mercredi 30 septembre 2020

Mémoires et radotages (303) – Les blogueurs disparus

 

Écrit le 24 septembre 2020

J’étais sur blog.fr. Cela devait se passer entre 2010 et 2013, à peu près…

Je m’étais abonné au blog d’un monsieur qui s’appelait Leprince. Il racontait sa vie, il racontait le monde, la vie, les évènements… Il était très talentueux et laissait percer une pointe d’ironie, car il avait beaucoup d’humour…

Il était Belge, il avait fait l’exode en 40, alors qu’il était adolescent, fuyant les troupes nazies avec ses parents.

Ils se réfugièrent dans le sud-ouest de la France, en zone libre, du moins provisoirement libre. Il avait été scout et nous racontait ses anecdotes. Il avait un Totem… Je ne me souviens plus lequel. Il avait fait ses études en France, puis il était rentré chez lui. Il aimait autant la France que son pays natal et cela faisait du bien de le lire. Je faisais des commentaires et il me répondait toujours avec pétillance. Son pseudo de blogueur était Jolief autant que je me souvienne…

Puis un jour… Il n’y eu plus de nouveau message, plus de réponse aux commentaires…

Un an après son blog fut fermé…

En 2013, d’après mes calculs il devait avoir environ 85 ans… Décédé ou dans l’incapacité de continuer ses activités bloguesques ? Je n’en saurai jamais rien.

Ainsi va la vie des blogs : Les gens disparaissent sans faire part et on se demande si on n’a pas imaginé tout cela…

Plus tard, j’ai regretté de ne pas avoir copié tous ses articles, tant ils étaient bien écrits et tant j’aurais voulu que de tels récits et qu’un tel talent ne disparaissent pas… Mais c’était trop tard ! Son pseudo a laissé la place à une marque de modiste apparue pendant le confinement.

Depuis, nombreux sont ceux qui même avec moins de talent ont disparus, comme ce « patatedouce » blogueur à l’humour noir et amer atteint d’un grave cancer et dont la trépas ne me surprit pas. Mais quand aujourd’hui, je tape son pseudo, le moteur de recherche ne fournit que des recettes à base de ce tubercule.

Je pourrais en nommer d’autres, qui sont partis parce que le blog était un exutoire pendant une période de mal-être et que ce mal-être étant terminé, ils partaient vers d’autres amours sans même penser à fermer la porte derrière eux. C’étaient plutôt des filles, (mais pas que), avec des chagrins d’amour. Alors tant mieux si elle ont trouvé leur équilibre. Je ne regrette pas cette dernière catégorie et je leur souhaite bon vent…

  

lundi 28 septembre 2020

Le lion, la blonde et le retraité

 

> Le propriétaire d'un cirque a passé une annonce pour trouver un nouveau dompteur de lion . 

> Deux personnes se présentent : un homme retraité, de plus de 70 ans,  et une blonde de 25 ans.

> Le patron du cirque reçoit les deux candidats et leur dit :   "Je n'irai pas par quatre chemins :

> Mon lion est très fort et a tué mes deux précédents dompteurs. Ou vous êtes vraiment très bon ou ça ne durera pas plus d’une minute !"

> "Voici l'équipement dont vous disposerez : le banc, le fouet et le pistolet. Qui veut commencer ?" 

> La blonde dit : "moi j'y vais."

> Elle fait fi de l'équipement, du fouet, du pistolet, et entre rapidement dans la cage. 

> Le lion rugit et se précipite vers la blonde.

> Quand il arrive à moins d'un mètre, elle se déshabille jusqu’à être complètement nue, dévoilant un corps superbe.

> Le lion s'immobilise immédiatement, se couche devant elle et lui lèche les pieds.

> Petit à petit, il se relève et lui lèche tout le corps pendant un long moment …

> Tout y passe, les cuisses, les fesses, l'entre-jambes, les seins, le cou, la nuque, etc.

> Le patron du cirque n'en revient pas et dit :  "   Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie !"

> Il se tourne vers le retraité et demande :  "Est-ce que vous pouvez en faire autant ?"

> Et le brave homme lui répond : 

> Bien sûr… mais d'abord, faites sortir le lion !

   

samedi 26 septembre 2020

Mémoires et radotages (301) – De choses et d’autres

 

Écrit le 22 septembre 2020 

Il y a des choses dont on s’aperçoit petit à petit au cours de sa vie. Des trucs insignifiants dont on ne s’était jamais rendu compte, ou bien qui sont apparus sans que l’on y prenne garde.

