samedi 24 février 2018

Mémoires et radotages (163) – La grande invasion



« Le 30 novembre 2017 étaient organisées par le CSFRS (Conseil Supérieur de la Formation et de la Recherche Stratégique) et préparées par Alain Bauer, son président, les « Assises Nationales de la recherche Stratégique ». 

Le lieu : École Militaire à Paris.

Le thème général : Entre instabilité et chaos Hybridation des Menaces.

Le discours d'ouverture a été prononcé par Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires Étrangères.

Une importante délégation russe était présente : le général Anatolyi Koulikov, ancien ministre de l'Intérieur, le général Vladimir Verkhotsev de l'armée russe, Viktor Kulikov, éditorialiste militaire, Mikhaïl Remizov, expert en sciences politiques et Gennady Samouilov, professeur d'université détat .

Ils ont décrit l'inquiétude de la Russie devant la décadence française et européenne et invoqué sans détour l'invasion migratoire extra-européenne ainsi que l'abandon des valeurs traditionnelles et l'accroissement des évolutions sociétales mortifères.

En conclusion, ils ont informé que la Russie se préparait à l'idée d'affronter, aux environs de 2050, une Europe devenue musulmane.

Cela a provoqué une très forte réaction d'un public pourtant initié mais divisé entre applaudissements nourris et sifflets.

Alain Bauer a éprouvé quelques difficultés à rétablir le calme. » 

Note de Zalandeau :

L’empire romain a disparu par l’invasion des barbares…



Nombre de pays ont subi, à travers les siècles, des invasions par les Visigoths, les Ostrogoths, les Maures, les Mongols, etc…. Certains pays ont sombré et d’autres ont survécu parce que les envahisseurs adoptaient les us et coutumes des peuples au sein desquels ils s’intégraient…

Mais il est une première dans l’histoire du monde : C’est la toute première fois qu’un groupe de pays (Europe occidentale), incite les envahisseurs à venir les envahir, sans combattre et même dans le cas de la France, se plie d’avance à des exigences à peine exprimées par une minorité extrémiste de ces populations intrusives…

Nous avions connu la collaboration avec les Allemands qui nous avaient vaincus et occupés. Même si de mauvais Français ont trahis, ils ont pu le faire parce que nous étions battus.

Et bien maintenant, on fait venir ceux qui vont nous asservir à une doctrine théologique rétrograde et on s’aplatit devant eux, dans une collaboration qui n’est que le début d’un asservissement total… Et même si la majorité des immigrants ne cherche qu’à se fondre dans la masse, une petite minorité, adepte d'une théologie totalitaire, rétrograde et barbare impose sa loi à l’occident.

Le laxisme de nos dirigeants est le début de notre décadence et de la fin de notre modèle sociétal…


http://arcachon33120.canalblog.com/archives/2018/02/24/36170268.html 

jeudi 22 février 2018

Voies sur berge, bonne nouvelle !



Envoyé par la ligue des conducteurs le 21 février 2018

Chère Madame, Cher Monsieur,


Et c'est une véritable volée de bois vert qui a été administrée à la maire de Paris Anne Hidalgo : le tribunal a en effet jugé que l'étude d'impact sur laquelle s'était fondé le projet "comportait  des inexactitudes, des omissions et des insuffisances concernant les effets du projet sur la circulation automobile, les émissions de polluants atmosphériques et les nuisances sonores".

L'équipe de la Ligue de Défense des Conducteurs, qui,  avec votre soutien, bataille depuis des mois contre ce projet démagogique et stupide, se réjouit évidemment de cette mesure d'annulation qui relève, de la part du tribunal administratif, du pur bon sens !

La mobilisation et l'union des conducteurs paient : alors, savourons cette bonne nouvelle, et continuons à nous battre, ensemble, pour lutter contre toutes les mesures de répression qui frappent les conducteurs !

Bien cordialement,
L'équipe de la Ligue de Défense des Conducteurs

Note de Zalandeau : Bien entendu, la sale bonne femme, ne va pas en rester là ! Elle va tenter un recours contre cette décision... Et en attendant, la voie sur berge n'est toujours pas une voie !!! La pollution décuplée par cet embouteillage monstre artificiel continue... Et l'exaspération contre les vues socialo-écologistes sont au plus haut dans l'opinion...

