samedi 28 juillet 2018

Mémoires et radotages (185) – L’affaire Ben… Je n’sais plus qui ?


S’agissant de l’affaire Ben Bella… Non ?... Ben Arfa, alors ?... Non plus ?... Benabar ?... Ben Allah, si vous voulez !… En fait, à quoi bon retenir le nom de ce personnage sans grande importance ?
L’affaire n’a d’importance que parce qu’il s’agit d’un maillon faible relié directement à la personne de Macron !
Je ne vais pas raconter les tenants et aboutissants de ce scandale d’état… Chacun peut piocher dans les médias la saveur gratinée de ce feuilleton de l’été, impliquant toute la sphère médiatique, les autorités policières, gouvernementales, ainsi que les deux chambres du congrès…

Pour autant, j’approuve totalement l’indignation émise par tous ces intervenants, non pas pour le fond des choses de ce fait divers, mais pour l’atteinte qu’il fait peser sur le Monarque absolu que notre cinquième république a le don de générer, au mépris absolu de la représentativité de l’opinion publique et des majorités bafouées gouvernées par des minorités soudées par des intérêts de classe et avantagées par un système électoral inique !

Oui, je le répète : Tout est bon pour tirer à vue sur Macron, le bonimenteur qui a escroqué un électorat et qui, selon moi, n’a que ce qu’il mérite !

Je sais, aucune procédure « d’Impeachment », ne destituera le dictateur élu, car nous ne sommes pas les USA, nous n’avons pratiquement aucun moyen de foutre à la porte les présidents qui se payent notre portrait. La destitution est presque impossible… Sauf s’il saute du train et marche en chemise de nuit sur la voie ferrée sans savoir qui il est ! Mais, il ne prend pas le train : Pas fou le mec !

Alors allons-y ! Feu sur le tyran ! Tout scandale est bon ! Même l’affaire Ben-J’sais pas quoi !
 

vendredi 27 juillet 2018

Mémoires et radotages (184) – L’escroquerie mondialisée est permise et encouragée


L’année dernière, en été 2017, nous avions acheté deux Relax chez Gémo, MADE IN CHINA ! Ils ont passé toute la mauvaise saison (automne, hivers et printemps à l’abri des intempéries, de la chaleur et de l’humidité et de la poussière…

Voilà l’état des sandows qui composent les relax après seulement trois mois à la chaleur et à la pluie :





Et de plus près, le caoutchouc ainsi que la gaine des sandows tombent littéralement en poussière :




Voici encore un autre sandow MADE IN CHINA, acheté chez Brico Marché… Déjà, je m’étais méfié car  l’allongement élastique était deux fois moindre que la normale. Après un an de présence dehors, voici le résultat :



Alors, tous les sandows sont-ils aussi peu fiables ?

La bâche de la remorque a été achetée il y a neuf années. Le sandow en tension 365 jours par an (sauf pendant l’utilisation ponctuelle de la remorque), affronte toutes les saisons toutes les intempéries. Il a l’air quasi neuf :



Mais celui-ci n’a pas du être fabriqué par une entreprise d’un pays contre lequel le consommateur ne peut avoir aucune garantie, aucun recours juridique contre la mauvaise qualité de ses produits de MERDE !

J’ai donc acheté du sandow pour tenter de donner une nouvelle vie à ces relax… AUCUNE INDICATION DE PROVENANCE N’ETAIT INDIQUEE SUR L’EMBALLAGE. « Espace Emeraude », où j’ai acquis ce sandow, n’a pas su m’indiquer la provenance, mais m’a assuré que ce produit était de qualité ! On verra bien :



NOUS SOMMES VICTIMES DE CETTE MONDIALISATION QUI PERMET TOUTES LES ESCROQUERIES ET LES ENCOURAGE !
 

Faut-il refuser d’acheter tout ce qui n’est pas cher, systématiquement ?
Un prix cher est-il le gage d’un produit de qualité ?
La concurrence ne s’exerce pas sur des bases loyales et nous consommateurs sommes les victimes de cette passoire mondialisée !