-Par exemple, à force de mettre des costumes à ma taille, j’ai constaté que ma jambe droite était plus petite que celle de gauche de 6 ou 7 millimètres… Par contre, mon bras droit est plus long de la même valeur que celui de gauche…

-Les gens, en général, ont les pieds orientés légèrement vers l’extérieur. En faisant des exercices, j’ai vu que mon pied gauche tournait de 2 cm de plus vers l’extérieur que celui de droite, par rapport à l’axe du corps…

-Quelque soit le miroir, j’ai bien l’épaule gauche plus basse de 1,5 cm que celle de droite… Et cela ne date que de quelques années… Je me suis posé la question… La réponse était tout simplement dans la radiographie de ma colonne vertébrale. Avec les chocs, les poids, les efforts violents et l’usure du temps, au niveau des lombaires, il y a eu un affaissement à droite et donc une inclinaison vers la droite, qui est bien entendu compensée par un redressement vers la gauche des dorsales au dessus. Un petit dessin valant mieux qu’une longue explication voici un croquis très exagéré, vu de dos, de mon squelette :

Ceci explique pourquoi mon épaule gauche est plus basse…

Mais je m’en étais aperçu avant, parce que mes costumes faisaient des plis bizarres, que j’ai effacés, en mettant une deuxième épaisseur de renfort d’épaule du coté gauche.

-Quand je n’ai pas mal à la hanche, je marche rapidement et à grands pas dans la galerie marchande de l’hypermarché… Je me suis fait parfois doubler par des jeunes femmes de même taille et de même longueur de jambes que moi : Bizarre, bizarre ? En plus, elles ne semblent pas marcher à une allure folle : De plus en plus bizarre ?

Alors je décide à chaque fois de suivre leur cadence autant de pas que la fille qui m’a doublé… Mais c’est que je souffre, je souffle, j’ai du mal, je ne tiens pas le rythme…

En fait, j’ai compris que je ne marchais pas vite, mais que ma cadence que je croyais rapide était tout simplement la maximale que je pouvais faire… Et c’est pour cela que je la pensais rapide… C’est alors que l’on comprend que l’on ne peut être et avoir été… Fichue vieillesse qui ose vous laisser dans l’illusion d’une jeunesse qui n’est plus ! Bordel de merde !

-Alors « Bordel de merde », cela aussi fait partie du cortège de jurons de plus en plus fleuri et de plus en plus fourni d’un vieux très mécontent que les choses ne soient plus comme elles étaient, comme elles devraient continuer à être : Faciles, légères, rapides, simples, fortes…

-Parce qu’en plus, bien que je n’y tienne pas, je fais partie des vieux… Bon je sais, pas des vieillards, mais des vieux… Bon ! Des jeunes vieux, on va dire ! Ce n’a pas été facile à admettre… Mais il me faut bien me rendre à l’évidence…

  

vendredi 25 septembre 2020

Mémoires et radotages (302) – La guerre des mots

 

Écrit le 23 septembre 2020

Il ne se passe pas une semaine, sans que nos pervers de politiciens n’inventent quelque nouveau mot, quelque nouvelle expression pour désigner de nouveaux concepts, ou bien des anciens, mais en les affublant d’un déguisement sémantique ! C’est la guerre des mots !

On a eu droit à des « ensauvagement » par Darmanin qui ne l’a pas inventé mais repris, très récemment, et maintenant c’est la « créolisation  de la société », que Mélenchon appelle de ses vœux… en créant un mot qui en fait existe déjà mais en lui affublant une autre signification : Dans un dictionnaire la « créolisation », est définie comme un processus créant une langue créole à partir d’une langue de départ au contact d’autres langues. L’examen des documents anciens et l’analyse sociolinguistique des situations font présumer que c’est au début de cette seconde phase que s’opère la créolisation proprement dite…

Or le sens que Mélenchon attribue à créolisation est le signifiant métissage, c’est à dire qu’il ne parle pas d’un nouveau langage, mais d’une nouvelle ethnie issue d’union mixtes entre Français de souche et l’immigration…

Au passage, on notera que la société n’a pas besoin de lui pour qu’elle fasse toute seule cette mixité de la population, mais lui, il l’appelle de ses vœux, comme seule avenir, affichant ainsi son désir de « grand remplacement » que personne jusque là n’osait avouer dans les officines gauchistes…

A aucun moment il n’affiche un désir quelconque de lutter contre la barbarie, contre l’immigration forcenée, contre la délinquance, contre la violence. Il condamne maintenant même l’expression libre de Charlie Hebdo et prend parti pour les plus virulents détracteurs de la liberté d’expression ! Il accuse même Marianne (hebdo de la gauche républicaine), pour son combat contre les fondus du radicalisme islamique... Et enfin, il hurle avec les loups des groupuscules racistes pseudos antiracistes, pour déboulonner nos statues... On croit rêver, ou plutôt cauchemarder…

Pourtant, si on revient en 2015, Mélenchon soutenait Charlie et comme tout le personnel politique, conspuait le terrorisme et l’intolérance qu’il dénonçait sans ambiguïté !

Pour ceux des Français qui le soutiennent encore, il n’y a plus de doute à avoir : Mélenchon a totalement changé de camp et retourné sa veste !

