samedi 30 novembre 2019

Il était une fois un petit garçon de quelques mois


Écrit le 3 juillet 2007

Il était une fois un petit garçon de quelques mois. Son père, un jour ramena une chienne boxer, toute petite et qui l’avait suivi dans la rue, à la maison.

Pendant que le bébé grandissait lentement, la petite chienne qui fut prénommée Diane était dressée et s’était prise d’affection pour le bambin. Elle était en permanence auprès du berceau ou de la poussette, puis ensuite du parc, pour protéger son « petit frère ».

Le « Papa », son maître, lui avait enseigné l’art de ne pas baver sur son petit frère, et d’interdire tout accès à une personne non dûment habilitée à s’approcher du petit d’homme, sans une autorisation exprimée par le seul hochement de tête de son protecteur.

Le petit garçon grandit, se mit à marcher. Comme tous les petits garçons il monta à cheval sur la chienne, il lui tira les poils, il lui tira la queue. Mais jamais la chienne ne broncha, elle acceptait tout, sans se rebeller et avec toute la bienveillance d’une grande sœur, voir même d’une seconde Maman.



Ce petit diable en grandissant, s’amusait même à chausser des lunettes à sa sœur, à lui mettre une cigarette dans la bouche, et même à lui enfiler une chemise. Mais la chienne acceptait toujours ces jeux, se disant certainement qu’il fallait bien que jeunesse se passe.

Jusqu’à un beau matin, où le Papa, qui avait projeté de partir aux colonies, emmena la chienne pour la donner à un ami. Ce jour là, la chienne qui avait la laisse au cou pleura, oui elle pleura, en tirant sur la chaîne, tandis que son maître la tirait vers la porte. Son petit frère se mit à hurler. Ni l’un ni l’autre ne savait, mais tous deux avaient instinctivement compris que cette séparation serait définitive.

Depuis le petit garçon est devenu un homme d’âge mur. Mais depuis ce jour de 1954, il ne veut plus avoir d’animal, et surtout pas de chien.

Allez savoir pourquoi ?

   

vendredi 29 novembre 2019

La guerre dans l'association des anciens élèves avec des dirigeants oligarchiques (17)

Lettre recommandée + AR de Jielleaime à la direction de l'association des anciens élèves le l'école :



Note de Zalandeau : Cette lettre de Jielleaime a eu un effet immédiat, puisque l'usurpateur a annulé immédiatement les deux assemblées générales dont il est question...
 

mardi 26 novembre 2019

Changer d'emploi, scoumoune et déception


Écrit le 15 mars 2007

Mon « chasseur de tête » a donné de ses nouvelles.
Sur sa demande je lui envoie des docs prouvant ma créativité : mon catalogue produits de mon ancienne boite, le manuel assurance qualité, une instruction de pose, des plans de fabrication de moules métalliques, un organigramme.

J’espère que j’ai un peu progressé sur ce poste.

Je boite toujours, mais j’ai surtout mal. Espérons que cela ira mieux le jour du rendez-vous…

Écrit le 18 avril 2007

Comme d’habitude, ça s’est passé comme d’habitude.

Sauf que là, je n’ai pas eu de pincement au cœur, lorsque le cabinet de recrutement m’a annoncé que son client s’était orienté vers d’autres cabinets de recrutement. Je m’y attendais tellement, vu le temps passé à attendre.

Il m’a confirmé qu’il n’avait eu que moi comme candidat dont le profil était le plus en adéquation avec la définition recherchée. Mais l’Entreprise veut exactement le profil : huit tentacules, deux cerveaux, trois bistouquettes et que sais-je encore ? Qu’ils n’arrivaient pas à trouver le profil recherché. Mais qu’ils n’en démordraient pas pour autant.

Ah, que je me sens si con dans ce miroir… J’ai établi une performance inégalée !

D’habitude je finis deuxième, pour une seule place. Là je trouve moyen de perdre contre personne. I’m the king of the world ! The only man who loose against himself ! Même Cassius Clay n’a jamais réussi cela : perdre contre lui-même.

