lundi 31 décembre 2018

Ma chronique - On a cru élire qui, en 2007 ???


Zalandeau, le jeudi 8 juillet 2010


Explications :

Sa jeunesse a été analysée par des psychanalystes :

Il s'accroche à son poste, parce que c'est CE poste qu'il voulait, afin d'assouvir ses fantasmes de richesse, de pouvoir et de puissance... Parce que ce type était et est toujours un complexé... Son père le traitait comme une quantité négligeable... Les autres moutards lui foutaient sur la figure à la récré...

Cette place de président, c'est sa revanche sur ses complexes d'infériorité... Et quand je dis revanche, cela signifie, qu'il n'a pas fini et n'aura jamais fini de se venger sur TOUS les Français, sauf sur les riches et les puissants, pour lesquels il voue une admiration sans bornes, parce que richesse et puissance sont des outils nécessaires pour pouvoir se venger se venger encore, se venger  toujours...

Il faut donc l'empêcher d'avoir le pouvoir... C'est un insignifiant, qui se mute en petite terreur, lorsqu'il devient un petit chef... On en connait tous des comme-ça...

Maintenant, vous savez quoi faire...

(Egalement édité sur le post à l'époque) Mais le lien est effacé
 


Ma chronique – Nouvelles de la Sarkozye


© nénesse le jeudi 11 juin 2009

Le Monarque de Sarkozye a rassuré son univers microcosmique. Il a déclaré qu’il soutiendrait le très libéral Barroso à la direction de la commission Européenne… Qui peut mieux que ce candidat à sa propre succession, ne rien faire et laisser tout faire, mieux que lui ? Personne ! Sarkozy-Merkel-Barroso, on ne change pas une équipe qui laisse gagner le libéralisme !

Guerre économique : Combien coûte un "Continental" ou "Conti" ? 50.000 € et Basta ! Le secrétaire CFTC du Comité d’entreprise déclare « L’argent n’est pas tout ! Je reste triste, notre lutte n’empèchera pas demain un industriel de traiter son personnel aussi cyniquement que nous l’avons été ».
Les salariés des sous-traitants alentours n’auront pas cette prime pour leur licenciement. Le fabricant de pneus Allemand, n’a pris aucun engagement de revitalisation du territoire.
La Sarkozye, qui avait claironné la reprise de l’entreprise par un investisseur étranger se désintéresse de problèmes internes aux entreprises. Comme si l’emploi était sa priorité ?... Un seul possédant a-t-il été lésé ? Non ! Alors, vous voyez bien…

Mélenchon : Le rassembleur charismatique du Front de gauche dénonce le grand marché transatlantique, projet hourdé « dans le dos des citoyens ».
Il s’indigne que nul n’ait informé la Sarkozye, que l’année prochaine ce traité prendra effet sans consultation des peuples. Il fustige « le démantèlement de toutes les entraves à la libre circulation des capitaux et la création d’instances politiques supranationales non élue ». C’est déjà fait mon Lulu (60% de chèque en blanc à la Sarkozye !)…

D.A.L : Le gouvernement de Sarkozye, dans sa grande commisération, avait trouvé juste d’envoyer la police saisir les tentes rue de la banque à Paris en 2008 et de faire condamner le D.A.L. à 12 000€ d’amende...
Las ! La cour d’appel a reconnu le bien-fondé de l’action du D.A.L. Boutin est déboutée : Tant de miséricorde réduite à néant !
Il va décidément falloir que le prince s’occupe personnellement d’éradiquer ce nid de Trotskystes injustes de la cour d’appel !
Alors qu'il ferait mieux d'expulser les immigrants clandestins et d'obliger le DAL à s'occuper de nos SDF...


dimanche 30 décembre 2018

Ma chronique - Nous cherchons un commandant pour le bateau France

© zalandeau, le dimanche 17 janvier 2010


Triste réalité Haïtienne qui fait l’actualité actuellement… Mais les mots sont impuissants… Alors nous regardons, un peu honteux, gênés, voire hypocritement soulagés…

Triste réalité de notre globe et de son devenir…

Confiscation de terres agricoles, accaparation des ressources, délocalisations, travailleurs jetables, policiarisation de la démocratie, triomphe de l’arbitraire…

La spéculation continue. Elle, dont l’effondrement temporaire a su entrainer la récession économique, repart de plus belle, mais en laissant l’économie et ses acteurs derrière elle… Jusqu’à la prochaine rechute…

Nous sommes dans une guerre économique, mais peu de nos dirigeants veulent bien l’admettre. Dans une guerre, il faut se défendre et contre-attaquer, il faut une stratégie et un stratège pour nous protéger. Y-a-t-il quelqu’un aux commandes du bateau France ? Non !
Alors, nous continuerons longtemps à perdre toutes les batailles, à accumuler chômage, misère et égoïsme.

Il y a deux adversaires :
-         La finance spéculative internationale dont il n’est aucune localisation hormis les lieux obscurs des paradis fiscaux.
-         L’activité économique mondialisée dont les effets sont partiellement nationaux, souvent nocifs car liés à la finance spéculative.

