mercredi 26 avril 2023

Mémoires et radotages (470) – Demande unique de retraite - Ouf, c’est fini !!!

 

Écrit le 26 avril 2023

56 jours d’enfer enfin terminés !!!

La demande de retraite de ma femme est terminée ! Alléluia ! Qu’est-ce qu’elle a pu me faire chier avec ses questions oiseuses : « Et pourquoi ceci, et pourquoi cela ? »… Je cherchais pendant une demi-heure sur le tableau complet que j’avais fait de sa carrière, mois par mois… Et je lui donnais une réponse… Manque de pot, c’est que le lendemain, ou même quelques heures après, elle me reposait la même question… Et moi qui n’ai plus de mémoire, je me replongeais dans les documents et lui redonnais la même réponse… De jour en jour comme ça… Toutes ses années, tous ses montants, tous ses trimestres, tous ses points ont fait l’objet de ses questions oiseuses, maintes et maintes fois et quand il lui est arrivé de noter mes réponses, ses notes étaient absolument incompréhensibles car mal renseignées… Bien sûr que je gueulais au bout d’un moment !


Alors que j’avais cerné seulement deux problèmes relativement importants (quelques euros d’incidence sur sa retraite), sur l’assurance vieillesse et deux autres sur l’ARRCO ! Il y avait aussi trois autres minuscules problèmes qui ne valaient pas de réclamer, leur incidence étant de quelques centimes mensuels sur sa retraite et étant fort compliqués à prouver et ne trouveraient pas de réponses favorables.


Et bien le pire, c’est que ses questions à elle, portaient sur des années où il n’y avait absolument aucun problème ! Ou bien alors sur celles précédemment citées où les minuscules problèmes ne trouveraient pas de solution… (Par exemple, une patronne qui avait modifié un bulletin de salaire au stylo à bille sans en informer le comptable, de sorte que la paye supplémentaire n’a pas fait l’objet de cotisations)…


Le pire c’est qu' elle s’obstinait à vouloir tout contrôler alors qu’elle ne comprenait rien à rien ! Pourquoi ne m’a-t-elle pas confié le soin de monter ces deux dossiers ? Têtue comme une bourrique ! Et surtout paranoïaque… Est-ce que j’essayerai de la gruger ? C’est vexant qu’on n’ait pas confiance en moi !...


Bien sûr, j’ai scanné, j’ai imprimé… Mais ce n’était pas cela qui était le plus important… J’ai fait le larbin, alors qu’elle qui ne comprend que dalle, voulait faire la cheffe, tout en me cassant sans cesse les roubignoles pour que je lui explique encore et encore…


Je me suis tué à lui dire que le plus important, c’était d’avoir les trimestres supplémentaires pour maternité, éducation et congé parental d’éducation ! C’était aussi, de bien obtenir la majoration pour trois enfants ! Et donc de réunir toutes les preuves pour cela !

Une seule fois, une seule, c’était jeudi 20 avril, elle m’a demandé mon aide pour son premier dossier : En une heure, j’ai tout bouclé !!! Cela aurait du être comme ça tout le temps, et… ça aurait pris beaucoup moins de temps… Mais c’est comme ça : Parano, tempérament dépressif, et il faut bien le dire QI largement insuffisant alliés à une obstination de bourricot…


Heureusement que pendant certains temps, j’ai eu la possibilité de rétrécir des costumes en écoutant ‘les grosses têtes’ sur RTL… sinon, je n’aurais pas tenu le coup...

L’enfer est terminé pour moi ! Et elle, elle s’est calmée… Enfin, ce n’est pas trop tôt !


Alors, pour me changer les idées, puisque ma mémoire est devenue celle d’un poisson rouge, j’écris mes deux recettes (si je peux appeler ça comme ça), pour ne pas oublier d’ingrédients, quand je vais faire les courses : Le plat à la cocotte minute et la salade composée (pour diabétique)…



         

vendredi 21 avril 2023

Mémoires et radotages (469) – Danger jonction rond point / De Lattre de Tassigny

Écrit le 20 avril 2023

Monsieur le Maire

 ‌Il y a un très gros danger à laisser ce panneau de pub devant le passage piétons... Vous devez déplacer l'un ou l'autre !