Je peux donc vous dire chers amis que vous avez devant vous, l’unique exemplaire, de celui qui saura perdre en toutes circonstances, même contre lui-même, même contre personne. C’est une performance et je vous prie de saluer bien bas ce record du monde, que je n’aurai même pas pu imaginer dans mes rêves les plus fous.

Oui, pas le moindre pincement au cœur. Et pourtant je m’y voyais dans ce poste : la façon dont je contacterai les organismes, les entreprises et dont je mènerai les cercles de qualité avec les techniques de créativités que j’affinerai et, et, et…

C’est peut-être demain que je réaliserai ma déception…

       

lundi 25 novembre 2019

Le 9 novembre 1989, j'y reviens...


Écrit le 9 novembre 2009 

Dans ma précédente intervention, je dis que si Sarko était présent à la chute du mur de Berlin (avec sa bouche de menteur)… Moi aussi j’y étais… mais seulement devant la télé...

Comment le Nain et ses copains y seraient allés, alors même que cet évènement n'a pas été annoncé mais a surpris tout le monde... Il est gonflé de s'attribuer des faits indus... Sa vie est donc si nulle ? (Réponse : Oui)

Enfin, si on l'écoute, Sarko a tout fait dans sa vie... Il est tellement omniscient, cet homme...

Sarko a détruit le mur de Berlin
Sarko a nettoyé les écuries d'Augias
Sarko a sculpté le Sphinx
Sarko a nettoyé les sols à la caserne Balard pendant son service militaire (Oups ! Ca c'est vrai !). Houuuu le minable !
Sarko grimpe sur Carla (avec un escabeau)
Debout, Sarko lui fait une éjaculation faciale... (Pas possible... Il décharge sur les genoux de Carla au grand maximum !)
Sarko a lancé l'appel du 18 juin 40
Sarko a réformé le capitalisme (ho, ho, ho...)
Sarko nous protège du H1N1 (ha, ha, ha...)
Sarko répète plusieurs fois les mêmes discours (pour économiser le papier)
Sarko délègue tous ses pouvoirs (à Sarko)
Sarko ne dit jamais "je" (hi, hi, hi...)
Sarko est le meilleur ami de Sarko

Miroir, mon beau miroir, qui est le plus beau, le plus fort, le plus costaud : C'est Sarko...

                                 J’avais raison !... "Il" n'y était pas, le 9 novembre 1989…

Écrit le 10 novembre 2009 

(De toute façon, j'ai toujours raison... Sauf quand j'ai tort)...

Les journalistes ont enquêté… Résultat : La « bande » dont faisait partie Sarko est allée au mur de Berlin le 16 novembre et non le 9…

Et alors ? Ce n’est quand même pas pareil !

J’en connais pleins qui sont allés voir la grande muraille de Chine, d’autres le mur des lamentations… Moi, j’ai fait le mur de la caserne… Lo maçon portougaiche il fait la mour della clotoure… Johnny avec Sylvie faisaient l’amur… (Maintenant avec Laetitia il n’a plus de sperme, alors il achète des gamins…)…

Enfin bref ! Nouveau petit mensonge confirmé, de notre petit homme d’état… destiné à se faire valoir…

Je doute qu’il ait atteint son but…

 

samedi 23 novembre 2019

Épaule douloureuse : et si c’était une capsulite ?


Écrit par Sylvie Dellus Article publié le 1 févr. 2019 sur Santé Magasine 


Vous avez du mal à lever un bras, à vous habiller, votre épaule se bloque au moindre mouvement… vous souffrez probablement d’une capsulite rétractile. Souvent confondue avec une tendinite, la capsulite de l’épaule est pénible. Il faut être patient, mais on en guérit. Causes, symptômes et traitements : les explications d'un rhumatologue et d'un kinésithérapeute.


Les différentes phases d'une capsulite rétractile


La maladie évolue en plusieurs phases, le processus pouvant s’étaler sur plusieurs mois, parfois deux ans.

