’a dit)… Moi je n’ai rien contre, tout au contraire !... Le fisc vient même de m’envoyer un chèque inattendu de 80 € alors que je n’ai pas payé d’Impôt, c’est fantastique ! Merci Herr Valls ! (Je vais pouvoir remplacer un pneu). NDLA : C'était en 2014. Depuis ils préfèrent donner aux fonctionnaires, plutôt qu'aux retraités... 

{P’t’êt qu’il veut que j’aille porter mon chèque aux créanciers de la France ? D’la merde ! j’le garde pour moi et j’l’économise, ça lui apprendra ! Ni vu ni connu j’t’embrouille ! J’suis moins con qu’eux : le pognon ça se jette pas par les fenêtres !}

Mais toutes ces dépenses vont-elles renflouer la France qui va bientôt atteindre un déficit de 100% du PIB ? Parce que là, moi, j’ai un problème avec les chiffres… Je croyais que quand on donnait, il nous restait moins, sauf pour Jésus qui multipliait soi-disant les pains et les poissons…
Alors je me dis que :
Soit Valls est la réincarnation du Christ en France et que ses miracles vont nous sauver. Il va marcher sur la seine, il va soigner nos écrouelles, ressusciter les emplois… Alléluia ! Gloire à notre sauveur !
Soit je vais leur faire passer un petit test de culture… Tout d’abord, connaissent-ils les tables de soustraction et d’addition ???

- Monsieur VALLS, UN MOINS UN, ça fait combien ? Bon je sais prenez votre temps la question est ardue… Tic, tac, tic, tac…
- Ca fait DEUX !
- Hummm. Bon. Ce n’est pas gagné. Je vous redonne une chance. QUATRE MILLIARDS de dépenses supplémentaires PLUS QUATRE MILLIARDS de baisse de recettes, ça fait quoi ?
- ZÉRO !
- Oui… C’est bien ce que je pensais ! La bonne réponse était : un trou de HUIT MILLIARDS supplémentaire dans la caisse ! Visiblement à l’ENA, on n’apprend pas le calcul…
- Ben, non, pourquoi ? On apprend à être chef, on n’a pas besoin de compter…

- Ben dis-donc, c’est encore pire que je ne le pensais… On va passer à la culture non mathématique. CAMBADÉLIS, Ta rédaction est déjà prête ?... T’es un rapide, toi ! Bon ! Fais voir… Je la lis à voix haute pour tes petits camarades : « Jeux ma pelle Kand bat des lisses ai jé un daucteaura ai jeu suy bardai de dix-plaumes »… Ouille-ouille-ouille, c’est grave de chez grave !
- Orthographe à chier et en plus CV bidonné... T'aurais pas du fric en suisse, des fois, histoire de nous faire la totale ?

Je crois que cela se confirme : Ils ont beau être des « avec-dents », mais qu’est-ce qu’ils sont illettrés ! Je dirais même incultes… Ils ont le niveau intellectuel du sapeur Camembert : Ils veulent creuser pleins de trous pour en boucher un autre...

Et ça veut diriger la France !

Nous sommes faits de nos rêves



Quand j’étais petit (je n’étais pas grand, je montrais mon c.. à tous les passants, etc…), mon Papa dans sa volonté de bien remplir son rôle de Père avait semé en mon cerveau une idée : « Travaille bien en classe, sinon tu seras balayeur ! ».
Je fis mienne cette idée et elle fut le germe de rêves (bien que cauchemars, c’était quand même des rêves) où je me voyais muni d’un balai sans espoir d’évolution, sans espoir d’avenir. Alors dès mon réveil, j’étais motivé pour aller travailler, pour faire le maximum d’efforts dans mes études et puis plus tard dans mes différents métiers…

Et il est vrai que je fis beaucoup d’effort. Mon QI n’était que de 105 à l’adolescence, après tout et plus je montais dans le niveau de mon cursus scolaire plus c’était difficile et plus je m’acharnais.
J’avais véritablement beaucoup plus de mal que beaucoup de mes copains à comprendre certaines choses, mais toujours ce rêve de l’échec me motivait à faire le maximum malgré mes capacités moyennes…