Merci !

Voir document joint

 Ils ont mis dix mois à modifier une rue de 150 mètres... En connivence avec l'entreprise locale et amie des décideurs... Tout ça pour ça ! Un  danger public !!!

J'ai écrit ce message à la Mairie...

Je n'ai hélas  pas réussi à  contacter le journal local qui ne donne pas son email ! Les infos utiles... Ils s'en foutent, dirait-on...

         

dimanche 16 avril 2023

8 signes pour détecter un vrai psychopathe !

Écrit par autrui

1- Il ne ressent rien pour les autres

 

 Les psychopathes ne ressentent rien pour les autres mais seulement pour eux. Ils ressentent bien biologiquement des émotions mais psychologiquement les troubles caractériels de leur maladie viennent troubler et altérer le ressenti de ces émotions. Ils n'ont aucun sentiment envers les autres. Toute émotion est ramenée à eux de n'importe quelle façon. Les autres ne sont que des objets qui servent à assouvir leurs envies.

 

Ce problème d'absence d'empathie explique pourquoi ils n'ont aucune morale et donc aucune limite à faire du mal à autrui physiquement et moralement. D'où leur dangerosité.

 

2- Il n'avoue jamais sa culpabilité

 

Mensonges, manipulations, violence... Les psychopathes sont prêts à tout pour que chaque chose conviennent à leurs envies. Tout individu, lorsqu’il n’agit pas comme le psychopathe le souhaite, lui rappelle cette réalité qu’il déteste. Il n’est pas question de déni ou de fuite de la réalité, un psychopathe cherche juste à la modifier pour qu'elle soit conforme à l’idée que lui se fait. Si quelqu'un agit différemment, il fera tout pour le détruire. Et s'il fait du mal c'est uniquement parce que les autres l'ont bien cherché.

 

Jamais de leur faute ? Jamais un psychopathe n’avoue sa culpabilité. Il cherche à trouver n’importe quoi pour se justifier ou tente de manipuler l’autre pour lui faire croire que tout est de sa faute. "Pour satisfaire sa personnalité narcissique jamais le psychopathe ne doit baisser dans l'estime des autres. Il n’y a aucune préoccupation pour le sort de la victime, aucune expression d’amour et de remords" explique J.Reid Maloy, professeur de psychatrie à l'université de Californie, dans son ouvrage Les psychopathes.

 

3- Il dévalorise les autres sans cesse

 

Le psychopathe vit dans une réalité qu’il se fabrique. Tous les autres individus extérieurs le sortent de cette réalité et lui rappellent ce qu’il déteste. En conséquent, il a tendance à rabaisser les autres plus bas que terre continuellement. C’est une sorte d’extériorisation agressive afin de détruire tout ce qui peut lui faire mal. Un moyen d’attaquer les autres pour être sûr qu’il ne le blesse pas un jour. Etant un être tourné sur lui même, le psychopathe ne prendra pas le risque que quelque chose puisse toucher à l’estime qu’il a de lui. Pour arriver à ses fins, il est prêt à tout. Néanmoins il est important de ne pas confondre un pervers narcissique qui rabaisse pour son plaisir avec un psychopathe qui souffre d'une maladie violente beaucoup plus dangereuse.

 

4- Aucune relation sociable durable

 

Contrairement à ce qu’on croit, les psychopathes ont quelques facilités à nouer des liens avec les autres. Mais ces liens ne durent jamais. Comme une pause au milieu de la maladie, les psychopathes ont besoin des autres pour tester la réalité. Le problème c’est qu'à cause de leurs caractéristiques narcissiques, colériques et paranoïaques n’importe quelle personne viendra un jour heurter leur susceptibilité et déchaîner leur colère sans même le vouloir. Comme un mécanisme de défense, le malade va tenter de détruire l’autre, moralement ou physiquement. Quoiqu’il arrive, les psychopathes finissent par être isolés.

