jeudi 13 avril 2023

Mémoires et radotages (467) – Les Macroneries – Relents de pourriture

Écrit le 12 avril 202

Macron à La Haye : Un militant l'a interpellé depuis les gradins : "Désolé de vous interrompre... mais où est la démocratie française?", a-t-il crié en anglais.

 Une deuxième personne a ensuite lancé: "Personne n'écoute... vous avez des millions de personnes dans la rue".

Dans le même temps, des manifestants ont tenté d'accrocher une banderole où il est écrit "Président de la violence et de l'hypocrisie".

"Pour l'honneur des travailleurs, même si Macron ne veut pas, nous, on est là", a-t-il scandé plusieurs fois, avant et après avoir été maîtrisé par les forces de l'ordre.

"On est là": un manifestant plaqué au sol après avoir chanté un hymne anti-Macron lors de sa visite à Amsterdam

Macron en Chine : Taïwan : Trump estime que "Macron est allé en Chine lécher le cul" de Xi Jinping...

Partout où ce Satrape passe, j'ai honte pour mon pauvre et cher pays... La France est tombée bien bas avec ce gus despotique, honni et haï pour son indifférence, la trahison de son peuple et la détestation qu'il engendre partout où il passe...

Alors que la guerre est à nos portes et que des préoccupations plus appropriées seraient de mise en cette période tragique qui rappelle la triste année 1938... Et au lieu de cela, il joue les Daladier ratés et le destructeur de la France dans le monde...

Aussi, loin des Macronades lamentables et inapropriées, des Poutinades nucléaires menaçantes, et des Xi-jing-pingueries guerrières et colonialistes, je me réfugie auprès de Léo... ce type qui avait un cœur gros comme ça, qui haïssait la guerre et les excès des puissants ! Comme il avait raison...


Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Et nos amours faut-il qu'il m'en souvienne

La joie venait toujours après la peine

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

Les mains dans les mains restons face à face

Tandis que sous le pont de nos bras passe

Des éternels regards l'onde si lasse

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

L'amour s'en va comme cette eau courante

L'amour s'en va comme la vie est lente

Et comme l'Espérance est violente

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

Passent les jours et passent les semaines

Ni temps passé ni les amours reviennent

Sous le pont Mirabeau coule la Seine

 

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

................

Que cette année 1938 dure indéfiniment, malgré son odeur de pourriture cadavérique, c'est mon souhait ! Je n'ai pas besoin d'une année 1939 à venir...

        

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