jeudi 30 juillet 2015

Le hasard fait mal les choses et c'est bien

Écrit le 22 juillet 2015

J’ai écrit, il y a quelques jours dans un commentaire, que finalement blog.fr était convivial, trop convivial. Que c’était comme un petit village où certains pouvaient médire, caché derrière leurs rideaux et que c’était peut-être une des causes de l’éphémère durée de certains blogueurs. Trop de convivialité tue la convivialité, la transformant en lieu privilégié des ragots, des rumeurs des médisances…

Oui… J’en ai eu encore la confirmation récemment à la lecture de sarcasmes dont l’auteur était dans mon esprit, très respectable et loin de tout soupçon à cet égard.
Comme quoi, il faut toujours se méfier des apparences (tiens, ça rejoint mon article précédent, comme c’est curieux la vie).

Du coq à l’âne… Un ami ne le devient réellement qu’à l’aune du temps, des épreuves et des preuves accumulées…

Enfin, c’est cela l’âme humaine, capable du meilleur comme du pire. Blog.fr favorise les deux, finalement. Mais étant donné que meilleur et pire, comme huile et vinaigre ne veulent pas se marier… C’est la séparation.

La bonne formule de blog ? Je ne la connais pas. Il serait plus facile de redresser les comptes de la nation que de connaître le fond de la noirceur humaine et donc , de connaître la formule logicielle idéale d’un site de blog…

Un seul médisant et c’est dix ou vingt déçus.

Il faut savoir partir, sans se retourner.

Les justes se retrouveront et se reconnaîtront, je crois, ailleurs, au détour d’une rue ou d’un lien, ou d’un blog…

lundi 20 juillet 2015

Malheureusement, je ne suis pas un bon blogueur communicant



Autant ce que j’ai décrit dans un article précédent ("pour être un bon blogueur communicant") est vrai, autant la réalité des motivations concrètes des blogueurs est sensiblement beaucoup plus diverse dans la réalité.



On vient sur un blog par vague à l’âme, on vient pour chercher du réconfort, on vient pour trouver des amis, on vient pour se réchauffer et se sentir moins seul, on vient pour faire sa pub, on vient pour relâcher la pression, on vient pour s’imposer, on vient par curiosité, on vient pour longtemps ou éphémèrement, le temps de se remonter le moral ou d’être dégoûté. C’est d’ailleurs plus souvent ces derniers cas, comme en témoignent les nombreux blogs désertés depuis des années, comme ces villes fantômes de l’époque de la ruée vers l’or au far west…



C’est le cas sur blog.fr, beaucoup d’épaves de blogs sont échouées sur ses plages et c’est peut-être de cela que blog.fr meurt maintenant…



Peut-être trop de convivialité, trop de promiscuité, trop de possibilités de communiquer à en devenir nuisibles. Et pourtant, il est des procédés pour s’en prémunir, mais peut-être pas assez sélectifs. Chacun peut nuire aux autres. Nous en connaissons tous des nuisibles, sortes de mouches du coche qui de manière perverse prennent plaisir à semer la merde chez autrui…



Sans compter la merde qu’on sème sans le savoir, sans faire exprès, mais que la victime ressent intensément. Cela aussi, ça fait fuir…



La contrepartie de cette convivialité de blog.fr, c’était cette proximité parfois nauséeuse trop proche de ce que l’on vit dans le monde ordinaire.

Car, si on vient sur un blog, ce n’est pas pour subir les tracas de la vie quotidienne, c’est au contraire, pour changer, pour avoir une vie de rêve, débarrassée du fardeau habituel…



De ce point de vue, pas de soucis avec les blogs concurrents dans lesquels nous allons émmigrer. Hormis les fesses-de-bouc, Twitter et consorts, qui sont bien pires que blog.fr, les autres, présenteront bien plus de solitude, et d’isolement, par leur cloisonnement, leurs difficultés d’accès, d’annuaires, de listes, etc.



WordPress : Cela me revient maintenant. Vers 2009, j’étais allé sur le blog de chez Live. Peu de temps après ils ont fermé et nous ont fait migrer sur un autre blog, puis sur WordPress, je crois. Quand j’ai vu la prison solitaire que c’était (genre cachot), j’ai fermé le bouzin.