 

5- Paranoïaque, il s’énerve rapidement

 

 C’est dans son caractère colérique que l’on ressent le plus l’aspect d’un psychopathe. Cette particularité s’apparente à une sorte de délire paranoïaque parce qu'il veut être constamment admiré et envié. "Les personnes réelles sont perçues comme des objets familiers mais néanmoins maléfiques qui attaquent et qui méritent la rage du psychopathe" explique J.Reid Maloy dans son livre Les psychopathes. Un événement bénin, une petite insulte ou même un regard de travers peuvent suffire à renvoyer au psychopathe l’impression qu’on ne le voit pas comme il le souhaiterait. "L’expérience consciente de rage dans le processus psychopathique débouche typiquement sur la violence en l’absence de structuration du surmoi" ajoute l'auteur.

 

6- La tromperie continuelle

 

Une personne atteinte de psychopathie a conscience du mal qu'elle cause à l’autre. Pour éviter que les autres ne fassent quelque chose qui lui déplaise ou l'angoisse, elle utilise la tromperie. Il y a une réelle intention de manipulation des autres pour le dénuer de tout attribut. Par ce moyen, le psychopathe est sûr de dominer et satisfaire sa personnalité narcissique.

 

7- L'indifférence froide

 

Les personnes psychopathes ne sont pas sensibles, on ne peut pas les "prendre par les sentiments". Elles contrôlent sans peine leurs peurs et leurs pulsions en public. Ayant souvent deux visages, l'un pulsionnel et l'autre social, le premier reprend rapidement l'ascendant sur le second dans la vie privée. Leurs pulsions peuvent s'exprimer avec efficience à travers le pouvoir des mots (ou langage performatif), qui deviennent aussi destructeurs que les violences physiques, voire davantage. Leur regard reste froid et intense à la fois, accentuant une part de mystère.

 

Psychopathie : 3% d'hommes et 1% de femmes

 

La psychopathie est une maladie grave très peu connue qui touche 3% d'hommes et 1% de femmes.

C’est un trouble permanent du développement comportementale caractérisé par des comportements associables impulsifs et pour lesquels le sujet ne ressent aucune culpabilité.

 

Ce trouble psychologique peut interagir et/ou accentuer d’autres troubles comme la schizophrénie ou la dépression bipolaire. Il existe plusieurs degrés dans la maladie pouvant aller de la psychopathie modérée à un passage à l’acte criminel et dangereux pour les autres. Elle ne peut être diagnostiquée avant 18 ans mais en générale on peut toujours constater des antécédents au cours de l'adolescence.

 

8- Quel est le langage des psychopathes ?

 

On ne peut oublier ces phrases délicieuses que prononce, dans Le silence des agneaux, Hannibal Lecter, interprété par Anthony Hopkins : “J’ai été interrogé par un employé du recensement. J’ai dégusté son foie avec des fèves au beurre, et un excellent chianti.” Si elle était sortie de la bouche d’un criminel réel, cette citation aurait fait le bonheur d’un trio de chercheurs américain et canadiens qui ont publié le mois dernier, dans la revue Legal and Criminological Psychology, une étude analysant la manière dont s’expriment les psychopathes. Il en ressort notamment qu’en plus de ne manifester aucune empathie pour leurs victimes, qui sont instrumentalisées, les psychopathes, lorsqu’ils relatent leurs crimes, font beaucoup plus référence que les assassins “normaux” à leurs besoins physiologiques et matériels. Nourriture, boisson et argent sont nettement plus évoqués. Pour exceptionnel qu’il paraisse, Hannibal le Cannibale n’est donc pas si différent des autres…

 

Les psychopathes éprouvent très peu d’émotions, sont essentiellement centrés sur eux-mêmes et, dans leur vision de la société, ils perçoivent les autres comme des proies ou du bétail à exploiter. C’est probablement pour cette raison que, selon une étude récente, on retrouve tant de psychopathes parmi les dirigeants d’entreprises… Ce sont d’excellents manipulateurs et ils utilisent le langage comme une arme. On se souvient d’ailleurs que le docteur Lecter pousse son voisin de cellule à se suicider après une longue discussion. On sait également qu’au Canada, les psychopathes réussissent 2,5 fois plus que les autres détenus les entretiens qu’ils réalisent en vue d’une libération conditionnelle… Néanmoins, ces qualités verbales, ce bagout, ont été fort peu analysés.