Pesticides - quels fruits et légumes faut-il éviter de consommer ?


Diffusé sur Europe1, 11h39, le 20 février 2018, modifié à 11h48, le 20 février 2018 

Raisin, cerise, laitue et autre endive non bios contiennent des traces de pesticides à des niveaux plus ou moins élevés. Quels fruits et légumes vaut-il donc mieux consommer ? 

Les trois-quarts des fruits et près de la moitié des légumes non bios consommés en France contiennent des traces de pesticides, selon un rapport de l'ONG Générations futures publié mardi. En compilant les données fournies par la Direction générale de la Répression des Fraudes (DGCCRF) entre 2012 et 2016, l'ONG a établi des classements pour 19 fruits et 33 légumes. Europe 1 a fait le tri pour dresser un bilan de ceux qu'il vaudrait mieux acheter bios. 

Le fruit le plus souvent contaminé : le raisin 

Avec 89% des échantillons contaminés, le raisin est le fruit qui contient le plus systématiquement des traces de pesticides. Et 2,6% de celles-ci dépassent les limites maximales en résidus (LMR). Une concentration qui peut s'expliquer par les multiples traitements appliqués dans les vignes. Par exemple, en 2013, les viticulteurs ont appliqué en moyenne 19 traitements de pesticides, dont des fongicides (contre les champignons) à 79%, des désherbants chimiques (11%) et des insecticides (10%), précise Générations futures.

Les Français ingèrent donc un certain nombre de pesticides puisque l'on consomme en moyenne quatre kilos de raisin par an. D'ailleurs un fruit sur sept acheté est une grappe de raisin.

Dans la suite du classement des fruits à éviter, la clémentine/mandarine (dont 88,4% des échantillons sont contaminés) et la cerise (87,7%) complètent le podium. 

Le légume le plus souvent contaminé : le céleri-branche 

Du côté des légumes, c'est le céleri-branche dont les échantillons sont les plus souvent concernés par des traces de pesticides (84,6% des échantillons étudiés). Les résidus trouvés dans ce légume, dont la France est le cinquième producteur européen, dépassent de plus les limites maximales dans 16% des cas. Pourtant les Français semblent apprécier ce légume vert puisqu'ils en consomment en moyenne 400 grammes par an.

De leur côté, les herbes fraîches sont concernées à 74,5% par ces traces de pesticides, suivies par l'endive (72,7%) qui est le sixième légume le plus consommé en France, et le céleri-rave (71,7%) - qui se présente sous forme de boule. 


Le fruit dont le taux de pesticide dépasse le plus les limites maximales en résidus : la cerise 

Dans 6,6% des échantillons de cerises, la DGCCRF a détecté des taux de concentration de pesticides supérieurs aux seuils légaux fixés par l'Union européenne. Par ailleurs, ce fruit, 16ème le plus consommé par les Français, occupe la troisième place dans le classement des fruits les plus souvent concernés par des traces de pesticides. Et ce fruit, dont la France est le huitième producteur européen, est largement consommé par les Français malgré sa courte saisonnalité (de mai à juillet). Chaque personne mange en moyenne 790 grammes de cerises par an.

Les mangues/papaye (4,8%), les oranges (4,4%) et les kiwis (4,1%) font également partie des fruits dont les taux de pesticides dépassent les seuils. Bien que ces taux soient relativement bas, Générations futures précise que les dépassements concernent tous les fruits. Sur les cinq années étudiées, pas moins de 19 fruits dépassent les LMR au moins une fois. 

Le légume dont le taux de pesticide dépasse le plus les LMR : les herbes fraîches 

29,4% des herbes fraîches étudiées dépassent les limites maximales de résidus. Dans ce classement, le céleri-branche arrive en deuxième position (16%) suivi par les blettes (12,1%) et le navet (9,1%). Bien que ces taux soient bien plus élevés que ceux des fruits, plusieurs légumes ne les ont pas dépassés pendant les cinq années étudiées par la DGCCRF comme l'artichaut, la betterave, le maïs, les pois non écossés et le potiron. 