Il a décidé de faire la pêche aux voix dans la communauté immigrée, pourquoi pas après tout  s’il s’agissait de viser les musulmans paisibles et intégrés dans la république. Mais non ! Il vise une immigration quelque soit son orientation et son degré de dangerosité pour la démocratie et pour la communauté nationale ! Il n’est pas question pour lui de s’attaquer aux radicaux islamistes, sous peine de se priver d’électeurs pour de prochaines échéances électorales.

En clair, il est complètement devenu un ennemi de la France et un collabo de la cinquième colonne salafiste, laquelle entend soumettre la France à une théocratie barbare.

Pendant ce temps-là, le gouvernement a une autre façon de pêcher les électeurs : Le « Bad Cop, Good Juge », avec pour Darmanin, la mission de racoler des électeurs de droite et d’extrème droite et pour Dupont-Moretti, celle de draguer une certaine gauche adepte d’un irénisme aveugle et partisane d’un laxisme qui serait salvateur…

Et pendant ce temps-là… La violence courait toujours, s’offrant une courbe ascendante exponentielle, que nul ne tente de stopper, si ce n’est par des mots !

On n’est pas dans la m…

  

 

jeudi 24 septembre 2020

La Cataracte

Sur Wikipedia l’encyclopédie Libre (et gratuite) – Extraits

La cataracte est l'opacification partielle ou totale du cristallin, lentille convergente située à l'intérieur de l'œil. Cette opacification est responsable d'une baisse progressive de la vue, au début accompagnée de gêne à la lumière (photophobie). Cette baisse de la vision peut être rapide (quelques semaines) si elle est causée par un traumatisme.

Épidémiologie

La cataracte est la première cause de cécité dans les pays en voie de développement : elle explique près de 40 % des 37 millions d'aveugles dans le monde. Il s'agit donc d'un problème de santé publique majeur dans ces pays, d'autant que le traitement est connu et son application n'est limitée que par le problème de coût. Les facteurs favorisants en sont la dénutrition, la déshydratation, l'exposition au soleil. Elle survient alors chez le sujet relativement jeune.

 

Dans les pays développés, la cataracte est majoritairement observée chez la personne âgée, on la dénomme alors « forme sénile » : des petites opacités existent chez 50 % des personnes à l'âge de 60 ans, 70 % des personnes à l'âge de 70 ans. Néanmoins, elle débute généralement en même temps que la presbytie vers 45 ans et elle est favorisée par le tabagisme ou la forte myopie9. Il existe des cas de cataracte congénitale. Aux États-Unis, près de 20 millions d'adultes de plus de 40 ans en sont atteints (chiffres 2004).

 