  • Au début, des douleurs d’intensité modérée apparaissent au niveau de l’épaule, lors de gestes banals. « C’est une phase d’incertitude », selon le Dr Éric Noël. À ce stade, les douleurs peuvent être confondues avec celles d’une tendinite et traitées comme telle. Conséquence : le patient continue à mobiliser son articulation sans précaution, ce qui ne fait qu’aggraver la douleur.
  • Au bout de quelques semaines ou quelques mois, il entre dans la phase “chaude” de la maladie. La capsule, l’enveloppe de l’articulation, s’enflamme. La douleur s’intensifie, jour et nuit, et l’épaule commence à se bloquer. « La zone touchée est très innervée, et c’est pour cela que l’inflammation est si douloureuse », observe Frédéric Srour, kinésithérapeute.
  • Cette inflammation va ensuite disparaître pour laisser la place à une raideur très gênante de l’épaule. Il devient impossible de se coiffer ou d’agrafer son soutien-gorge. Cette phase “froide” s’explique par une perte d’élasticité, une fibrose et une rétraction de la capsule. Les examens d’imagerie (radio ou échographie) ne montrent rien d’anormal. Mais lorsque le médecin mobilise le bras du patient, il constate un blocage dans toutes les directions.

Les causes d'une capsulite souvent mal cernées


Les causes d’une capsulite ne sont clairement identifiées que dans 50 % des cas. Elle peut se déclencher après un traumatisme de l’épaule ou la prise de certains médicaments (barbituriques, trithérapies du VIH…).

Autres facteurs favorisants : le diabète, les maladies de la thyroïde, une opération du sein avec curage ganglionnaire ou encore une intervention chirurgicale au niveau de la cage thoracique. Enfin, les capsulites surviennent souvent dans un contexte de stress, sans que l’on sache si l’anxiété est la cause ou la conséquence.

80 à 85 % des patients souffrant de capsulite de l’épaule sont des femmes. Les symptômes apparaissent le plus souvent entre 45 et 55 ans.

Traiter l'inflammation par des infiltrations


La capsulite se soigne en deux temps. « Il faut d’abord soulager le patient et, ensuite, assouplir l’épaule », détaille le Dr Noël.

En priorité, l’inflammation est traitée par des infiltrations de corticoïdes dans l’articulation. Deux séances (parfois trois), sous contrôle radiographique, sont nécessaires, chacune à deux ou trois semaines d’intervalle. Pour ne pas réveiller la douleur, il faut alors ménager son épaule, sans l’immobiliser. Des exercices d’étirements sont conseillés.

Rééduquer l'épaule


Une fois la douleur calmée, la rééducation peut commencer. Le but : récupérer la mobilité de l’articulation. « On combine des mobilisations manuelles, des étirements et, progressivement, un renforcement musculaire », explique Frédéric Srour.

Des séances de balnéothérapie dans une eau à 34-35 °C peuvent également aider à remobiliser son bras en douceur.

La reprise du sport se fera progressivement, en suivant les conseils du kinésithérapeute. Mais une joueuse de tennis ou de badminton, deux sports qui mobilisent fortement l’épaule, devra faire preuve de patience avant de retrouver le même niveau.

La capsulite guérit presque toujours, bien qu’elle puisse laisser des séquelles de raideurs et, parfois, toucher l’autre épaule. Jamais deux fois la même. « Le traitement est long, mais il s’agit d’une pathologie bénigne », rappelle systématiquement Frédéric Srour à ses patients. 

Note de zalandeau : Cela a duré deux ans, dont plusieurs mois sans mobilité du bras gauche. Il me reste des séquelles… Les degrés de liberté de mon bras gauche sont moindres et les douleurs en cas de mouvements limites sont bien réelles et empêchent toutes tentatives acrobatiques…

vendredi 22 novembre 2019

Sujet ? Lecteur ? Non, Humeur !


2013-05-19 

Je me suis posé la question de savoir si ma façon d'écrire dépendait du sujet ou bien des lecteurs éventuels...



L'article que je suis en train d'écrire est un résumé. Je n'ai pas résolu cette question en en jet de plume ou de clavier. Cela a mis un certain temps.

Je dis cela parce que la magie de ces "posts", donne une immédiateté surréaliste à des choses qui demandent du temps et de la réflexion...



Finalement, il ressort de mes interrogations, que ma façon d'écrire ces "posts" est essentiellement liée à mon humeur, à mon sentiment du moment...