Le top 3 des fruits et légumes les moins concernés par les pesticides : le maïs, l'asperge et l'igname 

Parmi tous ces fruits et légumes contaminés, certains font néanmoins office de bons élèves. Par exemple, seulement 1,9% des échantillons de maïs contiennent des pesticides. L'asperge, quant à elle, est concernée à seulement 3,2%, juste avant l'igname (3,3%) - ce légume racine à la peau marron.

Du côté des fruits, le trio de tête est occupé par l'avocat, le kiwi et la prune. Mais dans ce cas, les taux restent bien plus élevés que pour les légumes avec respectivement 23,1% des échantillons contaminés, 27,1% et 34,8%. Alors pour éviter de consommer des pesticides, mieux vaut manger une fricassée de légumes qu'une grande salade de fruits.

Sur le même sujet :
                         
………. 

Note de Zalandeau : Il y a longtemps que l’on sait que les cultures maraîchères sont fortement impactées par les pesticides. Il y a longtemps aussi que l’on nous incite à consommer 5 fruits et légumes par jour… Il y a donc longtemps aussi que je me demande : Pourquoi nous inciter à manger des fruits et légumes alors que ceux-ci sont porteurs de cancers à plus ou moins long terme ?

Il est à remarquer que devant l’insistance de certains consommateurs qui osent poser cette question, les médecins commençaient à dire à la télé, que le risque représenté par ces résidus de pesticides était bien moins néfaste que les bénéfices sur la santé apportés par la consommation des fruits et légumes…

J’ai bien aussi remarqué que Laurent Mariolle, il y a peu de temps s’est mis à éplucher ses légumes devant la caméra, alors qu’avant il n’ôtait pas la peau, pour mitonner ses recettes de merde…

Et pour ma part, le bio, je n'ai aucune confiance en ses qualités exemptes de pesticides... Quels sont les agriculteurs bios qui ne trichent pas ? Surtout quand les produits viennent de très loin ? 

A quand le grand déballage sur un scandale alimentaire à propos des fruits et légumes ?

mercredi 21 février 2018

Ma révolte



Écrit le  14 février 2008.

Cela a commencé en 1967. Nous avions 17 ans. Nous avions été bercés et éduqués par des feuilletons comme « Zorro », « Thierry la Fronde », « Rintintin », par des films « Robin des bois », « Lagardère » etc… Nous avions inconsciemment acquis des notions de justice et de liberté…

Quand en 67 éclate la guerre civile au Biafra, fortement médiatisée, nous, jeunes de 17 ans et plus généralement la jeunesse de 16 à 25 ans, nous avons ressenti un élan vers ce peuple dont nous trouvions éminemment injuste qu’il soit martyrisé, massacré, affamé. Nous avions des envies de partir combattre à leur coté.

C’est de cette époque que date mon esprit de révolte contre l’injustice, l’arbitraire la tyrannie la barbarie et mon désir de liberté pour tous.

Puis vînt 1968. Début avril dans mon lycée, la colère monte, contre la discipline plus que militaire à nous imposée par un surveillant général, imbu de son petit pouvoir, à l’esprit étriqué et passéiste. Nous étions dans un lycée technique, pas dans une caserne, merde ! La discipline, oui ! Le garde à vous, non !

Un comité s’est spontanément formé. Rapidement par mes prises de positions, par la définition de nos buts et ligne d’action, mes camarades me nomment chef de file du mouvement. Très vite, nous passons à l’action. Grève générale. Manifestation autour du lycée avec banderoles demandant le départ du « surgé ». J’ai ordonné le libre choix des élèves. Aucun piquet de grève. Mais spontanément 99 % des élèves se sont joints à notre mouvement de colère et de révolte. Au bout d’un mois de grève et de manifestation, j’avais décidé mes compagnons pour une action qui consistait à séquestrer le « surgé » et à parlementer avec le proviseur, afin, d’obtenir une libéralisation des règles arbitraires de surveillance du lycée…

C’est à ce moment là, que mai 68 a débuté…

Le mouvement est devenu politique. Les drapeaux rouges remplacèrent nos banderoles revendicatives.