Causes

  • la cataracte sénile : l'immense majorité des cataractes apparaît spontanément avec l'âge, après 70 ans, de façon très progressive, sans cause déclenchante particulière.
    Certains facteurs peuvent cependant jouer un rôle aggravant et précipiter l'apparition de la maladie : l'exposition prolongée aux ultraviolets, les rayonnements ionisants, le tabagisme, l'hérédité, certains traitements comme des corticothérapies prolongées, le diabète, certaines maladies métaboliques, certains antidépresseurs.
    Avec le passage du temps, les facteurs environnementaux entrainent la dénaturation des protéines du cristallin. Ce sont en particulier les toxines, les radiations et surtout les UV qui ont un effet cumulatif. Ces effets sont majorés par l'absence de protection et de mécanisme de restauration possible dans les cellules du cristallin qui sont énucléées19 ;
  • la cataracte traumatique est d'évolution le plus souvent rapide ; les traumatismes par objets émoussés causent des gonflements, des amincissements ou une opacification des fibres de la lentille. Alors que le gonflement se résorbe habituellement avec le temps, la coloration blanche peut rester. Lors des traumatismes sévères ou les plaies pénétrantes de l’œil, la capsule dans laquelle la lentille cristallinienne siège peut être endommagée. Ceci permet à l'eau contenue dans les autres compartiments d'entrer rapidement dans les fibres de la lentille entraînant le gonflement et l'obscurcissement qui gêne le passage de la lumière vers la rétine sur la face postérieure de l’œil. Suite à des décharges électriques, une cataracte peut se développer dans 7 à 8 % des cas ;
  • les radiations : la lumière ultraviolette, et en particulier les UV-B, est connue pour être la cause de cataractes et il existe des preuves que le port des lunettes de soleil dès le plus jeune âge peut ralentir le développement d'une cataracte du sujet âgé. Il faut noter que les fibres de la lentille cristallinienne filtrent la lumière UV, si bien qu'après son ablation chirurgicale, on devient capable de percevoir les rayons UV. Il a été reconnu sur des expérimentations animales et sur des études épidémiologiques chez l'humain, que les micro-ondes peuvent causer des cataractes. Le mécanisme n'est pas clair mais pourrait inclure des changements de la sensibilité des enzymes à la chaleur qui protège habituellement les protéines de la lentille. Un autre mécanisme qui a été avancé est un dommage direct à la lentille par la pression des ondes induites dans l'humeur aqueuse. Les cataractes ont aussi été associées à l'exposition aux radiations ionisantes et aux rayons X. En plus des mécanismes précédemment mentionnés, les dommages sur l'ADN des cellules germinatives du cristallin ont été pris en considération23. Finalement, qu'il s'agisse de traumatisme électrique ou thermique, on aboutit à une dénaturation des protéines qui conduisent la lumière avec une opacification de la lentille résultant d'un phénomène de coagulation des protéines. Ceci est le même processus que quand l'albumine de l’œuf devient blanche et opaque lors de la cuisson. Ces types de cataractes sont souvent rencontrées chez les souffleurs de verre et les travailleurs de fours. Les lasers d'une certaine puissance sont connus pour entraîner des dommages pour l’œil et la peau, d’où l'importance des mesures de sécurité (laser à fluorure de krypton) ;
  • la cataracte secondaire à des affections graves de l'œil (uvéites anciennes, décollement de la rétine ancien) ;
  • les cataractes héréditaires : la composante génétique est marquée dans le développement des cataractes, principalement à travers les mécanismes qui protègent et maintiennent l'intégrité du cristallin. La présence de cataractes dès l'enfance ou les premiers moments de la vie peuvent occasionnellement être à des syndromes particuliers (indication d'une intervention chirurgicale plus ou moins rapide selon l'importance de l'opacité du cristallin).
    Les exemples d'anomalies chromosomiques associées avec la survenue de cataractes comprennent : le 1q21.1 deletion syndrome (en), la maladie du cri du chat, le syndrome de Down ou trisomie 21, le syndrome de Patau ou trisomie 13, le syndrome d’Edwards ou trisomie 18 et le syndrome de Turner.
    Des exemples de désordre d'un seul gène comprennent : le syndrome d'Alport, le syndrome de Conradi-Hünermann ou chondrodystrophie calcifiante congénitale, la dystrophie myotonique de Steinert , le syndrome oculo-cérébro-rénal ou syndrome de Lowe ;
  • les maladies de la peau : du fait de la même origine embryologique de la peau et du cristallin, ils peuvent être affectés par des maladies identiques. La dermatite atopique et l'eczéma peuvent occasionnellement se compliquer de cataractes secondaires à des ulcères.
    L'ichtyose est une maladie autosomique récessive associée avec des cataractes cunéiformes et scléroses du noyau. Les névus basocellulaires et le pemphigus peuvent donner lieu aussi à de telles associations ;
  • l'utilisation des drogues : la fumée de cigarette entraîne une augmentation d'au moins deux fois le risque de sclérose du nucleus dans les cataractes fibreuse et multiplie par trois le risque de cataracte sous capsulaire postérieur. Il existe une évidence sur l'effet délétère de l'alcool. Quelques études ont montré un lien mais d'autres non chez des patients suivis au long cours.
  • la cataracte congénitale ou de l'enfant a été reliée à des facteurs de risques, dont :
    • une malformation de type persistance de la vascularisation fœtale ;
    • l'hérédité (étiologie estimée comme principale dans 29 % des cas dans les pays développés et 18 % dans les pays en voie de développement) ;
    • l'âge de la mère au moment de la fécondation (âge supérieur à 40 ans) : risque ratio = 2,27 (IC 95 % =1,36-3,77) (p=0,03) ;
    • le fait d’avoir subi une césarienne a également été associé à un risque élevé ;
    • un poids à la naissance de moins de 2 500 g, âge gestationnel de moins de 37 semaines et taille inférieure à 48 cm ; ce sont 3 facteurs associés à un risque très élevé de cataracte bilatérale ;
    • une exposition aux rayonnements ionisants via l'alimentation ; elle semble augmenter le risque de cataracte subcapsulaires du cristallin selon Day et al. sur la base des données médicales réunies après la catastrophe de Tchernobyl, ce qui pourrait aussi être une explication pour certains des cas non expliqués (50 % des cas) selon G. Landon (2008).

Signes cliniques observés évocateurs de la cataracte :

  • baisse de l'acuité visuelle d'évolution progressive, le plus souvent bilatérale ;
  • gonflement du cristallin et modification de son indice de réfraction aux longueurs d'ondes visibles, d'où apparition d'une myopie d'indice (elle n'est pas dû à une "malformation" de l'oeil, uniqement à un changement dans la réfraction des rayons lumineux) le plus souvent asymétrique ;
  • troubles du sommeil et du rythme circadien.

La baisse d'acuité visuelle est chiffrée par les échelles de Monoyer et de Parinaud pour chaque œil. Ces mesures permettent une évaluation objective de la gêne, même si la prise en charge sera majoritairement dépendante de la gêne ressentie.