 




  




lundi 16 juillet 2018

Mémoires et radotages (183) – Du Mondial 98 à la coupe du monde 2018


Je me souviens d’un premier match du « mondial » 98…

C’était un vendredi… J’avais fini un chantier de bonne heure et je suis donc rentré chez moi plus tôt qu’à l’ordinaire… Mes trois petits qui avaient 15, 9 et 6 ans étaient assis en rang d’oignon sur le canapé… Ils arboraient des chapeaux et des colifichets à la couleur des Italiens, ceux à la couleurs des Français étaient tous vendus et ma femme qui n’y connaissait rien, avait pris ce qui restait…
Ils attendaient le début d’un match du « mondial » (il fallait prononcer à l’époque « Moundial », maintenant on dit « coupe du monde », tout simplement). Il s’agissait du match France-Italie… J’ai décidé d’accompagner mes gamins et je me suis mis à coté d’eux, contents qu’ils aiment regarder le foot, mais après qu’ils m’aient confirmé que, malgré leurs chapeaux aux couleurs Italiennes, ils supportaient l’équipe de France et non les ritals !

C’est ainsi que j’ai suivi les trois derniers matchs de cette coupe du monde 1998, avec mes fils enthousiastes et moi, content d’être avec eux…
Nous avions gagné la coupe en 1998, comme chacun sait…

Par la suite, au fil des coupes du monde, je ne regardais pas tous les matchs, mais à chaque fois que je regardais un match impliquant l’équipe de France, je dis bien à chaque fois, elle perdait, que ce soit en coupe du monde, ou en coupe d’Europe…
L’année du coup de boule de Zizou : Bananés !
En Afrique du sud, la grande honte avec ces voyous et cet entraîneur de merde : Bananés !
J’en passe et des meilleures !

A chaque fois que je regardais un match impliquant l’équipe de France, elle était battue !

A tel point qu’en 2018, j’ai tiré un postulat : Si je ne regarde pas les matchs en direct, l’équipe de France gagnera !
Aussi, cette année, je n’ai regardé aucun des matchs de la coupe du monde impliquant la France ! Ce fut dur de résister, mais mon désir qu’elle gagne, était encore plus fort !

Et nous avons gagné ! Mon postulat s’est donc vérifié ! Je portais le mauvais œil à ceux que je regardais sur le petit écran en direct ! La bonne preuve, c’est au jour du défilé du 14 juillet précédent, quand j’ai pensé que les deux motards de la gendarmerie allaient se prendre une gamelle, ils se sont viandés aussi sec !

Ainsi, je me suis sacrifié pour que le onze tricolore gagne ! Et ça a marché !

Aujourd’hui, sur les Champs Elysés, ce n’est pas l’équipe de France, mais moi qui devrait être acclamé par la France entière en délire : J’ai permis, tel un héros de la Grèce Antique, que mon sacrifice fasse triompher les couleurs de la France !

Bref ! Maintenant que j’aie quand même droit de voir au moins la finale en différé… Je ne parviens pas à la trouver sur internet !... Qui m’aidera à trouver un téléchargement gratuit ?

Je vous ai fait gagner, non ?

Alors, Vive la France et vive moi !

samedi 14 juillet 2018

Mémoires et radotages (182) – 14 Juillet 2018 - Un défilé nul pour un président nul


Écrit le 14 juillet 2018

Alors j’ai tenté de regarder le défilé comme chaque année…
Alors du temps de de Gaulle, le défilé, c’était comme une revue de troupe, uniquement… Maintenant c’est au préalable, un show devant la tribune monarchique…

Et bien j’en ai eu pour mon pognon !

Garde républicaine à pied, à cheval et gendarmes en moto… Et ça te faisait des rondibets et des circonvolutions à la mord-moi-le-nœud, pour le plaisir du monarque, de sa cour et de ses invités (entre autre, un Chinetoque)…

On voit les soldats à pied, se regarder deux par deux, langoureusement yeux dans les yeux… Quelle chorégraphie de merde, on dirait des pédoques en train de se draguer. Il ne leur manquait qu'un tutu et des ballerines… L’armée, ce n’est plus ce que c’était !