Et fin des fins, le « surgé », (notoirement de Gauche) s’est fédéré au mouvement des lycéens.

Nous avions dans nos rangs, celui contre lequel nous combattions quelques jours auparavant ! Et notre cause, dirigée essentiellement contre l’autoritarisme de cet individu, devenait une lutte contre le pouvoir Gaulliste, qui n’était vraiment pour rien, dans le comportement d’un « surgé » appartenant au ( PSU ) Parti Socialiste Unifié…

J’ai alors quitté un mouvement pour lequel je n’avais plus de sympathie. Je n'allait pas suivre celui contre qui je me battais... J'ai repris le chemin de la classe du prof de maths (seul à encore travailler) avec cinq autres élèves dont j'avais exigé le passage libre à cette bande de traitres qui faisaient de la politique au lieu de défendre leurs revendications...

Mon esprit de révolte s’est renforcé à l’expérience de ce phénomène de trahison des idées…

Que sont devenus mes compagnons, les gens de ma génération, les Français qui avaient 18 ans en 68 ?

Ils ont vite abandonné l’esprit de lutte pour construire leur avenir, bien au chaud dans des pantoufles. Mais surtout, certains ont contribué à construire cette société injuste, égoïste, décadente, inhumaine ; une société de merde !

dimanche 18 février 2018

Mémoires et radotages (162) – L’éducation permissive



Écrit le 18 février 2018 

Moralité de ce qui précède dans le numéro 161, mes enfants, bien qu’ils soient de quelque part sont donc, pour les gens d’ici, les fils de personne… Parce que leur père n’est pas d’ici… La « noblesse » de terroir n’est pas transmissible à ceux qui viennent d’une autre région, surtout s’ils n’ont pas pris racines dans leur zone domiciliaire…

Mais mes enfants ne me considèrent pas comme n’étant personne parce que pour eux j’ai représenté une certaine valeur morale et une autorité qui les a guidés…

Il est un autre aspect de la société qui m’interpelle au plus haut point ! Il s’agit de l’éducation des enfants… J’ai pu observer dans mon entourage une tendance qui bien heureusement ne touche pas toute la société.

Une mode apparue il y a plusieurs décennies, consistait pour faire court, à considérer sa progéniture comme des ‘enfants-rois’ ; rien de moins !
En fait il ne fallait pas punir, pas taper, pas réprimander… Le but était (et est toujours) en quelque sorte, de ne pas troubler la croissance et l’épanouissement des enfants, de ne pas les troubler, ni les traumatiser en leur mettant des barrières qui pouvaient être des « empêcheurs de s’épanouir en rond »… Le problème, c’est que la tendance est de toujours combler les désirs des enfants et même de précéder leurs demandes. L’enfant décide alors lui-même de ce qu’il fait, de ce qu’il dit, de ce qu’il veut, sans aucune punition ni entrave…

J’ai pu observer plusieurs exemples dans ma belle famille…

Le résultat est, selon moi, catastrophique ! Des enfants pourris gâtés, vaniteux, présomptueux, égoïstes, qui se croient tous le centre du monde… « C’est moi qui ai les plus beaux habits », « C’est moi le (la) plus intelligent(e) », « Je ne fréquente pas les pauvres »...

Ils deviennent des affreux tyrans et sont fort malheureux si on les laisse dans un milieu traditionnel… C’est le cas pour les familles pauvres…

Mais en ce qui concerne les familles plus aisées, les enfants sont alors sortis de ce monde ordinaire pour des écoles privées ou des cours particuliers… Mais pour les faignants, quel calvaire ! Ils peuvent ainsi laisser libre cours (dans une certaine mesure) à leurs complexes de supériorité.

Dans ce cas là ; les parents ont ainsi réussi à concevoir une génération de parvenus et sont de par leur attitude et leurs intentions des parvenus eux-mêmes, finalement !