Il y a eu quand même un avantage à cela, c’est que ce que j’ai réussi avec beaucoup d’effort, à comprendre et à apprendre, je l’ai gardé très longtemps en moi, alors que bien des collègues avaient oublié leurs acquis six mois après l’obtention de leurs diplômes…
……….
Mon enfance a été entourée de nombreux héros. Bien sur, il y avait les Robin des bois, les Zorro, les Lagardère, les Thierry la Fronde, mais aussi, des hommes bien réels comme mon Père (ce héros), de Gaulle, le Général Leclerc, Churchill, Kennedy, Jean XXIII, l’Abbé Pierre…
Au-delà de l’admiration de ces grands hommes, le rêve s’est installé. Rêve endormi ou bien rêve éveillé que tout enfant a en jouant avec ses petits soldats, en dessinant, en inventant des histoires…
Ces rêves ont façonné mes convictions, mes idéaux, ma morale au point d’accompagner une grande partie de ma vie.

Je crois pouvoir affirmer que pendant toute cette période j’ai été fait de mes rêves et que mes rêves m’ont guidé pour faire ce que j’ai été…

… Jusqu’en 2007-2008, dates de ma sortie de route cérébrale et de ma mise au rencart comme objet obsolète… Les rêves d’avant se sont enfuis, une dure réalité nouvelle se mettait en place avec ses frustrations et de nouveaux cauchemars complètement négatifs cette fois… Le rêve n’était plus moteur, il était incendie, il était explosion et pour la première fois il était le passé et non plus le futur…

lundi 15 septembre 2014

La société Française, cela n’existe plus




J’ai souvent fustigé l’espèce de fracture sociale dont l’un des symptômes les plus immédiats et visibles sont cette façon de mépriser et d’ignorer l’autre, cette façon de se considérer supérieur, cette façon de rabaisser, cette façon de snober, de parader, sur le mode « j’étale ce que je suis pour monter que vous n’êtes rien », cette façon de se regrouper par tranches très étroite simplement par le niveau de revenu.
On me rétorquera que cela a toujours existé. Bien sur. Le problème est que le phénomène s’accentue de plus en plus…

Mes arguments ne valent pas démonstration, mais quand je me replonge dans mes années de jeunesse, j’ai énormément d’exemples de la différence de comportement de l’époque par rapport aux années maudites que nous vivons…

Dans les années 56-58, alors que nous avions emménagé dans une ancienne remise de calèches retapée par mon père qui était un artisan modeste avec pas beaucoup de travail, notre voisin du dessus était directeur de banque en Afrique. Il venait en vacances tous les ans avec sa famille et nous invitait souvent à déjeuner ou pour l’apéritif. Nous entretenions des relations très amicales et faisions tous bien attention de ne pas faire de tapage ou bien alors nous nous excusions et ce dans les deux sens. J’étais l’ami, presque le frère, de leur fils qui avait un an de plus que moi…

Dans les années 59 à 69 nous avions déménagé dans une autre maison. Bien que nous fûmes les plus pauvres de l’avenue (c’était une impasse de 200 mètres de long, mais avenue cela fait plus chic dans un quartier résidentiel) avec 8 maisons dont 5 étaient de vastes propriétés très cossues). Nous nous avions la maison la plus moche et mon père était toujours petit artisan avec pas toujours assez de travail…
Mon père entretenait des relations très amicales bien qu’empreintes de respect avec un voisin, vénérable commandant de la marine marchande à la retraite, très fortuné et qui n’hésitait jamais à engager la conversation et à boire l’apéritif.