 

Des signes moins fréquents peuvent être observés :

L'examen du cristallin à la lampe à fente pose le diagnostic et précise le type de la cataracte : sous-capsulaire, corticale, nucléaire voire cortico-nucléaire, polaire, zonulaire. Celui-ci oriente vers les causes à l'origine de la cataracte.

 

Traitement

Le seul traitement efficace de la cataracte est la chirurgie. L'intervention consiste à enlever le cristallin opaque, et le remplacer par un cristallin artificiel (implant intra-oculaire) qui prend place dans l'« enveloppe » du cristallin (appelée capsule) laissée partiellement en place pendant l'intervention (extraction extra-capsulaire). Cette intervention se fait classiquement sous anesthésie de contact ou locale. L'anesthésie générale est réservée aux très rares cas où l'anesthésie locale n'est pas possible (patient agité, démence, sujet psychiatrique, enfant...). L'intervention dure une dizaine de minutes, est indolore, et la vue revient très rapidement, sous réserve de la normalité des autres structures oculaires.


L'intervention se fait le plus souvent en ambulatoire, c'est-à-dire sans hospitalisation, ou alors avec une hospitalisation très courte, selon les cas.


L'implant peut être à focales multiples permettant une vision correcte de près comme de loin30. Il peut être jaune, bleu ou depuis quelques années photochromique.


La complication la plus fréquente de l'intervention est la cataracte secondaire qui peut apparaître quelques jours à quelques années après l'intervention. Elle correspond à une opacification de la capsule. Cette opacification se traite par capsulotomie, le plus souvent au laser Nd-YAG. Des impacts focalisés sur la capsule vont la déchirer et rendre immédiatement une vue normale. Il arrive également que l'un des points de suture sur la cornée ne soit plus parfaitement étanche. Le chirurgien observe alors le signe de Seidel, qui traduit la fuite d'humeur aqueuse à travers la perforation. La prise en charge doit être rapide et adaptée, l'œil étant exposé à un grand risque septique.


La prudence veut qu'on ne traite jamais les deux yeux au cours de la même séance.


Dans les pays les moins avancés, l'intervention préférentielle (pour des raisons de coût) reste l'extraction intra-capsulaire du cristallin, où l'enveloppe (la capsule) est retirée en même temps que ce dernier. Les résultats sont moins bons que l'extraction extra-capsulaire.


Traitement médicamenteux

Depuis les années 1990, un biochimiste russe propose l'utilisation de la N-acétylcarnosine (en) en collyre, en raison des propriétés anti-oxydatives de cet acide aminé, comme traitement préventif et curatif.

  

mardi 22 septembre 2020

Où se trouve la tombe de Yul Brynner ?

 

L'Abbaye royale Saint Michel de Bois-Aubry, classée monument historique en 1944, située au milieu des champs, à Luzé près de Chinon, est un chef-d'œuvre de l'architecture romane du XIIe siècle et gothique des XIVe et XVe siècles. De toute la France, on s'y déplace pour l'admirer.


Beaucoup d’autres gens, venus du monde entier viennent ici se recueillir sur la tombe de Yul Brynner. Effectivement, le grand acteur célèbre d'Hollywood, au moins pour les moins jeunes d’entre nous, qui avait reçu un oscar pour « Le roi et moi » et que tout le monde a vu à la télévision dans « Les 7 mercenaires » et bien d’autres films y a sa tombe, dans le cimetière de cette Abbaye.

Mais comment les cendres de cette star décédée le 10 octobre 1985 à New York, d’un cancer du poumon (dû à sa consommation excessive de tabac), sont-elles arrivées jusqu'en Indre-et-Loire ?


« L'histoire est un peu compliquée », nous confie Marc-Olivier Gribomont propriétaire des lieux. En 2006, cet ancien haut fonctionnaire européen et son épouse craquent pour ce monument en ruine à la pierre blanche de tuffeau. Et pourtant, ce n'est qu'en signant l'acte de vente qu'ils découvrent la tombe de Yul Brynner.


Yul Brynner, né Juli Borissovitch Bryner, à Vladivostok (ou bien sur l'île de Sakhaline on ne sais pas très bien), en 11 juillet 1920, d'origines suisse et mongole par son père et russe par sa mère. dans la Sibérie de ce qui était alors l'Union soviétique, était un amoureux de la France et de Paris, où il a débuté, dès l'âge de onze ans, comme clown chez Bouglione, puis machiniste au théâtre des Mathurins, avant d'étudier à la Sorbonne et de prendre également des cours de théâtre à Paris, puis à New-York. Après la guerre, il partagera sa vie entre la France et les États-Unis.