Nous attendons un président, véritable chef de guerre, capable de mener ce combat et d’entrainer les grands pays Européens, dans une croisade de reconquête par la puissance publique du contrôle de la vie économique. Il sera attentif et adoptera un mode participatif avec le peuple de France, qui sera prêt à le soutenir, si le combat est juste, social et équitable.

Nous ne voulons plus d’impérialisme colonial, nous ne voulons plus du seul intérêt privé, nous ne voulons plus de l’égoïsme ni de l’obscurantisme religieux que notre société occidentale a su générer en réaction à ses agissements honteux et écœurants.

Nous cherchons un commandant pour le bateau France, mais existe-t-il ?

mercredi 26 décembre 2018

La guerre dans l'association des anciens élèves avec des dirigeants oligarchiques (13)


INFOS ADIA N° 19

Association de défense des intérêts de l’Amicale
Quelques infos au concernant l’audience d’appel du 27 novembre 2018 ainsi que les séances du CA du 30 novembre et de l’AG du 1er décembre 2018.

Chères et chers ami(e)s Papés,

Avant toute chose, nous vous souhaitons un très joyeux noël et d’excellentes fêtes de fin d’année ainsi que tous nos vœux de bonheur et de réussite pour cette nouvelle année 2019 en espérant qu’enfin une solution soit trouvée pour rendre à notre association amicale la sérénité perdue depuis la prise de gouvernance du président Deveaux et de son équipe.

Suite à l’audience d’appel qui s’est tenue le 27 novembre à Nîmes ; comme nous nous y attendions l’équipe de gouvernance actuelle et son président Sébastien Deveaux n’a tenu aucun compte de notre message demandant le
report du CA du 30-11-2018 et l’ajournement de l’Assemblée Générale du 1er décembre 2018.
Comme à son habitude, le président a décidé d’ignorer les conclusions de la cours d’appel et n’a tenu aucun compte de la décision prise par son président d’exiger une dernière tentative de conciliation afin de préserver l’image de notre école et de l’amicale ainsi que de ses intérêts financiers bien mis à mal par les gouvernants actuels.
Ils n’ont pas hésité à consacrer depuis septembre 2014 près de 400 000 euros pris sur les finances de
l’association pour assurer leur propre défense soit environ 5 années de cotisations des membres. A
titre comparatif nous membres de l’ADIA qui nous opposons à cette gestion calamiteuse et autocratique avons consacré pour le même objet 90 000 € de nos propres deniers (chercher l’erreur ?).
Lors de l’audience de la cour d’appel du 27 novembre ou 4 membres de l’ADIA étaient présents et aucun membre du bureau de l’amicale hormis le directeur de la maison des élèves, le président de la cour d’appel de Nîmes a demandé que soit engagé sous son contrôle une dernière tentative de conciliation qui devra s’achever au plus tard le 2 avril 2019 faute de quoi en cas d’échec, la cour se réunira à nouveau pour plaider et juger définitivement de la suite à donner au conflit.
Comme nous l’avions proposé à plusieurs reprises sans succès ; nous avons bien évidemment accepté cette proposition faîte par le président de la cours dans l’intérêt de l’image et des finances de l’amicale.
Toutefois nous ne sommes pas prêts à tout accepter et nous souhaitons notamment :
1- que ceux qui depuis 4 ans ont montré leur incompétence pour assurer la gouvernance et la gestion de notre amicale ne puissent pas se représenter à de nouvelles élections générales.
2- Qu’ils démissionnent immédiatement de leur mandat et que deux administrateurs bénévoles soient désignés pour assurer la gestion des affaires courantes jusqu’à ce que de nouvelles élections générales soient organisées par application stricte des statuts de 2005 et du règlement intérieur qui y est associé et qu’un nouveau conseil d’administration soit mis en place.
Élections générales qui pourraient être organisées sous le contrôle de la cour d’appel et qui permettraient :
a- de retrouver un esprit amicaliste et des pratiques de gouvernance transparentes et démocratiques où les élèves seraient consultés et sollicités pour participer aux commissions les concernant directement et pas uniquement pour participer; parfois contraint à un vote irrégulier dans le seul but de faire réélire les membres de l’équipe Deveaux ; comme cela a été malheureusement fait lors des précédentes élections.
b- Ré écrire de nouveaux statuts permettant de combler les lacunes et les incohérences de ceux de 2005 qui ont été exploitées à leur profit par les membres de l’équipe Deveaux. Cette ré écriture devra prendre en compte l’évolution des conditions d’hébergement et de vie des élèves futurs membres de notre amicale et la nécessité de les associer aux travaux du CA sous une forme à définir conjointement.
Seraient notamment précisés le rôle de chaque catégorie de membres et leurs prérogatives respectives ainsi que les modalités de la relation anciens élèves et élèves en formation, afin que ne se reproduise plus de conflit du type de celui qui se déroule aujourd’hui.