L’appellation « parvenu », est je sais, très péjorative ! On est toujours le parvenu de quelqu’un d’autre… Il n’est pas honteux de progresser dans la vie et d’acquérir davantage de confort matériel, de fréquenter plus de gens, ne n’avoir plus les mêmes soucis…
Mais si je tiens quand même à ce terme de « parvenu », c’est pour bien distinguer ces personnes qui, quittant un milieu, pour un autre, se mettent à renier totalement son milieu d’origine et à couper totalement les ponts avec ce qu’ils croient ne plus être…

C’est ainsi que sont nées les castes, les privilégiés… C’est aussi une forme de communautarisme : On se regroupe et on ne fréquente que ceux qui ont un certain niveau de vie.
Je conçois que l’on ne fréquente pas les gens malhonnêtes, de mœurs très différentes des nôtres ou avec lesquels nous ne pouvons pas nous entendre. Mais je ne comprends pas pourquoi il faudrait cesser de fréquenter les gens qui sont comme nous, avec lesquels nous nous sommes bien, au seul prétexte qu’ils ne « joueraient » plus dans la même catégorie.

Je crois personnellement, mais je sais que j’ai tort, que ces méthodes d’éducation sont mauvaises et engendrent tout ce que l’on n’aime pas en l’être humain…

samedi 17 février 2018

Lettre à son Altesse Macron 1er ...



Auteur inconnu.

Photo : Marie Gant de Toilette,  (photographe exclusive près la Cour)





Sire, je voudrais vous féliciter
il en a fallu du courage
Pour décider de ponctionner
De leurs soi-disant avantages
Tous ces bienheureux retraités.
*
Il est vrai qu'ils sont redoutables
Et pour tout dire presque enragés
Avec leurs béquilles,leurs bandages
Sans parler des chaises percées.
*
Il y a même un bon côté
Peu s'en iront à l'abordage
Afin d'incendier l'Elysée
Ou de construire des barrages.
Et puis ils vont bientôt crever
Alors pourquoi donc s'en priver ?
*
Peut-être vous a-t-il échappé
Ce que fut leur enfance dorée?
*
La deuxième guerre mondiale
Avec son lot de privations
De bombardements,un régal
Pour qui aime les films d'action.
*
Et ensuite ce fut l'école
Où l'on passa bien peu de temps
Pas comme certains guignols
Qui n'en sortent qu'à 27 ans.
*
Souvent après c'était l'usine
Où l'on entrait à 14 ans
Quarante huit heures par semaine
Quinze jours de congés payés ...
Vraiment l'existence rêvée.
*
Votre service militaire
Dites moi où l'avez vous fait ?
Pour nous, 28 mois d'une guerre
Trente mille jeunes y sont tombés
Mais cela n'est pas votre affaire
Pour le résultat qu'on connait.
*
Alors pourquoi donc se gêner
Pressurons les tous ces nantis 
Pour pouvoir mieux distribuer
Aux arrivants de ces pays
Qui jamais n'auront travaillé 
Ni cotisé,que nenni.
*
Pour ce qui est du logement
Mon Dieu que nous fûmes gâtés
A six dans l'appartement
D'à peine soixante mètres carrés
Sans aucune des commodités
Qu'on accorde généreusement
Même aux nouveaux arrivés.
*
Sans doute l'histoire de France
N'est pas votre tasse de thé
Elle fût traitée en votre absence
Ou bien vous l'avez oubliée.
*
Pas nous !
Un jour, vous vous en apercevrez...

 

 

lundi 12 février 2018

Histoire de France - Officiers d'état-major, êtes-vous des hommes ?

Ma chronique du 20-08-2008 – 19:32:01 

Obéir à un desideratum du ministère, c'est bien, mais vous voyez ce que ça donne !!!

Une mission de renseignement ce n'est pas une promenade digestive !

Aucune des consignes de sécurité n'a été respectée, aucune n'a été prise.
Tout ça, je suis sûr que vous l'avez pris à votre compte avec votre mouchoir par dessus. Et en plus engueulés par Sarko...

Si vous aviez eu des couilles (ce qu'à Dieu ne plaise), vous lui auriez dit ce que vous pensiez de ses missions style "jumelage France-Amérique"... Mais non, vous êtes la "grande muette" et puis il y a trop à perdre, promotions, retraite...