Après sa mort, ses cendres ont été transférées à Bonnebosq, une commune de 700 habitants dans le Calvados où, avec Kathy Lee, sa quatrième épouse, il possédait une villa. Lorsque sa veuve a vendu leur propriété normande, elle a cherché un autre lieu d'accueil pour la sépulture de son époux. L'Abbaye de Bois Aubry était alors occupée par une communauté de moines orthodoxes dont l'un d'eux était un ami de la famille Brynner. L'urne a donc été transportée en Touraine.


Au fond du parc, on découvre le cimetière signalé à l'entrée par une icône orthodoxe. Et la tombe très modeste de Yul Brynner. Juste une pierre tombale blanche, simple, austère. Il faut même se rapprocher pour lire le nom. Quelques fleurs, une petite lanterne et des pommes de pin, tombées au fil des ans. Parmi les visiteurs, ceux qui viennent pour l'Abbaye et découvrent avec étonnement sa présence. Mais aussi ceux qui viennent en mémoire de l'acteur.


« Des cinéphiles qui connaissent toute son œuvre à la virgule près, des femmes amoureuses, principalement anglaises et américaines, des chercheurs de tombes de personnages célèbres. Peu de Russes qui préfèrent visiter sa maison natale à Vladivostok ou à Sakhaline. Mais en revanche, beaucoup de Tziganes ».

« Une famille Tzigane était venue déverser les cendres de plusieurs de ses membres, car pour cette communauté, Yul Brynner est un dieu ! » raconte le propriétaire des lieux, qui croise aussi beaucoup de motards. « Chez eux, il y a souvent un grand chauve qui se prend pour l'acteur », sourit-il.

   

dimanche 20 septembre 2020

BREAKFAST AT TIFFANY´S (DIAMANTS SUR CANAPE) - MOON RIVER


MOON RIVER (1961)

Quel merveilleux souvenir que ce film et surtout cette chanson magnifiquement interprétée par Audrey Hepburn

 

vendredi 18 septembre 2020

Mémoires et radotages (299) – Mes dernières réponses aux commentaires de blog

 

Écrit le 12 septembre 2020


A propos de l’immigration :

Le problème n'est pas une communauté dans son ensemble. Le problème est le manque de réaction de la justice plus prompte à taper sur les policiers que sur les ‘cailleras’. Le problème, c'est la quasi impunité dont ces délinquants et criminels jouissent et les font devenir chaque jour plus nombreux. Le problème, c'est cette opération porte ouverte permanente à une immigration non maîtrisée, parce qu’ "ON" ne veut pas la maîtriser... Il ne peut plus y avoir de liberté, d'égalité ni de fraternité, lorsque l'injustice, le désordre et l'insécurité prennent de telles proportions, au point d'empêcher les citoyens de se défendre légitimement sous peine d'être plus criminel que leurs agresseurs que l' "ON" protège...

Très bonne journée à toi

A propos de Moretti :

Quand un ultragauchiste parle d'illusion concernant le camp adverse, c'est qu'il est lui-même dans ses rêves chimériques émanant de ses œillères idéologiques... Ces gens là ne sont pas dans le réel ; ils sont dans l'irréel onirique d'une pensée théorique... 

Très bonne journée à toi

 

A propos des journalistes :

Une discordance de ma part : Tout dépend des médias : Entre médiapart et Blvoltaire, c'est le jour et la nuit. Cnews n'a rien à voir avec LCI ni la 27... Ils ne sont donc pas nécessairement tous de gauche ! Et puis même… il y a gauche et gauche…

Fort heureusement on a des Zineb El Rhazoui, des Zemmour, des Rioufol etc... qui s'expriment... Et je sais faire la différence avec les obsédés de la langue de bois et du progressisme islamo-gauchiste...

Très bonne journée à toi

Toujours à propos des journalistes : 


Il y a quand même une certaine liberté d'expression : A preuve, pascal Praud qui de plus en plus se droitise, bien qu'il contrarie fréquemment Rioufol... On parvient quand même à un certain équilibre des expressions et ça c'est très important !!!


Toujours à propos des journalistes :

Joffrin est un personnage complexe... Tout comme Julien Dray d'ailleurs (faisant l'objet d'une enquête préliminaire pour abus de confiance), qui a commencé comme Trotskyste à la LCR et qui maintenant se rapprocherait insensiblement d'un certain souverainisme de gauche. Par bien des points il y a accord sur certains thèmes, parce que la vérité est obligée de leur sauter aux yeux inéluctablement (sur l'insécurité par exemple), au point de les faire évoluer... Mais bien entendu il y a des points de leur sensibilité politique qui ne changeront pas...

Très bon samedi à toi


A propos des nouveaux conducteurs de berlines de luxe aux senteurs de cannabis :


Évidemment, nos dirigeants ont laissé notre pays régresser au point de favoriser l’émergence de véritables "cours des miracles" un peu partout dans nos banlieues... Des lieux où la police royale, comme jadis, n'a pas le droit de mettre les pieds... Et bien il y a des rois autoproclamés de ces cours des miracles un peu partout dans ces territoires délaissés de la république... En toute impunité !