 

C’est pour combler cette lacune que l’étude de Legal and Criminological Psychology s’est donné pour objectif d’interroger en prison, avec leur accord, des criminels canadiens, tous coupables de meurtres qu’ils ont reconnus. Sur les 52 hommes retenus, 14 étaient qualifiés de psychopathes par des psychiatres. Les chercheurs sont donc allés les interviewer, 25 minutes chacun, en leur demandant de raconter, avec le plus de détails possibles, les crimes qu’ils avaient commis. Des crimes qui, en moyenne, avaient eu lieu une décennie auparavant. Une fois retranscrits, les entretiens ont été passés à la moulinette de programmes d’analyse textuelle. Ceux-ci ne se contentent pas de faire des statistiques sur les occurrences de mots mais ils les classent dans des catégories grammaticales (noms, articles, adjectifs, verbes, adverbes, etc) et des champs sémantiques (mots évoquant les interactions sociales, l’argent, le temps, etc.), soupèsent leur charge affective (positive ou négative, intense ou faible, imagée ou pas) et reconnaissent les temps de conjugaison employés.

 

Les entretiens réalisés avec les 52 détenus ont totalisé plus de 127 000 mots, dont presque 30 000 pour les 14 psychopathes. La manière dont ceux-ci s’expriment a été comparée avec celle des autres criminels et les chercheurs y ont décelé un certain nombre de points saillants. La première découverte concerne l’usage important que les psychopathes font des conjonctions de subordination et des expressions à valeur causale (parce que, puisque, étant donné que) lorsqu’ils décrivent leurs méfaits. Comme si les crimes qu’ils ont commis étaient les résultats logiques de plans, comme si ces actions devaient être effectuées, ce qui est cohérent avec le fait que la très grande majorité des psychopathes tuent avec un but précis en tête, alors que la moitié des autres meurtriers agissent dans l’instant, sous le coup de la colère, dans des bagarres, etc.

 

Deuxième enseignement, les psychopathes utilisent environ deux fois plus souvent que les autres du vocabulaire se rapportant à leurs besoins physiologiques primaires (manger et boire) et à leur préservation (avoir de l’argent, un toit). En revanche, ils se réfèrent nettement moins aux relations sociales, à la famille ou à la religion. Cela colle bien avec le portrait-robot du psychopathe centré sur sa personne, qui, même s’il peut être à l’aise dans la communication, se crée difficilement des liens et n’envisage aucune aide familiale ni spirituelle pour sa “réhabilitation”. Il décrit son crime d’une manière froide, détachée, lointaine, ce qui est confirmé par l’utilisation plus fréquente des temps du passé, alors que les autres détenus ont davantage tendance à se servir du présent pour reconstituer les meurtres dont ils ont été coupables.

 

Cette étude présente des limites dont les auteurs sont conscients. Notamment le fait qu’on a demandé aux détenus de décrire ces actes si exceptionnels que sont des meurtres. Il faudrait reproduire la même analyse avec des conversations ou des récits plus banals. Les chercheurs suggèrent ainsi de montrer de courtes vidéos à des psychopathes et à des assassins non-psychopathes et de les leur faire décrire ensuite, pour décortiquer la manière dont ils reconstituent les scènes. Evidemment, les conclusions de ces travaux n’ont pas (encore…) de valeur prédictive. Alors, la prochaine fois que quelqu’un raccrochera un peu vite le téléphone en vous disant “J’aimerais poursuivre cette conversation mais… j’ai un vieil ami pour le dîner”, n’imaginez pas forcément que, à l’instar du docteur Frederick Chilton à la fin du Silence des agneaux, le “vieil ami” en question terminera sa carrière en osso-bucco préparé par un clone d’Hannibal Lecter…

 

 

samedi 15 avril 2023

vendredi 14 avril 2023

Mémoires et radotages (468) – On le savait, mais maintenant on en est certain

 

Écrit le 14 avril 2023

Le conseil constitutionnel a donné raison au dictateur élu… Nous sommes bien sous une dictature verrouillée par les institutions. Ah, ça ira, ça ira, ça ira, les énarques à la lanterne...