Puis, les gendarmes sur leur moto BMW se frôlent dans leurs figures de patinage sans patin mais avec moto de 250kg… Je me suis dit : ces cons-là, y vont bien se rentrer dedans, cette bande d’andouilles ! Et bien ça n’a pas loupé ! A peine avais-je formulé ma pensée, que deux gros lourdeaux se rentrent dedans et se viandent par terre ! La poilade ! A deux, pour redresser les motos ! La musique de la garde républicaine, qui fait des fausses notes, impressionnée par la scène… Le chinetoque qui rigolait et le Roy de France qui applaudissait pour se donner une contenance ! Bien fait pour sa gueule !

Puis la Patrouille de France qui survole les champs… Trois avions de gauche pour le rouge, trois pour le blanc et trois pour le rouge, enfin… en principe… Sauf que le premier à gauche à lâché du rouge… Rouge, bleu, blanc, rouge, les quatre nouvelles couleurs de la France ! Bravo le personnel au sol qui a mis les fumigènes de couleurs… Encore bourrés ! J'te foutrais ça aux arrêts de rigueur !

Défilé des troupes au sol… Ouille ouille, ouille !...
D’habitude on voyait des hommes jeunes, sveltes, marchant parfaitement au pas cadencé…
Mais c’est fini, ça ! C’était avant, dans un autre monde !
Un défilé de vieux, de gros, d’obèses parfois, certains boitant, d’autre marchant avec les jambes pliées, d’autres avec les genoux cagneux, ou bien les jambes arquées, des bigleux qui ne savaient pas où aller… Quelle armée en déroute !

Avec la musique et les sapeurs de la légion, les choses sont revenues en place… Le Chinetoque à droite du Roy a rigolé et a imité les geste de balancement des bras des légionnaires en s’adressant au souverain Français… Que put-il bien dire ? Peut-être : «  Chez nous, soldats plus martiaux et rapides que vieux soldats fatigués à toi, Macron ! »
Celui-ci lui répondit… Comme je ne sais pas quoi non plus, j’invente : « Mon cul c‘est du poulet ! Vas voir chez toi, bol de riz ! ».

Complètement dégoûté, avant de prévoir et provoquer l’écrasement d’un hélico, ou la panne d’un tank, je préférais éteindre la télé, pour ne pas leur porter la scoumoune !

C’était le plus mauvais défilé du 14 juillet que j’aie connu !
 

mercredi 11 juillet 2018

Mémoires et radotages (181) – Macron - Son congrès nous coûte un max pour des nèfles


Écrit le 11 juillet 2018

 

Après une année chargée en réformes, Emmanuel Macron a prononcé ce lundi 9 juillet 2018, son second discours devant les députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles pour préciser les prochains grands chantiers qui attendent la majorité. Tout ce qu'il dit est vrai, mais seulement si l’on prend le soin de traduire :

"Je n'aime ni les castes, ni les rentes, ni les privilèges" : Les castes et les privilèges il les voit parmi tous ces salauds de pauvres qui profitent de se faire soigner par la sécu, toutes ces veuves qui se gobergent d'une pension de réversion, tous ces miséreux qui se foutent le RSA dans la fouille sans en branler une !... Voila la traduction !

"Une politique pour les entreprises, ce n'est pas une politique pour les riches" : Quant à la politique pour les entreprises... On en voit pas de résultat positif, étant donné que seuls les patrons des entreprises importantes peuvent faire des gains accrus, grâce aux mesures prises par Macron et donc on retombe dans la politique POUR les riches !

"Rien ne changera pour les retraités d’aujourd’hui" : Mais pour ceux de demain... Les pauvres, je les plains très sincèrement, il va les laminer !

4° enfin j'évoque une autre citation de ce destructeur du tissu social Français, "la priorité pour l'année à venir est de bâtir l'État-providence du 21e siècle." "Un État-providence émancipateur, universel, efficace, responsabilisant." : Une régression sociale sans précédent est la traduction réelle des mots trompeurs du plus grand enfumeur de la 5ème république !!!

Ce congrès à Versailles a été pour lui l’occasion d’aligner le plus grand nombre de mensonges depuis son accession sur le trône Elyséen. Il a même travaillé le registre « mea culpa », histoire de dissimuler un petit peu son dédain, son mépris des pauvre et la morgue dont il est coutumier, réfugié dans sa fatuité habituelle… C’est un très grand comédien. Je pense que dans une autre vie, il aurait pu décrocher un Molière ou un César. J’aurais personnellement préféré qu’il vive dans cette autre vie, plutôt que dans la nôtre…

Mais quand donc notre constitution permettra-elle de sanctionner le mensonge et le non-respect des engagements pris par ceux qui nous gouvernent ?