Ceci tranche complètement avec ma façon d'écrire professionnelle qui, forcément, se devait d'être non seulement la plus objective, mais la plus sérieuse et la plus aboutie. Donc, à l'époque, c'était bien le lectorat en premier et le sujet en second, qui imposaient mon style d'écriture, car le seul moyen d'avoir une crédibilité était d'adopter un mode pertinent, un mode attendu de communication, surtout s'agissant de faire passer des idées parfois originales ou dérangeantes.



Il va de soi, que je préfère écrire maintenant, parce que j'écris ce que je veux, comme je le veux, sur ce que je veux, quand je le veux, sans aucune auto-contrainte...



Bon, je sais, le roi aurait dit "nous voulons", mais je ne suis pas roi, sauf des cons.



Voila bien ci-avant, une phrase déjantée dans ce texte plutôt sérieux. Je peux me le permettre maintenant. C'est un avantage auquel je ne suis pas prêt à renoncer.

 

jeudi 21 novembre 2019

Prison, exil ou fort Chabrol ?


2012 – 10:39:48 

Liberté ? Que signifie ce mot ?



Tu dépasses la vitesse de quelques kilomètres/heures et on te prend un point, un douzième de ton droit à aller à ton travail, un douzième de ton droit à survivre ?



Liberté ?



Quand tu n'as plus le droit de prononcer des mots comme "race" ou "pédé" ou "concierge" ? Quand tu n'as plus le droit d'exprimer les idées autres que celles de la conformiste pensée unique ?



Liberté ?



Quand on te saisit parce que tu n'as pas payé tes impôts ?



Liberté ?



Quand tu vas en taule parce que tu n'as pas laissé un cambrioleur te faucher ton bien et que tu lui a mis un pain sur la gueule ? " Excusez-moi que vous m'ayez volé mes potirons ! "...



Il n'y a pas de liberté.



Le monde est dangereux, et de surcroit sans liberté, c'est le paroxysme.



Alors, on s'enferme chez soi.

On ne sort qu'en temps limité, comme en commando, comme en convoi blindé, pour aller acheter ce que l'on ne produit pas et dont on a besoin pour vivre.



On est en exil intérieur, en résidence surveillée par soi-même, une sorte de fort Chabrol contre l'agression extérieure, une prison que l'on se donne à soi-même...



Où est-t-elle, la France que j'ai connue ? Où est cette aspiration à la liberté de vivre et à croire au progrès et au bonheur ?


mercredi 20 novembre 2019

Mémoires et radotages (246) – Marie, Marie-Josée, Poupou


Écrit le 14 novembre 2019

« Ce mois de novembre est le mois de la tristesse » disais-je…

Coup sur coup, en quelques jours " la fille aux yeux d’or ", ( Marie Laforêt ), dans la sciure ! Marie Josée Nat, dans la sciure !
Ces très belles femme, talentueuses de surcroît, disparues, alors que je les croyais éternelles…

Et puis hier « Poupou »… Canné. Lui aussi, je le croyais inoxydable… J’étais habitué à le voir tous les mois de juillet, pendant ce tour de France aussi populaire que Poulidor et cela faisait chaud au cœur…

Je me souviens de cet été de ma jeunesse où alité avec les oreillons, j’écoutais le tour de France à la radio… Anquetil et Poulidor… Bien entendu, alors que j’admirais Anquetil, Poupou était quand même mon préféré.
D’ailleurs, dans la famille on avait décrété que mon père ressemblait à Poupou… Et c’est vrai qu’il y avait une certaine ressemblance autant par la physionomie que par le caractère persévérant…