Très bonne journée à toi

  

jeudi 17 septembre 2020

Je ne suis plus tricard

 

Aujourd'hui, 17 septembre 2020, je retrouve enfin 17 jours après la suppression de mon blog sur canalblog et la création du nouveau, après également 16 jours de placard, une place parmi :

les "Derniers blogs Actualités et Médias mis à jour",

"les Nouveaux messages d'actualités et médias",

et "les "Tops messages d'actualités et médias"...

Je suis content de ne plus être tricard !!! Merci.

Hépatite C

Article en accès gratuit sur internet

La seule maladie virale chronique à pouvoir être guérie (Note de zalandeau : Seulement depuis quelques années).

L’hépatite C chronique concernerait moins de 200 000 personnes en France, un chiffre en constante diminution ces dernières années. Cette maladie du foie d'origine virale reste longtemps silencieuse : elle évolue pendant dix, vingt ou trente ans avant que de graves complications apparaissent. Désormais, l’enjeu est de parvenir à diagnostiquer et à traiter les personnes infectées avant ce stade. Des médicaments permettant de guérir plus de 95% des personnes traitées sont désormais disponibles. En cela, l’hépatite C chronique est unique : elle est aujourd’hui la seule maladie virale chronique à pouvoir être guérie.


L’hépatite C est une maladie du foie causée par un agent infectieux de la famille des flavivirus, le virus de l’hépatite C (VHC). Avec l’hépatite B, elle constitue l’une des formes les plus graves d’hépatite virale, capable d’engendrer une atteinte chronique du foie à risque de complications graves.

En 2011, on estimait à 345 000 le nombre de personnes ayant été en contact avec le VHC en France, et à 232 000 le nombre de porteurs chroniques du virus. Cependant, du fait de l’efficacité et de la prescription élargie des nouveaux traitements, ce dernier nombre est en constante diminution depuis 2014. Ainsi, en 2016, le nombre de porteurs chroniques était estimé à 193 000, dont seuls les deux tiers auraient connaissance de leur infection.

La France a adopté une politique de santé publique particulièrement proactive concernant le dépistage et la prise en charge de la maladie, ce qui explique la diminution récente et constante des chiffres de prévalenceprévalenceNombre de cas enregistrés à un temps T.. Ailleurs dans le monde, l’enjeu reste important : 70 millions de personnes seraient chroniquement infectées - soit 1% de la population du globe - et plus de 350 000 personnes décèderaient chaque année des suites de cette maladie.

Des modes de contamination parfois sous-estimés


Le VHC se transmet essentiellement par voie sanguine. Les cas de contamination par voie sexuelle sont rares et limités aux personnes qui ont des partenaires multiples, des pratiques sexuelles brutales et/ou sont co-infectées par le VIH. Le risque de transmission maternofœtal est de l’ordre de 5% si le VHC est détectable dans le sang de la mère au moment de la naissance. En pratique, la principale voie de contamination actuelle passe par le partage de matériel entre usagers de drogues (seringue, paille de sniff, compresse…).

Historiquement, le virus s’est largement propagé par le biais des transfusions sanguines. La découverte du VHC en 1989 a ensuite permis d’écarter définitivement ce risque, au moins dans les pays industrialisés. Le virus a également pu se transmettre à l’occasion de tatouages, de soins dentaires ou d’acupuncture réalisés avec du matériel mal stérilisé, mais cette voie de contamination est aujourd’hui anecdotique.

Depuis l’identification du virus, les mesures de prévention et de dépistage ont largement permis de réduire l’ampleur de l’infection en France : même si on ne dispose d'aucune évaluation précise récente du nombre annuel de nouveaux cas en France, on pense que quelques milliers de personnes contractent encore le virus chaque année, essentiellement parmi les usagers de drogues. L’évolution récente des traitements favorise une moindre circulation du virus et donc, potentiellement, une diminution des nouvelles infections.

Les usagers de drogues pratiquent pour la plupart des tests de dépistage réguliers pour le VHB, VHC et VIH. Ils sont donc souvent diagnostiqués. Restent que les personnes n’ayant pas le sentiment d’appartenir à un groupe à risque sont peu enclins à réaliser un dépistage : celles ignorant avoir reçu une transfusion sanguine avant 1992, celles ayant été infectées à l’occasion d’une unique consommation de drogue… Au total, on estime que près d’une personne concernée sur trois, ignore qu’elle est infectée par le VHC.