Le voisin de l’autre coté possédait au Gabon une exploitation de bois rouge et revenait plusieurs fois par an voir sa femme et ses enfants. Bien que cousus d’or, ces gens nous invitaient sans cesse, un de leur fils était mon copain, un autre était l’ami de mon petit frère. Jamais nous n’eûmes de problème de voisinage, c’était l’entente cordiale…

Le voisin d’en face… Un jour en 1959 environ, mon père et quelqu’un d’autre (oncle ou grand-père) essayaient de hisser un réservoir métal pour constituer un château d’eau… Mais la force musculaire était insuffisante… Mon père avisât le jardinier en short qui taillait la haie de la grosse propriété d’en-face et lui demandât un coup de main… Celui-ci acceptât tout de go et le travail fut fait avec beaucoup d’efforts physiques et puis une bonne bière après, à la bonne franquette… Au moment de lui donner un pourboire, le jardinier refuse… C’était lui le milliardaire propriétaire de la vaste villa d’en-face !
C’était quelqu’un de très réservé, mais ce coup de main avait brisé la glace et dès lors des relations vraiment cordiales se sont établies…

Et j’ai tellement plus d’exemples encore de ce genre de modèle social de l’époque…
Cela n’existe plus aujourd’hui et ne serait plus possible.

Les gens riches ou aisés sortaient d’années de souffrance, de ces années de guerre qui ont certainement rapprochés bien des gens. Ils ont appris à apprécier l’autre sur des critères de sympathie, de valeurs humaines, comme le travail et l’honnêteté, le courage. Bien que ces années fussent l’apogée des communistes en France, c'est-à-dire de ceux qui étaient jaloux des possédants, les possédants, eux, n’avaient aucune acrimonie envers les autres et appréciaient le modèle de société émergé dans les années d’après-guerre…

Ces gens sont aujourd'hui tous disparus et leur spontanéité avec eux...

Alors que maintenant, le possédant qui vous sourit c’est le commerçant. Le propos faussement cordial du commerçant... Sur quatre couples de gérants de magasin partis ailleurs ou en retraite et revus inopinément, seul un est resté amical, les autres nous ont ignorés royalement…
Quand aux riches actuels, ils n’émettent que méfiance, dédain envers les classes 'inférieures'…

Il y a la classe des 1000 euros, la classe des 2000 euros, des 3000, etc.… Et chacun s’enferme dans ce qui est comme une caste qui ignore celle d’en-dessous…

Comment avons-nous pu en arriver là ?

dimanche 14 septembre 2014

Suite du déballage - Arnaque à la TVA



Il s’agissait d’un Maitre d’Ouvrage, groupe Helvétique très connu et fortement implanté dans notre pays, dont le domaine d’activité est la banque et plus particulièrement la discrétion bancaire (et dont je dirai qu’elle participe très activement au pompage financier), dont le nom commence par un U et finit par un S… Il faisait construire un ensemble de bureaux en banlieue Parisienne et fit appel à des entreprises dont l’une était italienne.
Mon employeur assurait la maitrise d’œuvre, dont j’avais mis en place le planning d’exécution, dont j’assurais la maitrise économique ainsi que la maitrise des documents d’exécution. J’étais donc au cœur de beaucoup de réunion, de beaucoup de décisions et au courant de bien des choses, y compris certaines (pas toutes) dont je n’aurais rien dû savoir. Les autres choses (secrètes) étaient faciles à deviner…

Dès 2005, à cause de l’existence de cette entreprise Italienne, je pris contact avec le service des impôts des entreprises étrangères (SIE) qui se déplacera par la suite à Noisy le Grand.
J’expliquais donc les faits et les coordonnées et on me confirma que l’entreprise devait se déclarer elle-même auprès de leurs services, ce que j’enjoignis à l’entreprise de faire (avec information au Maitre d’ouvrage).

Pendant deux ans je demandais donc expressément à l’entreprise la preuve de ses déclarations auprès du SIE, j’avertissais le client vous savez U....S, qui passa à chaque fois outre mon véto pour payer chaque situation de travaux à ladite entreprise italienne…

Parvenu à la fin du chantier, ma mission fut terminée non sans que je m’informe de la situation non déclarée de l’entrepreneur italien auprès du SIE et que le Maitre de l’ouvrage me dise que ce n’était plus mon problème…

Il faut savoir que :

Toute entreprise travaillant en France est assujettie à la TVA en France.