Encore une figure admirable et légendaire qui disparaît…
   

mardi 19 novembre 2019

Mémoires et radotages (245) – L’étudiant suicidé devant le CROUS


Écrit le 14 novembre 2019

Décidément, ce mois de novembre est le mois de la tristesse…

Il y a quelques jours, comme tout le monde, j’ai appris le suicide par le feu de cet étudiant de 22 ans devant le CROUS à Lyon… J’ai éprouvé tant d’émotion et de peine pour ce "gamin", dont on ne sait pas s’il va s’en tirer… que je n’ai pu me mettre à écrire cette peine noir sur blanc, tant mon chagrin était important…
Cela est vraiment désespérant de voir que certains étudiants sont dans cette précarité à notre époque… Il est vrai que je connais bien le problème… En 2007, (du temps où j’avais encore un peu de tête), j’ai aidé Toto pour son dossier d’inscription à la fac… J’avais réussi à me procurer le calcul des barèmes boursiers… Et je me souviens que les bourses étaient extrêmement faibles… Ainsi, mon fils avait une chambre en citée U à 170€ mensuel et il recevait une bourse de 130€, qui était insuffisante pour payer le loyer de la chambre…
Heureusement que nous les parents, étions là pour faire le complément !
Et nous étions non imposables… Je me souviens également que le barème pour des étudiants sans famille était à peine plus élevé… Et cela m’avait impressionné déjà à l’époque. Je m’étais dit que vraiment les étudiants de modeste extraction n’avaient vraiment aucune chance de réussir leurs études dans de telles conditions financières…

Et bien cet évènement m’a rappelé que cela était toujours vrai, en 2019 !

Alors pourquoi accepter des étudiants en fac (ou ailleurs) si on a l’intention de les faire échouer ?
Le système éducatif ne devrait sanctionner que les compétences… Mais il sanctionne la pauvreté… Est-ce cela la devise de la république ?

Déjà, de mon temps, quand je suis entré à l’école des mines en 1969… J’étais si pauvre malgré le faible coût annuel de l’école (500 francs/an), que en 1970 le sous-directeur, qui m’avait à la bonne, a réussi, en usant de ses relations au ministère, à me faire avoir une bourse de… 2000 francs annuels je crois… A partir de ce moment-là, cela a été beaucoup mieux…

Je peux lui dire aujourd’hui à titre posthume, Merci Dédé, Merci Monsieur Lefèbre, sans vous, je ne sais pas comment je serais sorti de l’école… Sûrement par la petite porte et avant terme…

Tout cela pour dire, que Je suis profondément ému par ce jeune homme…
Et je comprends la colère des étudiants qui se sont déchaînés ensuite, parce que moi, j’avais « la haine » aussi de ce système injuste… Mais cela ne justifie pas les violences commises...

Ce jeune triplait sa seconde année. Sa bourse lui avait été coupée…

Ceci, pose le problème de fond suivant : Nous n’avons pas les moyens de financer les étudiants,
-Alors pourquoi acceptons-nous que certains puissent tripler la même année d’études ?
-Alors pourquoi acceptons-nous tant de gens au bac alors qu’ils n’ont pas le niveau suffisant ? On sait pourtant éminemment, que la première année de fac va « éliminer » 90% des élèves ? Pourquoi la première année de fac doit-elle être le premier « centre de sélection » des études en France ?
-Alors pourquoi ne remet-on pas à la mode et ne valorise-t-on pas, les formations professionnelles, (BEP, CAP, Bac Technique), alors qu’on a tant besoin de gens qualifiés et qu’on ne les trouve pas ? Pourquoi l’apprentissage ne décolle-t-il pas ? L’Allemagne le fait… Nous on est trop cons, me semble-t-il…

Enfin bref ! Je préfèrerais qu’il y ait moins d’étudiants dans les facs, mais d’un meilleur niveau et que l’état les aide correctement dans leur parcours étudiant… Il n’y aurait pas ces drames totalement inacceptables !

Alors Macron ! Encore un chantier du genre « Et en même temps »… Nous ne sommes pas sortis de l’auberge : il s'en fout…


samedi 16 novembre 2019

Mémoires et radotages (244) – Manif anti « islamophobie »


Écrit le 13 novembre 2019

Le dimanche 10 novembre dernier, une manifestation anti islamophobie a eu lieu.
Le problème, c’est qu’une partie des organisateurs étaient des islamistes extrémistes du genre « frères musulmans » ou consorts… Leurs objectifs étant de rallier les musulmans modérés à la thèse d’une France raciste, genre raciste ethniquement et « ostraciste » religieusement… Ils veulent faire évoluer les arabes ou musulmans vers un radicalisme sur les bases d’une tromperie intellectuelle…
En invoquant des lois « liberticides », s’agissant du port du voile, en prétextant l’attentat perpétré par un vieillard sénile contre deux vieux musulmans à Bayonne, ces organisateurs font un amalgame, toujours orienté vers la victimisation d’une minorité afin de conquérir toujours plus de pouvoirs et de passe-droits par une pression communautaire mobilisée…