Zalandeau : C’était le cas de mon Papa ! Mon père a été contaminé  dans les années 70 suite à une très grave brûlure, à l’hôpital Saint Roch à Nice lors de transfusion de produits sanguins. Comme le dit si bien le texte ci-dessus, l’hépatite C n’était pas recherchée dans le sang des donneurs à l’époque.
Et ce n’est que dans les années 90, à la retraite, que sa maladie a été diagnostiquée… Un des deux lobes de son foie était nécrosé et totalement mort… Etant donné son âge, il n’était pas question de lui faire une greffe de foie, ces organes étant destinés en priorité à des personnes plus jeunes, quand au médicament il n’est apparu qu’en 2013, bien après le décès de mon père et à un prix inabordable…

Ce qu’aucune littérature ne transcrit, c’est comment la maladie arrive à son terme… La mort !

Les derniers jours de mon père, j’étais à l’hôpital Saint Cyr de Villeneuve sur Lot et je m’enquis, auprès d’un médecin du service, des symptômes qui avaient successivement frappé mon père.
Il m’expliqua alors, que depuis des mois, mon père allait tous les quinze jours se faire retirer du liquide qui s’accumulait dans son abdomen et que le foie ne filtrait plus… Après la nécrose totale du deuxième lobe du foie, la maladie s’en prend à d’autres organes… Poumons, cœur et finalement le cerveau… Parallèlement le liquide envahit tout le corps… dont les poumons… Et le patient meurt en partie par noyade…
  

mardi 15 septembre 2020

Mémoires et radotages (300) – Les Gilets jaunes ne sont plus ce qu’ils étaient !

 

Écrit le 13 septembre 2020


Samedi 12 septembre 2020, les Gilets Jaunes ont remis ça… Façon de parler…

Car enfin, des gens revêtus du fameux gilet, il n’y avait que 1 à 2 %...

Leur nombre ? Seulement 8.500 dont 2.500 à Paris.

En 2018, les gilets jaunes fort nombreux, regroupaient des gens qui manifestaient pour leur niveau de vie amputé semaine après semaine par l’état Macronien ainsi que par des individus qui étaient contre tout et n’importe quoi. Mais il régnait dans les manifs, une tolérance entre les différentes motivations des participants. 

Samedi dernier, les manifestants étaient composés majoritairement de gens qui sont contre tout et n’importe quoi et encore, seulement les plus politisés et les plus radicaux et intolérants, comme le prouve le ‘chahutage’ et les insultes envers Bigard au motif de son respect des institutions policières. Vas soutenir des cons pareil !

En 2018, les manifestants n’étaient mus que par un mécontentement spontané mis en place à l’aide des réseaux sociaux, prenant au dépourvu toutes les organisations syndicales.

Samedi dernier, l’ultra-gauche, la France Insoumise, les groupes minoritaires et la CGT ont fomenté cette manifestation politique essentiellement destinée à emmerder le gouvernement, les institutions et à abattre le fonctionnement de la France. Ils aiment bien prendre la France en otage !

Cela fait une sacrée différence.

Dans les deux cas, les blackblocks étaient au rendez-vous, avides de démolir le système.

« Le mouvement est mort, je le dis clairement. C’est un peu un baroud d’honneur » dit un manifestant un peu plus lucide…

Je me demande combien de nouveaux cas contacts, combien de nouveaux infectés seront générés par ceux qui ne portaient pas de masque et ne gardaient pas les distances physiques appropriées ?

Je me demande s’ils comprennent que Macron ne va pas sortir indéfiniment des milliards en plus pour combler les trous dans l’économie que ces imbéciles peuvent générer alors que nous tâchons de sortir très difficilement d’un marasme économique sans précèdent ?

Je me demande si ces gens ont le sens des responsabilités ? Il y a un moment pour tout. Mais en ce moment, la situation est trop fragile.

Certes, ce sont les blackblocks qui cassent tout, mais les manifestants ordinaires savent qu’inévitablement les casseurs seront à l’œuvre… Et devraient savoir que ce n’est pas le moment de casser alors que nous sommes en pleine reconstruction très aléatoire.

Comme je l’ai dit, les slogans, les motivations de ces manifestants, sont moins nobles que ceux des Gilets Jaunes de 2018 :

« No masques, No vaccins », « Black Lives Matter » et bien d’autres fariboles issues de rumeurs complotistes dominaient des aspirations plus sérieuses comme : « le changement de Constitution par référendum », « la justice sociale et fiscale », « dissolution de l’assemblée nationale », « la démocratie directe » ou « pouvoir remplir son frigo dignement ».

Heureusement la forte présence policière a empêché qu’il y ait trop de casse et trop de violence. Je pense (sans en être certain) que ce coup-ci, les casseurs ont été davantage ciblés que les Gilets Jaunes, contrairement à 2018-2019 !

Remettons l’économie en marche ! Recréons du travail pour nos jeunes ! Sortons les gens du chômage ! Consommons !... Et ensuite on verra pour le reste !

Samedi dernier, il y avait des manifestants, mais ce ils n'étaient plus véritablement des Gilets Jaunes.