Tout produit importé arrive en France hors taxes et la TVA est réglée en France par l’acquéreur sur le sol Français du produit.

S’agissant de murs rideaux préfabriqués en Italie par une entreprise Italienne qui vient poser les produits qu’elle fabrique en France, la TVA est donc redevable auprès de l’état Français sur ladite fourniture ainsi que la valeur ajoutée par la pose, c'est-à-dire sur l’ensemble de la prestation. Elle ne pourra déduire que les TVA payées sur des articles achetés en France pour des accessoires complémentaires divers et variés ou sur du Gasoil…

En 2006 sur le chantier qui faillit être le plus gros chantier Français d’immeubles de Bureaux (la deuxième tranche de travaux ayant été annulée), l’Entreprise Italienne Tosoni s’est débrouillée pour encaisser la TVA et pour ne rien payer.

Bien qu’à compter du 1er septembre 2006, la loi permît au Maitre de l’ouvrage d’acquitter lui-même la TVA à la place de l’entreprise et de ne régler à cette dernière que la partie Hors taxes, rien ne fut fait.

La TVA (incluse dans les situations de travaux) réglée par U....S à Tosoni fut débitée sur un compte Suisse et créditée sur le compte bancaire non Français de Tosoni, sans autre forme de procès au nez et à la barbe du fisc Français… Pourquoi le fisc Français a-t-il ignoré la non-déclaration et la fraude ?

Arnaque du Maitre d’Ouvrage et de l’entreprise, laxisme du fisc Français… Dégoût de l’économiste de Maitrise d’œuvre… 

En 2014, je balance. Mais je cache un nom, pour des raisons évidentes. N'ayant gardé aucune preuve, il est facile d'être condamné pour une soi-disant calomnie… Manque à gagner pour le fisc : 870.604,21 €… 

Extrait du décompte général définitif

jeudi 11 septembre 2014

À diffuser le 12 septembre 2014

Écrit le 12 septembre 2014

Cela fait un an aujourd'hui qu’Al Zandeau sévit sur ce blog. Il a raconté plein de trucs sur lui-même, très impudiquement d’ailleurs, déballé ce qu’il pense de la politique et de la société, raconté quelques vacheries pratiquées par les gens croisé dans sa vie d’avant.
Mais il y a toujours eu continuité entre avant et maintenant, entre maintenant et après…
Il n’est nul havre de paix, tant que nous sommes plus nombreux qu’un seul, dans un monde donné.

Il y a eu une mouche à merde ne sachant que déstabiliser et qu’il a interdit de séjour sur son blog, parce qu’échanger, oui, mais être harcelé, non !

Il a eu ces amitiés écloses après beaucoup de méfiance. Il en a été extrêmement content, mais déçu quand elles ont rompues sans qu’il sache pourquoi. Pourquoi un jour on te félicite et le lendemain on coupe les ponts avec toi ? Pourquoi un jour on plaisante avec toi et le lendemain on ne publie plus tes commentaires et on ne te répond plus ?
Est-ce un mot qu’il a dit ? Il vérifie, il ne voit pas quoi. Est-ce un mot d’un commentaire tiers ? Est-ce une calomnie que l’on répand dans son dos ? Est-ce un chantage exercé ? Sa venue sur des blogs ayant entrainé d’autres commentateurs, a-t-il été instrumentalisé momentanément puis rejeté après usage ? Il ne le saura jamais. 

Heureusement il se borde en n’acceptant pas ces fausses icônes de l’amitié fausse. Cela fait moins de mal de perdre quelque chose qui n’a aucune représentation.

Il y a heureusement ces personnes qui partent et reviennent régulièrement, apportant un peu de convivialité…

Il a pu constater que les structures cybernétiques permettent une exacerbation de l'intolérance de certaines personnes, aussi bien en politique qu'en amitié ; les amis de leurs ennemis deviennent aussi leurs ennemis, peut-être davantage que dans la vie réelle. Il a compris que s’il veut s’exprimer librement, il doit accepter le silence autour de lui. Il suppose que cet isolement est celui de l’écrivain, le talent en moins et les droits d’auteur en moins aussi...