Alès le 20 décembre 2018
Le bureau de l’ADIA

mardi 25 décembre 2018

Mémoires et radotages (196) – Gilets jaunes - Noël


Écrit le 23 décembre 2018.



Vendredi dernier, je passe au rond point des gilets jaunes… 6 gilets jaunes et tout leur aménagement : Tente, barbecue, palettes, banderoles et WC du genre « la cabane au fond du rond-point », etc…

Je repasse deux heures plus tard quand j’ai fini mes courses… Il n’y a plus aucune installation… Seuls 12 gilets jaunes (ils avaient appelé du renfort) entourés de 18 gendarmes venus de trois gendarmeries différentes dans trois camionnettes…

Toute l’installation avait du être emporté par un camion auto chargeable comme en témoigne les traces de pneus et de vérins au sol…



Courageux, ces gendarmes, depuis que l’état leur a promis des sous ! (Je plaisante).



Hier samedi, je repasse à ce fameux rond-point… Les gilets jaunes ont réinstallés leur campement sur un champ qui touche au rond point, bien en vue… Certes il manque la cabane au fond du champ ainsi que le barbecue, mais c’est en bonne voie…



Et c’est reparti pour un tour… Y compris les fêtes de Noël !



Courageux ces gilets jaunes contrairement aux gendarmes qui ne sont qu’obéissants, zélés et lâches en fait…

……….

Noël… Que de souvenirs ! Je n’ai plus cru au père noël à sept ans et demi. Cette nuit là je voulait vérifier son existence ou non… Je faisais mine de dormir quand mon père est entré dans la pièce principale où je dormais et a déposé les cadeaux… Quand il est reparti, je me suis mis à sangloter, comprenant pourquoi les cadeaux étaient moins beaux que prévu : Mes parents n’était pas aussi riches qu’un père noël… J’étais triste, parce que malgré leur pauvreté, ils m’offraient ainsi des cadeaux que je n’avais pas toujours mérités…

Et puis, il y a eu tous ces Noël avec mes enfants à moi… Leurs sourires, quand ils avaient fini d’arracher les papiers d’emballage, leur joie quand ils découvraient ces jouets qu’un certain père noël avait posés devant le sapin…



Et puis il va y avoir ce Noël-ci… Je vais d'abord avoir un sourire béat, d’être avec deux de mes enfants, le troisième ne pouvant pas venir… C’est eux qui nous font des cadeaux, maintenant, malgré les réprimandes que nous leur faisons chaque année : « Vous n’avez pas de gros moyens, ne faites pas de telles dépenses ! »… Et là encore je vais être très triste de ne pas avoir mérité tant d’argent gaspillé et tant d’amour immérité. Je leur ai donné une vie de merde dans un monde de merde et ils me remercient… Je vais avoir honte après-demain matin…



Joyeux Noël, à ceux qui le peuvent…
 

mardi 18 décembre 2018

Qui paiera les dettes de Johnny Hallyday ?


Si la justice civile fixe le domicile du chanteur en France, les sommes réclamées par le fisc à ses héritiers pourraient grimper. Explications.


Modifié le 10/12/2018 à 10:24 - Publié le 06/12/2018 à 07:30 | Le Point.fr

Après la pression médiatique, celle de l'administration fiscale : Laeticia, désignée unique héritière par le dernier testament établi par Johnny Hallyday en Californie, est à présent dans le viseur du fisc. L'administration fiscale lui réclamerait 11 millions d'euros, révèlent les auteurs du livre Laeticia, la vraie histoire (Plon). Ardavan Amir-Aslani, l'avocat de la dernière épouse de Johnny Hallyday, serait en train de « négocier avec Bercy un échelonnement raisonnable de ce remboursement. D'autres sommes importantes pourraient lui être exigées si la justice et/ou le fisc considéraient que le montage du trust aurait servi à pratiquer l'évasion fiscale », précisent les auteurs. 

Ils évoquent ici deux types de dettes : la dette fiscale liée aux montages d'optimisation artificielle de ses revenus, et la dette judiciaire issue d'une éventuelle fraude pénale liée à la constitution du trust attaqué par les deux aînés de Johnny Hallyday, déshérités selon le testament californien.


Piège fiscal


En France, le principe est simple : les dettes fiscales du défunt nées en France et aux États-Unis font partie du passif successoral. « Elles viennent en déduction du patrimoine transmis. Le notaire détermine l'actif, puis le passif, dont les dettes fiscales, qu'il retranche pour obtenir un actif net », rappelle Hervé-Antoine Couderc, avocat fiscaliste au sein du cabinet Andersen Tax & Legal.

Toute la difficulté est de fixer le périmètre de ces dettes, s'agissant d'une succession internationale. Johnny était résident américain, il possédait des biens et donnait ses concerts dans plusieurs pays. Il est mort en France, pays de sa nationalité. Le droit fiscal s'entremêle alors avec la problématique de la loi applicable à la succession, enjeu du débat actuel.