900.000 euros foutus en l’air pour la magnificence du monarque absolu !

jeudi 5 juillet 2018

Divers


Comment traiter les djihadistes Français


Le quotidien américain The Wall Street Journal révèle comment les forces spéciales françaises recrutent des soldats irakiens dans le but de tuer des ressortissants français membres de l’État islamique à Mossoul. L’objectif : éviter à tout prix le retour des djihadistes en France. 

Ecrit par Tamer El-Ghobashy, Maria Abi-Habib et Benoit Faucon, dans The Wall Street Journal le  29 mai 2017 

Depuis des mois, les forces spéciales françaises font appel à des militaires irakiens pour traquer et éliminer des ressortissants français membres de la hiérarchie de Daech, selon des sources irakiennes et des responsables français, dont certains sont encore en activité. Les officiers irakiens qui commandent les opérations à Mossoul affirment que les forces spéciales françaises ont fourni aux unités irakiennes spécialisées dans la lutte antiterroriste les noms et les portraits de près d’une trentaine d’hommes identifiés comme des cibles prioritaires. Un nombre, pour l’heure inconnu, de ressortissants français ont été tués par l’artillerie et les forces terrestres irakiennes, assure-t-on de même source, grâce à des coordonnées et d’autres informations transmises par les Français.

Cette opération secrète a pour objectif de garantir que les ressortissants français ayant fait allégeance à l’État islamique ne reviennent jamais en France pour y perpétrer des attentats, nous ont confié deux sources proches du ministère français des Affaires étrangères. La France a été frappée par plusieurs attentats meurtriers inspirés par Daech ou commandités depuis les fiefs des militants au Moyen-Orient, y compris ceux de novembre 2015. 

Pas d’implication directe des forces françaises

Une porte-parole du ministre français de la Défense s’est refusée à tout commentaire sur l’opération. “Les forces françaises travaillent en étroite coopération avec leurs partenaires irakiens et internationaux, a-t-elle déclaré, quelles que soient les origines nationales”, faisant référence aux 1 200 militaires français qui aident les forces irakiennes à reprendre Mossoul.

Les forces spéciales françaises ne s’impliquent pas directement – la France a aboli la peine de mort –, se contentant d’orienter les combattants irakiens vers les Français membres de Daech, laissent entendre nos deux sources en relation avec le gouvernement français.

Un haut responsable de la police irakienne a montré au Wall Street Journal une liste contenant les noms de vingt-sept personnes censées appartenir à l’État islamique et recherchées par Paris, accompagnée de la photo de cinq d’entre elles. Les forces spéciales françaises ont commencé à faire circuler ce document au début de l’offensive sur Mossoul, l’an dernier. Il est mis à jour au fur et à mesure que ces hommes sont éliminés, nous a expliqué ce responsable.

L’un d’entre eux était identifié sous le nom de “Badouch”, et le document précisait qu’il avait été vu, en juillet 2016, au volant d’une Kia blanche dans le nord de Mossoul, vêtu d’une tenue traditionnelle irakienne. Plusieurs des noms sont des alias qui soulignent qu’ils sont venus de France – Abou Ismaël Al-Fransi et Abou Souleïmane Al-Fransi — ou de Belgique, dont étaient originaires certains des auteurs des attentats de Paris. Le ministre belge de la Défense s’est lui aussi refusé à tout commentaire. 

Bagdad nie les assassinats

La France n’est pas équipée de drones armés. Par conséquent, Paris a envoyé ses unités d’élite à Mossoul afin de repérer les militants français, précise un spécialiste occidental de la sécurité.

Une quarantaine de membres des forces spéciales françaises auraient déployé des outils de collecte de renseignements ultramodernes, comme des drones de surveillance et des systèmes d’interception des communications, afin d’aider à localiser les militants, nous a-t-on dit de source tant irakienne que française. “Ils se chargent d’eux là-bas parce qu’ils ne veulent pas avoir à le faire chez eux, commente un officier irakien directement impliqué dans la coordination avec les forces spéciales françaises. C’est leur devoir. Et c’est logique. C’est en France qu’ont eu lieu les attentats les plus meurtriers à l’étranger.” 