Un élu de gauche, Amine El Khatmi s’est exprimé sur BFMTV au sujet de cette manifestation. Il a dénoncé cette manipulation de la communauté arabe par les extrémistes islamistes et a simplement voulu prouver que la France et l’état Français n’étaient pas racistes en disant à peu près ceci :
L’année dernière il y a eu une centaine d’agressions de musulmans, 500 agressions de juifs et 1000 agressions de chrétiens… Qui sont les racistes et islamophobes ? Certainement pas les Français de souche ni l’état…
Car si c’était le cas, toutes les mosquées seraient incendiées et les fidèles musulmans seraient abattus en permanence… Ce qui n’est bien évidemment pas le cas…

Bien heureusement la manif de dimanche s’est bien déroulée. Les manifestants étaient pour la plupart calmes et raisonnables, comme pour une marche blanche.

La présence des islamistes s’est cependant manifestée, lorsque l’un d’eux a appelé la foule à crier « Allah Akbar », afin de banaliser cette expression qui est quand même, il faut le rappeler, le totem verbal des assassins djihadistes…

Il est heureusement à noter que pour la première fois, bon nombre de personnalité de gauche, habituellement prompte à participer à ce genre de manif pro communautés minoritaires, se sont fait porter pâles… La prise de conscience du phénomène de conquête politico-religieuse de la république Française par l’islam intégriste se fait jour, même au sein de la gauche…

Il n’était que temps ! Je commençais à en avoir marre de cette naïveté affichée par une bonne fraction de l’échiquier politique ! On va peut être pouvoir avancer… Si toutefois Macron cesse de se laver les mains tel Ponce Pilate et commence enfin à rentrer dans le problème au lieu de l’ignorer…

Comme toujours, Méluche et quelques élus gauchistes (cocos inclus) ont participé à la manif, cautionnant ainsi les motifs anti-républicains de celle-ci… Mais étant donné que 37% de l’électorat de Méluche est Maghrébin, ceci explique cela : La pêche aux voix prime sur le péril républicain imminent !

Que l’on ne me dise pas que les élus de gauche se désintéressent des voix des immigrés… Je ne le croirais pas. On comprend mieux leurs incitations à l’immigration, quand on sait ce qui précède…
 

mardi 12 novembre 2019

Vouloir éliminer les glucides, bonne ou mauvaise idée ?


https://www.santemagazine.fr/alimentation/regime-alimentaire/vouloir-eliminer-les-glucides-bonne-ou-mauvaise-idee-425779



Un régime sans glucides n'est ni nécessaire ni recommandé pour une perte de poids à long terme ou une santé optimale. Les bons glucides, intégrés à une alimentation équilibrée, aident à prévenir des maladies, à lutter contre le vieillissement, et à favoriser un microbiome intestinal sain.




Les régimes à faible teneur en glucides sont populaires depuis des années. Mais parfois, ils dérivent vers une tendance plus inquiétante : une élimination complète des glucides de l’assiette. Ce type de régime peut devenir encore plus restrictif qu’un régime cétogène. En effet, un objectif zéro glucides élimine plus d’aliments bénéfiques et protecteurs pour la santé que n’importe quel autre mode d’alimentation, indique le site Health.

Comme dans le cas des matières grasses, il vaut mieux miser sur la qualité et l’équilibre des glucides au lieu de les éliminer totalement. Car si les mauvais glucides se trouvent effectivement dans certains aliments transformés et dans le sucre raffiné, il est inutile, voire dangereux, de se priver des bons glucides. La perte et le maintien d'un poids santé et la prévention de maladies comme le diabète n'exigent pas de telles limites extrêmes. Voici pourquoi.