« Sur le plan du droit civil, le règlement européen de 2012 en matière de successions précise que la loi applicable est en principe celle de l'État où le défunt avait sa résidence habituelle au moment du décès. Mais il ajoute : lorsqu'au moment du décès, il avait des liens plus étroits avec un autre État, c'est la loi de cet autre État qui s'applique. C'est sur cette règle que les avocats de David et Laura se fondent sans doute pour demander l'application du droit français, réservant aux deux enfants majeurs du chanteur une partie de la succession », souligne Emmanuel Dinh, avocat fiscaliste du cabinet Andersen Tax & Legal, et directeur du master de fiscalité de l'entreprise de l'université Paris-Dauphine. Mais, s'ils ont gain de cause sur le terrain du droit civil, ils risquent de se piéger eux-mêmes du point de vue fiscal !

« Sur le plan du droit fiscal, une personne qui a le centre de ses intérêts vitaux dans un État [notion distincte, mais néanmoins proche de celle de “liens étroits” avec un État, appliquée en matière civile, NDLR] peut être considérée comme domiciliée fiscalement dans cet État. Ainsi, le fisc pourrait considérer que Johnny était un résident fiscal français, ce qui signifie que tous ses biens, quelle que soit leur situation, sont imposables en France, de même que tous ses revenus. L'obligation fiscale est en effet illimitée pour les résidents fiscaux de France, et l'existence d'un trust, considéré comme “transparent” aux yeux de la loi fiscale française, ne change rien. Cela signifie concrètement que ses héritiers devraient payer l'impôt sur les revenus dû sur les trois dernières années (compte tenu de la prescription), et l'ISF sur les six dernières années, auxquels s'ajoutent les intérêts de retard, et certaines majorations pour compenser le préjudice subi par le fisc », note Emmanuel Dinh.

Exceptions


Concernant le trust successoral, le raisonnement est différent. « Par principe, un trust n'est pas un véhicule d'optimisation fiscale. C'est un outil très répandu, dans un environnement anglo-saxon, qui permet l'organisation de la transmission du patrimoine sur une ou deux générations. Si les juges considéraient que le trust était un montage destiné à dissimuler des sommes qui auraient dû être soumises à l'impôt, ils mettraient alors en évidence une fraude fiscale, qui est une infraction pénale. Or, tout ce qui a une nature punitive ne se transmet pas. L'action pénale s'éteint avec le décès. En vertu du principe de personnalité des peines, Laeticia ne supportera pas ce risque pénal », explique Hervé-Antoine Couderc.

À cela, deux exceptions : « Si on la considérait comme complice de cette fraude, ou auteur ou complice de blanchiment de fraude fiscale qui est un délit autonome. On peut en effet aller chercher celui qui réintroduit dans le circuit économique légal des sommes dissimulées aux services fiscaux. »

 

lundi 17 décembre 2018

La France et son armée

Écrit par Henri ROURE, le mardi 27 novembre 2018

Je ne crois ni aux hasards, ni aux coïncidences. Tout a un sens dès lors que les évènements émanent d’une même source. C’est bien sûr le cas en stratégie politique.
Si nous considérons plusieurs faits récents, apparemment indépendants les uns des autres, et si, avec un peu de réflexion et d’attention, nous essayons de leur trouver un ferment commun, nous sommes immédiatement amenés à nous interroger sur les calculs qui sous-tendent certaines actions du gouvernement. Un phénomène latent depuis quelques années vient de prendre une acuité toute particulière avec les dirigeants actuels : les Français ne se contentent plus des paroles issues du système politique traditionnel, ils analysent et ils jugent de la pertinence des décisions.
Désormais ils s’informent grâce aux réseaux sociaux, à internet et à une solidarité qui s’est créée en dehors des cheminements habituels et qui porte un nom : ras-le-bol ! Ils en tirent inévitablement des conclusions.
Dans un panorama d’insatisfaction nationale s’ajoutant à l’insécurité, nous pouvons nous interroger, aussi, sur le fond des relations entre le pouvoir et l’armée. Les forces armées sont les garantes de l’intégrité du territoire, de la défense de la population et des intérêts nationaux. C’est dire que leur mission est essentielle, régalienne, et doit les rendre intimes avec le peuple. Elles sont, d’ailleurs, constituées par des citoyens qui en sont issus. Dans le paysage politique présent il est bon de le rappeler.
Bien avant la révolte des gilets jaunes le président et ses soutiens ont montré à la fois une indifférence hautaine et une crainte inavouée du peuple. Ils persévèrent. Méconnaissant les gens-d’en-bas ils prennent des décisions à l’emporte-pièce, en cohérence avec leur idéologie européiste et mercantiliste, sans se soucier des conséquences sociales, parce qu’ils se sentent assurés de leur intelligence et donc de la qualité de leurs choix. Ils savent, cependant, probablement de manière encore confuse et en sous-estimant les conséquences possibles, qu’ils ne sont pas à l’abri de sévères remous, car leur politique ne sert pas la France indépendante alors que les Français restent toujours attachés à leur pays, à leur mode de vie, à la grandeur de leur histoire et à leur culture.
> Cette crainte a sans doute été confirmée par les actions des gilets jaunes. Cette arrogance va de pair avec une inquiétude. Ils prennent donc quelques précautions pour éviter un mouvement populaire puissant et structuré qui viendrait à mettre en péril la permanence de leur démarche politique. Mais nous pouvons douter de leur compréhension de la situation, donc de la justesse de leur réaction…
Une de leur appréhension, non-dite, serait que les armées sortent de leur neutralité en cas de crise majeure, contestant la globalité de la politique conduite. Cette méfiance est en soi une preuve supplémentaire d’une politique très sensiblement en contradiction avec un destin national indépendant. Ils ont à l’égard des militaires ce même regard qu’ils portent au peuple.
Ils additionnent, donc, des gestes et des décisions vers les armées qui visent à les affaiblir et à les décérébrer mais à les conserver aux ordres. Cette action de défiance complète le désir de ne pas développer un instrument de défense nationale, qui serait en contradiction avec leur idéologie.
> Dans cette ligne, le président émet l’idée d’une armée européenne, rejetant celle de patrie et montrant, à l’évidence, qu’il ignore pourquoi un soldat accepte de mourir.
La Défense est un monde qui lui échappe. Il constitue, par essence, un obstacle au supranationalisme financier. 