Il a eu souvent à se demander "Est-ce que je mets un commentaire ?". Si c’est trop personnel, il n’ose pas. Si le texte est très beau, comment peut-il le dire sans tomber dans la flagornerie ou l'obséquiosité ? Comment ne pas perdre un ami sans parce qu'il ressentirait des flatteries malsaines ?

Il continuera peut-être son espèce de journal quotidien, seul moyen d’écrire mieux qu’il ne parle, tant il perd son vocabulaire au fil du temps, pour continuer à faire travailler son cerveau et pour déverser son trop-plein de stress, comme dans une sorte d’auto-thérapie…

Encore un type d'arnaque à éviter sur les boites email

Internet est le meilleur et permet le pire...


mercredi 10 septembre 2014

Les « Sans-dents » et la manipulation en général

Écrit le 10 septembre 2014

Dieu sait que je n’approuve pas le culbuto de l’Élysée. Je n’attendais pas grand-chose de lui, sauf de remplacer le Gnome précédent… Mais on ne savait jamais…

▪ Cependant cette polémique des « Sans-dents » me laisse sidéré.

Voila de l’intox où je ne m’y connais pas. Qui dit que cette appellation soit péjorative ? S’il y a de l’ironie, de la condescendance, du mépris dans le propos, oui !
Mais si le mot est inventé pour nommer avec empathie les pauvres qui n’ont pas les moyens égalitaires de répondre aux invectives des gens aux « dents-longues », pour définir les démunis qui ne peuvent se défendre, qui ne peuvent contrattaquer et qui sont condamnés à subir, le propos est-il condamnable ? Non !
On ne sait pas alors dans le doute on s’abstient. J’appelle bien certains pauvres « les gens de peu » et Dieu sait que je ne me moque pas d’eux. Je les respecte et même je les admire. Alors, on pourrait me dire que je dénigre ces pauvres gens.

Donc, c’est une polémique qui ne peut perdurer que si et seulement si, on prouve la façon dont l’expression « les sans-dents » a été prononcée dans la bouche du « Président normal »…

Continuellement on nous fait baigner dans l’intox, dans la désinformation et même dans un certain endoctrinement…

▪ Un accident automobile grave causé par un conducteur du 4ème âge et c’est tout de suite « la question se pose si l’on doit refaire passer le permis à ces gens là… Faut-il les interdire de conduite et bla-bla-bla et bla-bla-bla »…
Si demain un jeune commet le même accident, dira-t-on « Faut-il interdire la conduite aux jeunes permis ou leur faire repasser le permis » ?
Si après-demain un quadragénaire commet lui-aussi le même accident, dira-t-on aussi la même chose ? C’est n’importe quoi.
Avant de dire des âneries, il vaudrait mieux avoir des statistiques par tranche d’âge et par gravité similaire avant de parler… Mais c’est plus fort qu’eux, il faut parler avant de réfléchir pour faire de l’info et pour influencer l'opinion…

▪ Plein d’accidents automobiles graves causés par des jeunes sous l’emprise de l’alcool. Derechef : « Faut-il abaisser le taux légal d’alcoolémie (actuellement de 0,5 g/l de sang) ? ».
On nous précise que tous ces accidents très graves sont causés par des jeunes affichant 1,5 g/litre ou plus…
Mais on rêve, ou quoi ? Ces jeunes en question n’ont pas respecté la loi en consommant trois fois plus… La question serait plutôt « doit-on alourdir sensiblement les sanctions pour dissuader de tels crimes et doit-on indexer la peine sur le dépassement de taux d’alcoolémie ? »…
On peut abaisser le taux légal à zéro ou même exiger un taux négatif, pendant qu’on y est, cela ne changera rien du tout, à partir du moment ou il s’agit d’une transgression de la loi !