À Bagdad, on indique toutefois que l’armée irakienne ne participe pas aux assassinats clandestins de combattants de Daech, et que si l’information était avérée elle pourrait entraîner l’ouverture d’une enquête. 

1 700 Français dans les rangs de l’EI 

Un porte-parole du ministère de la Justice irakien a refusé de dire si le gouvernement détenait des combattants de l’État islamique. Selon les militaires irakiens, la plupart des djihadistes se battent jusqu’à la mort. Une source française proche du dossier explique : 

S’ils sont vivants, en prison, après s’être rendus, ils seront exécutés. En Irak c’est la peine de mort pour les membres de l’État islamique. Et la France n’interviendra pas. C’est une solution plutôt pratique.” 

Mille sept cents Français auraient rejoint les rangs de l’État islamique en Irak et en Syrie, selon le Soufan Group, une organisation basée à New York et spécialisée dans l’extrémisme. Le gouvernement français estime que des centaines d’entre eux sont morts au combat ou rentrés en France. D’autres pays occidentaux sont en possession des noms de leurs ressortissants ayant prêté allégeance à Daech. Mais seule la France se mobilise pour les traquer à Mossoul, expliquent des officiers irakiens. 

“Peu de cadre légal”

La France a débattu de la légalité de s’attaquer à ses propres citoyens au moment de rejoindre la campagne de bombardement américaine en Syrie à l’automne 2015. Lors d’une frappe aérienne en octobre cette année qui aurait tué des djihadistes français près de Raqqa, le gouvernement a coupé court aux critiques en citant un article de la charte des Nations unies qui autorise le recours à la force en cas de “légitime défense”.

Le droit français et la Constitution offrent peu de protection aux citoyens qui prennent les armes contre le gouvernement, explique Michel Verpeaux, professeur de droit constitutionnel à l’université Panthéon-Sorbonne, à Paris. “Les Français ne se battent pas contre un État mais contre un groupe armé, poursuit-il. C’est une situation très floue avec peu de cadre légal.” 

La France souhaitait déchoir de leur nationalité les Français partis combattre avec Daech pour les empêcher de remettre les pieds sur le sol français, une mesure déjà mise en place au Royaume-Uni, mais cette proposition n’avait pas fait l’unanimité.

Selon deux officiers irakiens, des dizaines de djihadistes français ont été tués au cours de la bataille de Mossoul. Cette offensive qui dure depuis sept mois, menée par les forces irakiennes et la coalition internationale, est sur le point de déloger les derniers combattants de l’État islamique de la partie ouest de Mossoul, leur dernière place forte en Irak.

Les forces spéciales françaises circulent souvent dans Mossoul sans être accompagnées par des militaires irakiens. Elles fouillent les maisons abandonnées par des combattants étrangers, ainsi que des centres de commandement, pour trouver des preuves matérielles ou des documents qui font le lien entre leurs ressortissants et l’État islamique, selon deux agents irakiens de lutte contre le terrorisme.

En avril, les forces spéciales françaises ont fait une descente dans un centre médical près de l’université de Mossoul, où ils ont contrôlé l’identité des blessés pour la comparer à la liste des Français qui se battent pour l’État islamique. Les forces françaises, qui portent souvent des uniformes irakiens et conduisent des véhicules portant les insignes militaires irakiens, se préoccupent particulièrement des spécialistes des armes chimiques qui travaillent sur le campus, selon un haut responsable de l’armée irakienne qui coopère avec la France.

L’université de Mossoul était un quartier général de l’État islamique jusqu’à ce que les forces irakiennes ne reprennent le site, en janvier, selon ce chef militaire. 

Collecte de preuves

Les forces spéciales françaises ont une équipe médico-légale qui collecte des preuves matérielles – des échantillons de tissus et d’os prélevés sur les morts et les blessés, ainsi que des gobelets et des ustensiles usagés – afin de trouver des traces d’ADN qui correspondent aux hommes recherchés, selon des responsables irakiens et français.