Aucun président, avant lui, n’a trouvé nécessaire de rappeler qu’il était chef des armées. Les militaires savent parfaitement que celui qui, seul, peut engager le feu nucléaire et décider d’une opération militaire est bien le responsable suprême. Nul n’est besoin de le clamer et de défier et humilier un chef d’état-major pour asseoir une autorité constitutionnelle. Pourtant il est surprenant que le président actuel réponde aux questions d’un journaliste, à bord du porte-avions Charles de Gaulle, tout juste sorti de sa grande visite, avec en fond de tableau un Rafale Marine, comme s’il voulait se mettre sous la protection de ces armées qu’il maltraite par ailleurs. De même en imaginant d’accorder aux grands responsables militaires parisiens une prime conséquente de très haute responsabilité, sachant pertinemment qu’ils sont les véritables chefs opérationnels des armées, alors que cadres et militaires du rang subissent toutes sortes de régressions sociales et financières et se heurtent, au quotidien, à des conditions de vie professionnelles et personnelles difficiles.

Les nantis sont censés être du côté du pouvoir ! Diviser pour régner et faire accepter une nouvelle baisse de capacité opérationnelle ?
L’attitude du chef de l’État n’est paradoxale qu’en apparence.
Simultanément le président - par l’intermédiaire de son ministre des comptes publics - rabote le budget de la défense de 400 millions d’euros, malgré la LPM, alors que la menace islamiste intérieure et extérieure est bien présente et que l’immigration musulmane ne cesse pas. Il essaie de dissocier la Nation et son armée, notamment, lors de la commémoration du centenaire de l’armistice de 1918, refusant, en outre, d’honorer les maréchaux qui ont conduit à la victoire l’armée de la nation et non-pas des civils que l’on avait armés. Et, tout récemment, en humiliant les Saint-Cyriens et, en fait tous les militaires, en faisant débaptiser la dernière promotion de l’Ecole Spéciale Militaire au prétexte que le parrain choisi, le général LOUSTAUNAU-LACAU - pourtant héros des deux guerres et de la Résistance, déporté par les nazis.- ne répondrait pas aux critères de la bien-pensance, à laquelle il voudrait se référer, et aux critères de ceux qui ont fait son élection. Il bafoue le contexte historique et la tradition d’une grande école qui a fourni à la France ses sauveurs, des présidents et un saint. En agissant ainsi c’est bien l’intimité du peuple et de son armée qu’il voudrait fracturer. Il affiche le même mépris des militaires que du peuple.
Nous pouvons dès lors nous interroger sur la finalité d’une politique générale qui vise à appliquer contre vents et marées les obligations supranationales du traité de Maastricht en s’opposant, notamment, aux revendications populaires, pour s’inclure dans des règles budgétaires inappropriées et à continuer, par petites touches, à résorber l’héritage gaullien d’une politique militaire indépendante.
La réponse va de soi : il faut tout faire pour réduire encore la souveraineté nationale pour mieux paraître, individuellement, dans la coterie mondialiste. D’ailleurs certaines idées sont étonnantes, sortes de ballons sondes ; mais qu’elles aient pu être émises donne la direction souhaitée par le pouvoir actuel : Partage de la direction de la dissuasion nucléaire avec un autre État, s’ajoutant à la proposition d’armée européenne, partage du siège permanent au conseil de sécurité…D’un personnage aussi complexe, élu grâce à une manipulation médiatico-financière, partenaire des plus fervents « mondialistes », il n’y aurait là rien d’étonnant.

Général (2S) Henri ROURE
Ancien officier des Troupes de Marine
27 novembre 2018

vendredi 14 décembre 2018

Mémoires et radotages (195) – Terrorisme à Strasbourg – Acquis des Gilets Jaunes


Écrit le 14 décembre 2018.