▪ Poutine avec l’Ukraine, faut-il le diaboliser ? Si à la porte de la France, il s’installait un état Islamique disons, en Allemagne, est-ce qu’on serait content ? Est-ce qu’on laisserait faire ? Est-ce qu’on ne ferait pas tout pour avoir un voisin plus fréquentable ? Et bien Poutine, c’est pareil : Il ne veut pas des Amerloques et de l’OTAN à la porte de chez lui. Alors lâchons-lui le calbut ! Et puis ça tombe bien nous peuple Français ne voulons pas de l’Ukraine, on s’est fait baiser par l’entrée de tous les autres pays low-cost de l’Est, ça suffit comme ça… Mais non ! On essaye de nous intoxiquer, pour justifier l’entrée d’un 29ème pays dans l’UE et pour servir les intérêts militaires des USA... Ceci dit... l'arrivée de la dictature Poutinienne aux portes de l'est de l'UE... Ce n'est pas non plus ce que l'on veut : Nous non plus, nous n'aimons pas la proximité infréquentable des dictatures... Il faudrait trouver un autre type d'association européenne politique et  non économique, afin d'intégrer des pays désireux de démocratie, mais sans que cela porte préjudice à nos emplois... Mais je suis trop visionnaire... Cela ne se fera pas...

Les exemples seraient légion... On en garde pour la prochaine fois…
   

mardi 9 septembre 2014

Mémoire, compréhension, conscience



Avant un certain événement, j’avais de mes actes et donc de moi-même une certaine fierté. Ce contentement qui était de loin supérieur aux motifs de mécontentement m’incitait à poursuivre et à tâcher de faire toujours mieux qu’avant, en tous cas à faire de mon mieux. Je rebondissais à chaque fois, confiant dans mon potentiel. Mon cerveau retenait donc un fort aspect positif dont ma conscience était plutôt satisfaite.

Après la dégringolade, sorte de toboggan vers la sortie, petit à petit ne me sont revenus du passé, que les aspects négatifs, au point d’en occulter ce qui auparavant (de l’Odéon… Pardon, c’est une vanne des années 60, que nul ne peut comprendre et qui donc ne peut faire rire que moi), faisait ma fierté.
Ma mémoire mettait ainsi ma conscience en difficulté et je culpabilisais alors sur tous les actes ou les choix de ce passé qui m’obsédait autant.

Aujourd’hui, après avoir digéré plus ou moins les traumatismes accidentels ou psychologiques, je m’aperçois d’une chose. Il me faut faire le tri entre tous ces souvenirs et les passer dans une grille d’analyse simple afin de déterminer par la compréhension, mon degré de responsabilité, dans ce qui pèse sur ma conscience.

J’ai commencé et suis loin d’avoir terminé. Mais j’avoue que le début est très encourageant.

En fait, les sujets à remords remémorés ne portent pas sur des actes destinés à faire mal à autrui, mais plutôt sur mon incompétence à empêcher que l’on ne me fit du mal et cela sous deux formes différentes : D’une part l’inattention des mauvais coups hourdis contre moi, d’autre part ma volonté inébranlable d’obéir à ma conscience même si je savais quel allait en être le prix.

Donc d’un coté mon inattention j’en étais responsable bien sur, mais pas coupable pour autant. Quand à mes actes prémédités, comment puis-je avoir des remords de conscience alors que je les ai à l’époque commis en accord total avec ma conscience ?

Disons, que l’injustice que m’a fait subir le destin en est la cause et m’a fait considérer la situation imprévue comme un grand échec personnel… Alors, tout mon passé devenait une série d’échecs personnels qui pouvaient ainsi justifier le mauvais sort ‘mérité’ qui s’abattait sur moi. Je ne pouvais finir autrement puisque j’avais toujours été mauvais…

Quant à mes actes, ils ont été destinés à aider autrui, à établir une sorte d’équité dans le microcosme dont j’étais responsable, à sauver des emplois, à sauver des chantiers, parfois des vies et même si parfois il m’a fallu licencier ou sévir, c’est toujours dans l’intérêt du plus grand nombre. J’ai coupé des branches pour sauver des arbres. Jamais je n’ai agi dans mon intérêt personnel unique, comme beaucoup de gens que j’ai croisés.