Des carences alimentaires


L'élimination des glucides réduit considérablement l'apport de nombreux nutriments clés que l'on trouve dans les aliments, notamment des vitamines, des minéraux, des antioxydants, des fibres, des prébiotiques et des bonnes graisses. Ce déficit peut potentiellement affecter la fonction immunitaire, la santé cognitive, et augmenter le risque de maladies chroniques, y compris les maladies cardiaques et la maladie d'Alzheimer.

Des troubles digestifs


Il est recommandé de consommer au moins 25 grammes de fibres alimentaires  par jour pour maintenir un système digestif en bonne santé. Ce nutriment important ne se trouve que dans les aliments qui contiennent des glucides. Certains types de fibres agissent également comme prébiotiques, qui servent de nourriture aux bactéries intestinales bénéfiques et favorisent ainsi l'immunité et la santé mentale. Les suppléments en fibres existent, mais ils n'offrent pas les mêmes avantages que les fibres provenant d'aliments entiers.

Des effets secondaires


Lorsqu’une personne adopte pour la première fois un régime drastique, il peut ressentir des symptômes comme des maux de tête, une sensation de confusion, de l’irritabilité, des étourdissements, des nausées et des douleurs musculaires. Cette réaction a lieu car le cerveau, qui utilise généralement jusqu’à 60% des glucides consommés, doit s’adapter à une autre source de carburant.

Des difficultés sociales et psychologiques


Tout régime alimentaire extrême rend l'alimentation sociale difficile, et peut mener à l’isolement. Pour d’autres personnes, le fait de "craquer" et de ne pas supporter les restrictions provoque une culpabilité extrême, voire une dépression. Le fait de suivre des régimes alimentaires stricts est une tendance qui peut se transformer en troubles de l'alimentation et nuire à la qualité de vie et à la santé mentale.

 


dimanche 10 novembre 2019

JE REGRETTE LA GUERRE FROIDE


Écrit le 27 décembre 2007



Je vais en faire frémir plus d'un, par mes propos...

Il ne faut pas non plus les prendre au pied de la lettre...



Certes l'écroulement du bloc Soviétique est normalement en principe une bonne chose pour la liberté...



Mais si je réfléchis bien, à l'époque, j'étais inquiet que ce bi-pôlarisme Est-Ouest du monde cesse en 1989, lors de la chute du mur de Berlin.

Je savais ce qu'on avait, je ne savais pas ce qu'on allait avoir.

L'équilibre de la guerre froide fut brisé à cet instant au seul profit du capitalisme...

Il y avait gros à parier que celui-ci commettrait sans risque dès lors, des excès...

Bien que fort suspicieux, j'étais loin de me douter de ce qui nous attendait...



Les pays du Sud étaient le champ clos des batailles que se livraient l'Ouest et l'Est. Alors, bien souvent l'un ou l'autre camp aidait des dictatures (de droite ou de gauche suivant le cas), mais forcément dans 50% des cas on aidait le "bon camp", celui des résistants, des combattants pour la liberté...On se fichait pas mal de leur cause, on voulait faire contrepoids au camp d'en face, un point c'était tout. Et pour cela on aidait nos partisans, à seule condition qu'ils en fasse baver le plus possible aux adversaires...



Le déséquilibre qu'a produit l'écroulement soviétique est impossible à mesurer. Il est gigantesque. La seule idéologie du "tout pour moi, rien pour les autres" a alors prévalu depuis.



Lors donc, plus d'aide aux sous-développés, par contre si on peut leur piquer leurs richesses gratuitement, on le fait...



L'émergence d'une conscience anti-occidentale s'est faite jour, à partir du moment où ce foutu libéralisme égoïste a tout pris sans rien donner. Avant c'était donnant-donnant. Maintenant c'est je prends-je prends...



Il ne faut pas être énarque (surtout pas ils ne comprennent rien au monde), pour comprendre les brûlots que cette mondialisation est en train d'allumer partout. L'intégrisme, par exemple, ne trouverait pas de terrain fertile si la misère ne progressait pas à pas de géant...



Oui vraiment Karl Marx reviens !



Je n'étais pas du tout pour tes idées, mais au moins le monde était en équilibre...