Ce matin, j’ai sauté de joie ! Ce terroriste de merde, auteur de l’attentat de Strasbourg, a été abattu… Enfin !

Il est vrai que quand on a appris qu’il avait disparu, plus le temps passait à le rechercher, plus je me disais que si l’auteur de cet attentat n’était pas retrouvé, c’est qu’il était peut-être téléguidé par le pouvoir afin de faire disparaître les gilets jaunes des écrans…
Mais bon, je pense que l’affaire est réglée sans plus de soupçons de machination encore plus machiavélique…

Bon, maintenant, concernant les gilets jaunes, ils ont obtenu pour les moins aisés d’entre eux, des aides (prime + augmentation mensuelle) assez substantielles, qui n’alimenteront pas l’inflation des prix ! C’est très bien ! Ceci dit cela augmentera très sensiblement les dépenses de l’état, donc fera augmenter les prélèvements sur tous les Français et en particulier, la classe moyenne… D’autre part, je sais bien que cet argent donné sous forme d’indemnité ne rapportera aucun droit à retraite supplémentaire ni bien entendu aucune cotisation complémentaires pour les organismes sociaux, ni impôts sur le revenu non plus… Et en plus, ce revenu complémentaire, dans les foyers qui en bénéficieront, ira on le sait bien en grande partie alimenter des dépenses de produits étrangers et des bénéfices capitalistes volatils…

Ce sont de bien mauvaises opérations surtout comme je l’ai déjà dit, en ce qui concerne l’exonération des heures sup, qui vont obérer l’embauche et ne rapporter ni droit sociaux supplémentaires  pour les salariés, ni ressources ni impôts sur le revenu supplémentaires pour les organismes sociaux et pour l’état…

Mais de toute façon Macron était obligé d’en passer par là ! A trop tirer sur la corde…

Mais rien ne change : Aucun effet du CICE sur l’embauche, aucun réinvestissement de l’ISF « libéré » dans l’économie… Il y a là beaucoup de milliards gaspillés qui auraient très bien pu financer ces dépenses à caractère social improvisées…

L’état va-t-il se résoudre à faire payer en France, les revenus gagnés en France, même s’il faut dénoncer quelques accords internationaux ineptes ?
Quand à des mesures pour créer des emplois, qui nécessiteraient des barrières douanières contraires à ces foutus traités européens et de l’OMC ???

Il ne faut pas rêver ! Le gouvernement actuel ne fera absolument rien et donc le marasme économique continuera !

Comme aussi continuera la prolifération des passages à l’acte des terroristes, que les droits de l’homme et internationaux nous « interdisent » de neutraliser tant qu’ils ne nous ont pas fait péter la gueule !!! Logique Bobo de ces pays soi disant démocratique qui ne savent pas protéger leurs citoyens aux noms de principes moraux ineptes et d’intérêts financiers internationaux inhumains !

 

mardi 11 décembre 2018

Mémoires et radotages (194) – Gille et John au rond point – Macron lundi soir



Écrit le mardi 11 décembre 2018

Samedi 8 décembre, je me suis laissé emprisonner dans le blocage du rond point, pour voir… Ils étaient dix, deux pour chacune des cinq voies à bloquer…
J’étais la troisième voiture de la file, je n’ai attendu, sans mentir, que 15 secondes et ils ont enlevé la palette… Parvenu à leur hauteur, j’ouvre ma vitre et je lance « Salut les gars ! »… Le plus proche de moi me lance « Vive la France ! ». Je démarre…
Cela m’a ému ! Il est vrai qu’avec l’âge, on s’émeut plus facilement pour peu de chose… Je pensais à cet enthousiasme, cette motivation de ce gars et me disais qu’il risque d’être très déçu de la suite des évènements…
……….
Lundi 10 décembre j’ai écouté l’allocution de Macron… Il a fait ses annonces…

Il a pour la première fois eu un discours mesuré et qui semblait vraiment répondre aux préoccupations de ceux qui manifestent depuis un mois, sans les ignorer, sans les snober sans les mépriser. Il a témoigné (à cœur ou à contrecœur) d’une certaine empathie et a planqué son arrogance… Si cela pouvait continuer sur cette voie !

Mes réflexions sur ses propositions :

Défiscaliser et décharger les heures sup : cela me déplait fortement : Ce surcroit d’activité éventuel qui découleraient d’heures supplémentaires ne rapporterait pas de recettes d’impôt supplémentaires à l’état, n’en rapporterait pas davantage aux organismes sociaux (sécu et retraite pour financer les retraites actuelles) et de plus ne rapporterait aucun droit supplémentaire à la retraite, que ce soit en montant ou bien en « points », aux salariés… En fait comme les fonctionnaires, qui touchent des primes de rendement qui sont en fait des indemnités… Sauf que là dans le privé, cela ressemblera à un début de travail au noir, comme les clandestins que l’on laisse prospérer sur notre sol… C’est la porte ouverte au système des pays sans couverture sociale… Totalement inadmissible ! Sarko avait fait cela : Cela a causé un trou dans les caisses de l’état et creusé la dette… De plus, je pense à mes fils, qui travaillent en intérim : Plus d’heures sup au noir = moins de travail en intérim ! Toujours pour la gueules des mêmes : Ceux qui sont en CDI !!!