On ne s'engage jamais dans un défilé... Vous ne vous souvenez pas de Custer à Little Big Horn ? Et les Réserves en alerte rouge, vous connaissez ? Et la panne de munitions ?

Et puis, après tout...ça ne me regarde plus. Vous êtes trop cons !
 

Mémoires et radotages (161) – Mieux vaut être de quelque part, mieux vaut être le fils de…



Le fils aîné des voisins a trouvé un emploi par l’intermédiaire de sa mère.
Le fils cadet des voisins a trouvé du boulot dans la boite où travaillait son père.
Le grand ami de mon fils aîné a trouvé du taf dans la boite où bossait sa mère.
Le grand ami de mon fil cadet a trouvé du turbin dans la boite où travaille son père.
Le grand ami de mon benjamin fait des CDD dans la boite où turbine son père.

Et moi, père indigne, je n’ai pas trouvé moyen de faire embaucher un seul de mes fils quelque part…

vendredi 2 février 2018

Mémoires et radotages (160) – Les impôts de l’ère Macron




Écrit le 02 février 2018

Une nouvelle taxe sur le tabac, deux sur l’exploration d’hydrocarbures et de gîtes géothermiques, une autre sur les plus-values immobilières des offices HLM, encore une pour les fabricants de papier, etc… Et bien sûr, le fameux impôt sur la fortune immobilière, qui a remplacé celui sur la fortune…
Au total, huit prélèvements ont été créés depuis l’élection de Macron, soit presque un par mois.
Bien que Edouard Philippe jure ne jamais compenser une retentissante disparition par une discrète création, deux nouvelles contributions sur l’impôt sur les sociétés des grandes entreprises ont été instaurées pour amortir en fait, la suppression de la taxe de 3% sur les dividendes.

Il en est de même au niveau local ! Ce n’est pas parce que Macron réjouit le petit peuple par sa réduction progressive jusqu’à disparition partielle de la taxe d’habitation, soit disant en compensation de l’augmentation de CSG, que les choses vont en rester là !

Depuis des mois on se dit que les collectivités locales devront faire des coupes drastiques dans leurs dépenses… Que nenni !

Il suffit par exemple :
-D’augmenter la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) très substantiellement (c'est en cours)…
-De créer de nouveaux impôts…
Le législateur a récemment inventé la compétence GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations), qui a la particularité d’être financée par une taxe dédiée. De nombreuses collectivités en France ont pris cette compétence et dès 2018, conformément à l’article 1 530 bis du code général des impôts, elles peuvent instaurer et percevoir une taxe visant, selon l’article L.211-7 du code de l’environnement, à créer un bassin hydrographique, ou aménager des cours d’eau, ou prévenir les risques d’inondations ou protéger les zones humides…
Le législateur considérant que les effets des inondations peuvent concerner chacun d’entre nous, assujettira même les communes n’ayant aucun problème d’inondation puisqu’elles font partie de la communauté de communes… Une centaine d’euros par an et par propriétaire, c’est toujours ça de pris ! Il suffit qu’une seule maison soit inondée pour justifier la taxe, ou bien de raconter qu'une zone humide est protégée !

Il faut que le contribuable se rassure, il a échappé au pire :
La loi sur l’eau avait instauré la possibilité pour les collectivités locales une taxe sur l’eau de pluie qui devait faire payer aux propriétaires jusqu’à 1 euro par mètre carré de couverture et de zone imperméabilisée (toiture, terrasse, etc.). Très peu utilisée, cette taxe a été abandonnée. Peut-elle ressurgir un jour ?

Mais, ce n’est que le début ! La réflexion est en marche

A quand le rétablissement de l’impôt sur les portes et fenêtres abandonné en 1926 ?
Et la réactivation de la taille et de la Gabelle, c’est pour quand ?
Pourquoi pas un impôt sur l’air respiré, qui serait modulé suivant la pureté de l’air ? 

L’imagination de nos politiciens est sans bornes lorsqu’il s’agit d’aller chercher l’argent dans les poches du contribuable. Nul doute que la suppression partielle de la taxe d’Habitation sera largement compensée par tous les impôts nouveaux qui vont bientôt poindre à l’horizon…