         

Charles de Gaulle - Libération de Paris - 25 Août 1944

 


 Besoin de hauteur, d'humanité, de sincérité, de droiture, alors De Gaulle, ça vaut mieux que la morgue d'une sous-merde arrogante et hypocrite, actuellement aux affaires de notre pauvre France...

       

jeudi 13 avril 2023

Mémoires et radotages (467) – Les Macroneries – Relents de pourriture

Écrit le 12 avril 202

Macron à La Haye : Un militant l'a interpellé depuis les gradins : "Désolé de vous interrompre... mais où est la démocratie française?", a-t-il crié en anglais.

 Une deuxième personne a ensuite lancé: "Personne n'écoute... vous avez des millions de personnes dans la rue".

Dans le même temps, des manifestants ont tenté d'accrocher une banderole où il est écrit "Président de la violence et de l'hypocrisie".

"Pour l'honneur des travailleurs, même si Macron ne veut pas, nous, on est là", a-t-il scandé plusieurs fois, avant et après avoir été maîtrisé par les forces de l'ordre.

"On est là": un manifestant plaqué au sol après avoir chanté un hymne anti-Macron lors de sa visite à Amsterdam

Macron en Chine : Taïwan : Trump estime que "Macron est allé en Chine lécher le cul" de Xi Jinping...

Partout où ce Satrape passe, j'ai honte pour mon pauvre et cher pays... La France est tombée bien bas avec ce gus despotique, honni et haï pour son indifférence, la trahison de son peuple et la détestation qu'il engendre partout où il passe...

Alors que la guerre est à nos portes et que des préoccupations plus appropriées seraient de mise en cette période tragique qui rappelle la triste année 1938... Et au lieu de cela, il joue les Daladier ratés et le destructeur de la France dans le monde...

Aussi, loin des Macronades lamentables et inapropriées, des Poutinades nucléaires menaçantes, et des Xi-jing-pingueries guerrières et colonialistes, je me réfugie auprès de Léo... ce type qui avait un cœur gros comme ça, qui haïssait la guerre et les excès des puissants ! Comme il avait raison...


Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Et nos amours faut-il qu'il m'en souvienne

La joie venait toujours après la peine

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

Les mains dans les mains restons face à face

Tandis que sous le pont de nos bras passe

Des éternels regards l'onde si lasse

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

L'amour s'en va comme cette eau courante

L'amour s'en va comme la vie est lente

Et comme l'Espérance est violente

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

Passent les jours et passent les semaines

Ni temps passé ni les amours reviennent

Sous le pont Mirabeau coule la Seine

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

................

Que cette année 1938 dure indéfiniment, malgré son odeur de pourriture cadavérique, c'est mon souhait ! Je n'ai pas besoin d'une année 1939 à venir...

        

dimanche 9 avril 2023

Oscar Thiffault - Le Rapide Blanc (1954)

 Je me souviens parfaitement de cette chanson Interprétée par un chanteur folklorique Québecois...


 

 Le Rapide Blanc
Paroles et Musique (et interprétation) : Oscar Thiffault 1954

(Marcel Amont l'a également chantée)


Y va frapper à la porte,
Ah Ouigne In Hin ! Ah Ouigne In Hin !
La bonne femme lui a demandé
Ce qu'il voulait ce qu'il souhaitait
Ah, je voudrais madame
J'voudrais bien entrer

Ah ben a dit entrez donc ben hardiment
Mon mari est au Rapide Blanc
Y a des hommes de rien qui rentrent pis qui rentrent
Y a des hommes de rien qui rentrent pis ça m'fait rien
Y a des hommes de rien qui rentrent pis qui rentrent
Y a des hommes de rien qui rentrent pis ça m'fait rien