La prime de fin d’année de 1000€ détaxées et déchargées pour les entreprises qui le peuvent : Lesquelles le peuvent, lesquelles ne le peuvent pas… De plus, les boites qui avaient déjà prévu une prime ou un 13 ème mois, ne vont-elle pas profiter de l’aubaine et faire ainsi des économies de charges par rapport à leurs prévisions ?
J’ai également les mêmes remarques que précédemment quant aux manques à gagner pour l’état et les organismes sociaux, sauf que la mesure est ponctuelle et ne devrait pas se renouveler…

Quant à l’augmentation du smic de 100€ soit 6, 5% :
Comment éviter que celle-ci ne provoque rapidement une augmentation du coût de la vie de 6,5% et annule les effets de l’augmentation en même temps qu’elle précipiterait nos entreprises vers la faillite à cause de la concurrence internationale ? Il faudrait que l’état finance intégralement cette hausse auprès des entreprises, dont on ne sait si elle est brute ou nette… Il a annoncé que cela ne coûterait rien aux entreprises. Avec plusieurs millions de smicards… Cela coûterait d’après mon estimation, 3 à 4 milliards de salaires à l’état sans compter les charges dont on ne sait si, là encore, elles seraient assumées ni par qui… Veut-il là encore donner une indemnité genre vtravail au black ? On n’évitera pas que ceux au-dessus du smic, mécontents, demandent eux-aussi des augmentations, en effet boule de neige…

J’ai bien noté les promesses concernant la chasse aux fraudeurs fiscaux, ainsi que les expatriés fiscaux, sauf que l’état vient juste d’exonérer ces mêmes expatriés de leurs dettes !!!
Je suis également content de sa promesse sur les problèmes migratoires, sauf que dans le même temps un de ses émissaires vient de signer pour la France les accords de Marrakech !!!

Etant donné que ces dernier propos sont de l’enfumage… Je me demande si toutes les promesses faites ne vont pas engager que ceux qui les écoutent (les macronistes)…

samedi 8 décembre 2018

Ma chronique - Meuuuu non, on n’est pas cynique, on est escrocs, c’est pas pareil !


zalandeau, le jeudi 11 novembre 2010


C'est pas compliqué... Prends un président complice de la grande famille des nantis... Donne-lui tous pouvoirs…

« Oh, mais j’va pas donner aux pauvres, y sont trop cons et ingrats, j’aurai jamais un seul merci… »

Il donne aux riches « Tiens un petit cadeau mon ami et puis un autre, t’oublies pas de me le renvoyer… Ben l’ascenseur, pardi ! »

MAIS T’ES CON ! QU’Y DIT LE RICHE T’AS PRIS DANS LA CAISSE DE L’ETAT... TU VAS TE FAIRE TAPER SUR LES DOIGTS !

 « Meuuu nonnnnn ! Oh tiens, t’as raison, j'ai un trou dans la caisse !... Bon je va pas payer les dettes de l'état à la sécu »... Plus tard «  mais quel déficit à la sécu!!! Je va leur réduire les prestations et leur dire que c'est leur faute, comme ça, je pourrais continuer à piquer dans la caisse »... «  Oh mais j'ai un pot de vin si les complémentaires santés et les complémentaires retraites se font du beurre ??? Qu'est-ce qu'ils sont gentils !!! Ben, je va diminuer les prestations des caisses obligatoires... Comme ça elles s'écrouleront et qu'est-ce qu'on en croquera! »...

OUI MAIS TOUS LES PAUVRES VONT EN CREVER ???

«  Ah ben tant mieux, comme ça on fera des économies de santé, de sécu et de retraite. D'abord les pauvres ils ont un mauvais gout !!!... Préférer être pauvre, plutôt que riche !!!... On n’a pas besoin d’eux, on les cache, comme ça personne ne sait qu'il y en a, en attendant qu'ils crèvent... C'est pas des pauvres qui vont faire la loi ? Non mais ? »

OUI MAIS, DE PLUS EN PLUS DE PAUVRES, C'EST MOINS DE CONSOMMATION ?

« On s'en fout ! Nos amis savent très bien augmenter les prix de ventes... Gagner plus en vendant moins, c’est écologique ! (En plus : Moins de travail pour les caissières, on licencie et on gagne encore plus et je te donne une autre astuce ils tirent les prix des petits producteurs… D’une pierre deux coups !!!)... Alors elle est pas belle la vie ? »

OUI, MAIS L'ECONOMIE DE LA FRANCE VA ÊTRE A PLAT ?