Il est vrai que bien des années plus tard, je puisse encore m’interroger sur la validité de certains choix. Ai-je commis des erreurs ? Certainement. Ma solution était-elle la meilleure ?

Mais finalement, même en excluant ceux fort nombreux qui n’ont agit que dans leur intérêt personnel en piétinant les autres,  quand je pense à certains collègues que je connais bien, qui n’ont jamais pris de décision, qui n’ont que « fonctionné », même à des postes de responsabilité, je sais qu’ils ont bien plus de cadavres dans leurs placards, dus essentiellement à leur inaction et à leur indécision, mais au moins ils ont l’air de n’en rien savoir et mènent des jours heureux !

Je crois que j’ai été très injuste avec moi-même ces sept dernières années… Et pour faire simple, j’ai été très responsable, mais très peu coupable et il est temps que ma compréhension et ma mémoire fassent en sorte de laisser ma conscience en paix, même si cela doit prendre encore un certain temps...

vendredi 5 septembre 2014

Aveuglement des cons qui nous dirigent


Écrit le 05 septembre 2014


J’arrive à un tournant où j’ai marre de répéter ce que j’ai dit mille fois (mille est un peu exagéré)…

J’ai marre de ces gens qui ne parlent de relance que par la demande ou bien par l’offre, qui parlent de compétitivité, de rentabilité, sans même savoir ce que veulent dire ces termes dans leur profondeur.

J’ai marre de ces gens qui exigent des entreprises Françaises de se confronter à la concurrence déloyale de fabricants étrangers qui seraient lourdement punis s’ils étaient Français. Pourquoi ce qui est illégal en France est légal quand cela nous vient d’ailleurs ?

J’ai marre de ces gens qui ne savent pas où ils vont, qui sont totalement perdus dans un pays dont ils ne connaissent même pas le fonctionnement, promettant des simplifications et aboutissant à des complications, parce qu’ils n’ont rien compris à ce qu’ils faisaient.
J’ai marre de ces gens qui ne savent même plus cacher leur indécision et leur incompétence…
Je dis :

-Que la relance par l’offre ou par la demande ou même par les deux ensemble (ce qui est plus logique), n’a une chance de réussir que par une maîtrise prioritaire absolue des flux monétaires sortants du pays France (Importations et évasions financière et fiscale doivent être réduites à minima).

-Qu’effectivement, la relance de notre économie nécessite des sacrifices de la part de la population, qu’il faut le dire et qu’il faut le faire, de manière juste et équitable. Sachant que cela est un investissement pour le redressement de notre activité économique, dont les fruits devront bénéficier à tous et non plus à une caste privilégiée qui empêche tout redressement par l’accaparation excessive qu’elle pratique actuellement. En revanche, il faudra que les gens se mettent au travail, au lieu de rejeter leur propre nonchalance sur les autres, le succès est à ce prix.

-Qu’il nous faudrait un personnel politique responsable et capable (ce qui nous changerait) ainsi qu’un leader charismatique, capable de fédérer les Français sur un projet d’avenir meilleur et réaliste. Il lui faudrait être honnête, courageux et sincère et qu’il donne confiance (car il aura à affronter des organismes multinationaux ainsi que ce « machin » baptisé UE), c’est pour cela qu’il aurait besoin d’un grand soutien populaire.

-Afin que nul leader charismatique ou non ne puisse devenir un tyran (ce que notre actuelle constitution permet à tous nos présidents, même s’ils sont des bouffons), il nous faut nous doter de nouvelles institutions, modifier la constitution pour qu’elle permette un contrôle-sanction plus large du peuple (VIè république pourquoi pas ?), sur ses dirigeants.

Bon, enfin, je prêche dans le désert depuis si longtemps… Mais cela fait du bien de le dire une fois de plus, au milieu de tous ces abrutis qui répètent inlassablement la leçon apprise « On ne peux pas faire autrement »… Quelle bande de cons !