Cette équipe a notamment collecté des échantillons osseux sur un combattant mort pour comparer son ADN à la base de données des Français soupçonnés d’avoir rejoint l’État islamique, selon l’ancien conseiller des affaires étrangères à l’Élysée.

En janvier, quatre membres des forces spéciales ont fait du porte-à-porte dans le quartier. Deux des soldats contrôlaient l’identité des habitants pendant que les deux autres montaient la garde. “Ils ont leurs propres cibles”, a précisé un agent de lutte contre le terrorisme en voyant la scène.

Depuis quelque temps, les forces spéciales françaises concentrent leur énergie sur l’hôpital Al-Jamhuri, un grand complexe situé dans la vieille ville de Mossoul, d’après deux militaires irakiens qui ont travaillé avec elles. La médina, un dédale de rues et d’allées densément peuplées, compte de très nombreux commerces et reste le dernier quartier de Mossoul sous contrôle de l’État islamique.

L’armée française soupçonne que les derniers hauts responsables de l’État islamique, dont plusieurs Français, sont retranchés dans l’hôpital.

Note de Zalandeau : En fait, l'état Français devrait envoyer tous les djihadistes Français en Irak, puisque là-bas, on peut juridiquement s'en débarrasser sans contraintes juridiques

Mémoires et radotages (180) - Communautarisme – Le début du terrorisme anti-Français


Après le décès d’un jeune homme de 22 ans dans le quartier du Breil, à Nantes, ce mardi 3 juillet 2018, à la suite d’un contrôle policier qui aurait mal tourné, la situation s’est tendue dans plusieurs quartiers de Nantes, dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4.

Des émeutes avaient éclaté dans la soirée au Breil. Plus tard, dans les quartiers de Malakoff et des Dervallières, plusieurs véhicules ont été incendiés.

Désolation, ce mercredi matin, à Nantes. Après les émeutes qui ont explosé au Breil, à la suite de la mort d’un jeune homme atteint par un tir policier, la colère s’est propagée aux quartiers voisins.

Des barricades encore fumantes barrent l’accès à la place centrale des Dervallières.




Ici, la mairie annexe a brûlé, la bibliothèque, la boulangerie, le pôle médical, la maison de la justice et du droit.




En fait, tous les commerces ont brûlé. Seul le supermarché a été épargné par la colère.



Les habitants sortent petit à petit de leurs appartements. Estomaqués, ils capturent sur leurs smartphones des souvenirs bien sombres de cette nuit de colère. 

Il est à noter qu’a été bien vite passés sous silence le fait que dans la nuit, des racailles armées d’armes de guerre sont sorties dans les rues et de nombreux coups de feu ont été entendus par les habitants atterrés. Le trafic d’armes est particulièrement bien développé, dans ces quartiers de Nantes aussi ! 

Le but d’un contrôle est de traquer les gens qui ne sont pas en règle, les délinquants et toutes sortes de trafiquants. On sait très bien que quelqu’un qui tente de s’enfuir au besoin en percutant les forces de l’ordre, a en général quelque chose à se reprocher. D’ailleurs c’est pour cela que les gendarmes peuvent tirer sur quelqu’un qui force un barrage, parce que sinon aucun barrage ne servirait plus à rien, tout le monde passerait de force. Si un Français classique avait été tué, en s’enfuyant lors d’un contrôle routier, rien ne se serait passé. Mais il faut le préciser : quand il s’agit de jeunes issus de l’immigration, le communautarisme prend le dessus, contribuant ainsi à imposer la loi de la communauté qui est l’état de non droit et qui représente par la violence déployée, l’insécurité de tout le corps social Français, devant un état toujours plus laxiste et passif qui recule partout et toujours.

On a vu ce que donnait la violence dans les rues organisée par les sections d'assaut de Hitler devant un Président Hindenburg passif et résigné : L'accession du nazisme au pouvoir, parce que la raison appartient toujours au plus fort ! Sommes-nous en train de favoriser la domination de la France par un nazisme islamique ?