« Je comprends pas? Depuis le temps qu'on leur suce le sang, la bête agonise mais est toujours vivante... Mais quand elle sera crevée, on a encore 6 milliards de pauvres à exploiter... Et puis nous, on ne risque rien, on cache ce qu'on vole dans les paradis fiscaux"... Et puis, avec pleins de vigiles sous-payés, on peut continuer à profiter de la douceur de vivre en France ; d’abord mon spécialiste est dans une clinique privée, je vais pas partir ??? »… « Sauf si le facteur prends le pouvoir, mais je l’ai acheté, alors ??? Ça serait vraiment de la faute à pas d’chance »…



vendredi 7 décembre 2018

Mémoires et radotages (193) - J'ai très mal à la France

Ce n'est qu'un dessin, mais il traduit bien le dessein malsain de cette caste de premiers de cordées qui a pris le pouvoir : Tout pour notre gueule, rien pour les autres... Entêtés et aveugles...

On garde le cap

Je ne trouve pas ce dessin drôle, mais plutôt très dramatique et surtout très pertinent !

Le petit malin, ou du moins qui se croyait malin, a voulu imposer au peuple de France, les idées des patrons de la finance et se comporter comme un roi absolu, va déchanter... 
Il n'a même pas été capable de savoir jusqu'où il ne fallait pas aller, ni quand il faut savoir lâcher un peu... Et maintenant, la colère s'est transformée en haine. Ce ne sont plus quelques petites mesurettes malsaines qu'il faut annuler mais c'est sa peau que les gens veulent !

Voilà ce que c'est que d'ignorer le peuple du haut d'un mépris qui a engendré la haine, la violence et qui créera les pires excès et les pires déséquilibres économiques, sociaux, financiers...

Il a voulu l'opulence des uns, aux dépens des autres, il crée ainsi la misère de tous dans ce chaos que risque de devenir la France !


Sa stratégie actuelle est de jouer le pourrissement ainsi que le retournement de l'opinion publique. J'en veux pour preuve la diffusion en boucle des violences de samedi 1er décembre par les médias. Si cela échoue, sa seule solution bientôt sera de proclamer la loi martiale et de se faire voter les pleins pouvoirs par ses complices majoritaires de l'assemblée...

Mais pour la France, la seule meilleure solution pour éviter le chaos, serait son départ...

Mais Macron, a-t-il jamais pensé à la France ?


Macron démission !

mercredi 5 décembre 2018

Ma chronique – Mélenchon, une lueur d’espoir dans la crise ?


Ecrit le jeudi 4 juin 2009.



Ai-je changé ? Ou bien est-ce le monde qui a changé ?

Je crois être fidèle à mes idées, à mes valeurs, à mes convictions. Alors pourquoi vais-je voter pour Mélenchon ? Suis-je devenu communiste ? Non, surement pas !

Mais quand un homme qui a œuvré 30 ans au parti socialiste, fait brusquement rupture, crée son parti et dénonce cette gauche Européenne qui a failli, ce PS qui s’est renié « Au parlement européen, les députés socialistes ont voté dans 95 % des cas avec la droite », cela m’interpelle fortement.
Quand ce même homme affirme « Pour lutter contre le dumping social, il faudrait prendre des mesures d’harmonisation sociale. Or c’est interdit par le traité de Lisbonne ! Comment le PS a-t-il pu voter en faveur d’un traité qui interdit le cœur même de son engagement ? », n’est-ce pas l’exact reflet de ma pensée, de ma connaissance et de mon interprétation des faits ?
D’autant que jamais, il ne remet en cause la capacité du capitalisme à créer de la richesse. Il critique seulement les excès que la dérégulation libérale a provoqués et favorisés. Il veut dénoncer tout comme moi le traité de Lisbonne que notre président a ratifié en dépit de mon vote négatif pour le traité de Maastricht… Il veut remettre une vraie régulation et la mise en place européenne de mesures sociales et de protectionnisme des travailleurs…

Est-ce communiste ? Socialiste ?

Je crois que c’est simplement généreux, humain, lucide, social et progressiste. Savoir dire « NON » à la barbarie régressive de l’ultralibéralisme, que demander de mieux ?

Je reste dans mon idéal de pensée Gaullienne, l’homme qui a su dire « NON » au défaitisme, l’homme qui a mis en place le système de sécurité sociale à la libération initié par le conseil national de la résistance allié avec les communistes…

Je serai donc fidèle à mes convictions concernant l’humain, en votant Mélenchon, c'est-à-dire pour le Front de Gauche, aux européennes du 7 juin 2009 (Ca va me faire drôle de voter à gauche…).

Pour une Europe sociale et régulatrice, contre une Europe libérale.

Vive la France !

Mais non… Je plaisante !

Méluche, il est bien comme mec, sur les sujets que je viens d’évoquer… Mais en ce qui concerne l’immigration… il en est encore à vouloir ouvrir les bras de la France à toute la misère du monde, que pourtant nous n’avons pas les moyens d’accueillir et qui prive nos pauvres à nous d’emplois comme d’aides en suffisance au nom d’une humanité qui ne nous rend pas la pareille… Alors Méluche : NON