Après qu'il ait eut rentré,
Ah Ouigne In Hin ! Ah Ouigne In Hin !
La bonne femme lui a demandé
Ce qu'il voulait ce qu'il souhaitait
Ah je voudrais madame
J'voudrais bien me chauffer

Ah ben a dit chauffe-toi donc ben hardiment
Mon mari est au Rapide Blanc
Y a des hommes de rien qui s'chauffe pis qui s'chauffe
Y a des hommes de rien qui s'chauffe pis ça m'fait rien
Y a des hommes de rien qui s'chauffe pis qui s'chauffe
Y a des hommes de rien qui s'chauffe pis ça m'fait rien


Après qu'il s'est eut chauffé,
Ah Ouigne In Hin ! Ah Ouigne In Hin !
La bonne femme lui a demandé
Ce qu'il voulait ce qu'il souhaitait
Ah je voudrais madame
J'voudrais bien me coucher

Ah ben a dit couche-toi donc ben hardiment
Mon mari est au Rapide Blanc
Y a des hommes de rien qui s'couche pis qui couche
Y a des hommes de rien qui s'couche pis ça m'fait rien
Y a des hommes de rien qui s'couche pis qui couche
Y a des hommes de rien qui s'couche pis ça m'fait rien

Après qu'il s'est eut couché,
Ah Ouigne In Hin ! Ah Ouigne In Hin !
La bonne femme lui a demandé
Ce qu'il voulait ce qu'il souhaitait
Ah je voudrais madame
Je voudrais bien vous embrasser

Ah ben a dit embrasse moé donc ben hardiment
Mon mari est au Rapide Blanc
Y a des hommes de rien qui m'embrasse qui m'embrasse
Y a des hommes de rien qui m'embrasse pis ça m'fait rien
Y a des hommes de rien qui m'embrasse qui m'embrasse
Y a des hommes de rien qui m'embrasse pis ça m'fait rien

Après qu'il l'aie embrassé,
Ah Ouigne In Hin ! Ah Ouigne In Hin !
La bonne femme lui a demandé
Ce qu'il voulait ce qu'il souhaitait
Ah je voudrais madame
Ah je voudrais bien m'en aller

Ah ben elle dit sacre ton camp ben hardiment
Mon mari est au Rapide Blanc
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui s'en vont
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui font rien
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui s'en vont
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui font rien

        

lundi 3 avril 2023

Sous l'emprise de cette chanson, musique et paroles

 

Lou Reed - Walk on the Wild Side


Holly came from Miami, F.L.A.

Hitch-hiked her way across the U.S.A.

Plucked her eyebrows on the way

Shaved her legs and then he was a she

 

She says, "Hey, babe

Take a walk on the wild side"

Said, "Hey, honey

Take a walk on the wild side"

 

Candy came from out on the Island

In the back room she was everybody's darling

But she never lost her head

Even when she was giving head

 

She says, "Hey, babe

Take a walk on the wild side"

Said, "Hey, babe

Take a walk on the wild side"

 

And the colored girls go

"Doo do doo do doo do do doo..."

 

Little Joe never once gave it away

Everybody had to pay and pay

A hustle here and a hustle there

New York City's the place

 

Where they said, "Hey, babe

Take a walk on the wild side"

I said, "Hey, Joe

Take a walk on the wild side"

 

Sugar Plum Fairy came and hit the streets

Looking for soul food and a place to eat

Went to the Apollo

You should've seen them go, go, go

 

They said, "Hey, sugar

Take a walk on the wild side"

I said, "Hey, babe

Take a walk on the wild side", alright

Huh

 

Jackie is just speeding away

Thought she was James Dean for a day

Then I guess she had to crash

Valium would have helped that bash

 

She said, "Hey, babe

Take a walk on the wild side"

I said, "Hey, honey

Take a walk on the wild side"

 

And the colored girls say

"Doo do doo do doo do do doo..."