La bonne attitude aurait été l’instauration de la loi martiale et le tir à vue sur la racaille qui a participé aux émeutes de Nantes Mardi 3 juillet. La violence urbaine est une sorte de terrorisme, visant à renverser l’ordre établi. Entre cet activisme communautariste, les ultragauchistes et les djihadistes, il n’y a qu’un pas. Le passage d’une sorte de délinquance à une autre plus violente se fait tout simplement parce que le système ne réagit pas et favorise par son immobilisme les dérives les plus violentes sans aucun risque de sanction.

Quand dératiserons-nous ces quartiers pourris par le communautarisme, la délinquance, les trafics et l’islamisme ?



mardi 3 juillet 2018

L'armée infiltrée par la cinquième colonne


La présence croissante de musulmans au sein de l’armée suscite l’inquiétude

Selon un récent article du Canard Enchaîné, cité par Le Salon Beige, la présence croissante de soldats de confession musulmane au sein de l’armée française serait un véritable sujet d’inquiétude au sein des états-majors.

D’après une source militaire citée dans l’encadré, « les chefs de corps ont reçu une note pour leur demander de veiller au grain et d’indiquer tout signe de radicalisation ». Aussi, quelques recrues auraient d’ores et déjà été mises à l’écart. Outre le risque qu’un militaire engagé dans l’opération Sentinelle (protection du territoire national) ne retourne son arme contre la foule ou ses camarades, l’inquiétude plane également sur les anciens soldats, qui pourraient, une fois retournés à la vie civile, se radicaliser et rejoindre les rangs de l’État islamique. « Un phénomène non mesurable mais qui pourrait avoir déjà touché plusieurs dizaines d’ex-militaires aguerris », précise le Canard.




Si l’on en croit une enquête menée par Christophe Bertossi, de l’Institut français des relations internationales (IFRI), les effectifs de l’Armée française comptent entre 10 et 20 % de soldats musulmans en 2005, pour la plupart d’origine maghrébine. D’après Olivier Roy, politologue spécialiste de l’islam, il y aurait près de 10 % de musulmans sous l’uniforme. « Il suffit de compter le nombre d’aumôniers musulmans pour s’en rendre compte », expliquait-il au Monde des Religions en mars 2015.

La France étant engagée sur de nombreux théâtres contre des groupes islamistes, ce constat a de quoi soulever des questionnements quant à leur loyauté. D’autant que les exemples de tensions voire de mutinerie existent.

En 1990, un rapport remis par le colonel Yves Biville, chef du Centre d’études sur la sélection du personnel de l’armée de terre (Cespat), au ministre de la défense de l’époque, Jean-Pierre Chevènement, note « l’attitude intransigeante et revendicative tournant à la provocation » de certains JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine). Évoquant « la surdélinquance au sein même de leur régiment », le rapport cité par Le Monde Diplomatique explique en outre que « les JFOM commettent 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages à supérieurs et 8 fois plus d’insoumission ». 

En 1999, sur le porte-avions Foch, le journal communiste L’Humanité rapporte qu’une soixantaine d’engagés volontaires musulmans ont pris en otage leur officier pour protester contre une punition collective. Cette sanction aurait été infligée à la suite d’une rebellion survenue alors que des Super-Étendards avaient frappé le Kosovo, considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.

Récemment encore, en 2009, l’état-major a reconnu, auprès de Libération, que « moins de cinq » engagés volontaires de l’armée de terre (EVAT) ont exprimé, en 2008, le souhait de ne pas partir en opérations extérieures « pour des raisons confessionnelles ». Il s’agissait de jeunes musulmans ne souhaitant pas combattre d’autres musulmans en Afghanistan. « Ces cas sont rarissimes (moins de 0,01% des engagés) mais ils existent », précise Jean-Dominique Merchet.

En 1996, après l’abandon de la conscription par Jacques Chirac, l’armée s’est retrouvée confrontée à des besoins de recrutement et a dû élaborer des stratégies pour séduire également les « minorités visibles » que sont les femmes mais aussi les personnes d’origine étrangère. Depuis, leur nombre ne cesse d’augmenter, au point qu’en 2006, l’institution militaire a dû instaurer une aumônerie musulmane.

Aujourd’hui, au regard de cette croissance et des antécédents précités, la question de leur loyauté peut effectivement être posée, à l’heure où 300 musulmans (sur un équipage de 3 000) sont engagés à bord du porte-avions Charles de Gaulle au Moyen Orient.