Blogspot : qui est devenu Blogger j’y suis. Très isolé dans un environnement mondialiste, (François Loiret y possède un blog), je me sers de ce site comme brouillon, avec un stockage de photos genre cloud qui permet de faire des insertion sur blog.fr par simple copié-collé. Mais c’est tout, île déserte, sinon !



Skyrock : Le merdier, genre concert de Johnny au stade de France : Pour être incognito, no problemo ! Ou on fait un blog de musique, ou on fait un blog de texte. Pas d’insertion de vidéo, que dalle !



Canalblog : Il n’aime pas qu’on saute des lignes : Qu’il est con ! Je viens d’y dérouler ma serviette de plage… Pour l’été ou plus ? L’avenir seul le dira…

dimanche 19 juillet 2015

Comment migrer vers WordPress (pour ceux que ça intéresse)

Mode d'emploi gentiment donné par une blogueuse Anglaise :


As tu cree un blog avec WP encore? Sinon, il faut faire avant de faire le migration. Lorsque, tu as cree ton site de blog, faire une note du site addresse.

Aller a https://en.wordpress.com/ Le lien dans le lettre que nous sommes recu donnent a cette url addresse pour les instructions pour faire un WP blog.

Tu peut trouver l'outil d'exportation WordPress à www.blog.co.uk/my/export

Dans ce nouvel outil d'exportation tous tes blogs seront répertoriés dans la boîte / cellule "nom du blog"
1. Sélectionnez le blog que vous voulez exporter. si vous exploitez un seul blog, il est préréglée automatiquement

2. Sélectionnez dans le Commentaire Manipulation Champ ("Comment Handling Field") si les commentaires en suspens devraient être approuvés et exportés ou, si elles doivent exporté avec l'état en attente.

3. Maintenant, il suffit de cliquer sur soumettre

Après quelques secondes, une fenêtre de téléchargement (download window) apparaîtra et vous pourrez enregistrer le fichier .xml sur votre ordinateur.

Si votre blog est trop grand pour exporter en un seul fichier, un message d'erreur apparaît. Si cela arrive, vous aurez besoin pour créer des fichiers d'exportation MULTIPLES.

Retour à l'outil d'exportation. Essayez d'exporter votre blog par chaque première année. Sélectionnez l'année désirée et cliquez sur «soumettre» à nouveau.

Par exemple: Si tu sélectionne "2011" comme l'année, tous vos messages à partir de 2011 seront exportés.

Si le message d'erreur apparaît de nouveau, tu peut essayer d'exporter le blog PAR MOIS sélectionner le mois désiré et l'année, puis cliquez sur «soumettre» à nouveau.

Exemple: Si tu chois "2011" comme l'année et «Janvier» pour le mois, les exportations de l'outil d'exportation de tous les messages que tu as écrits en Janvier 2011.

Des que tu as une compte de blog(addresse de blog)tu va a connecter a ton tableau de bord clic "My Sites" > "WP Admin" >"Tools" >"Import". Ici tu doit selectionner dan la liste options "WORD PRESS" et telecharge ton fichier .xml

J'espère que ceci vous aide.

jeudi 16 juillet 2015

Blog.fr va fermer



C'est bien ennuyant ! Aller ailleurs ? Mais où ? D'abord je vais demander chez blog.co.uk si leur destin sera le même…



Si ce n'est pas le cas, j'irai chez eux. Mais si tous les "blog.quelquechose" ferment. Où aller ?



Flash de 10H36 : C'est kif-kif chez blog.co.uk !!!



Car il est vrai que blog.fr présente une convivialité dont chacun peut utiliser à sa guise les différentes fonctionnalités et ce en toute liberté…

J'ai été dans le passé sur différents autres blogs et je dois reconnaitre que je les ai trouvé si cloisonnés, si indiscrets sur leurs questionnaires que je les ai laissé tomber…

Overblog, Skyrock, Blogger… n'ont eu aucune grâce à mes yeux. Et face-de-bouc, n'en parlons même pas…



J'en avais même essayé un, qui était d'une difficulté incroyable en matière de paramétrage et d'activation des fonctions… J'en ai même oublié son nom…



Alors effectivement, hier, je devais parler de ce que j'avais vu la veille 14 juillet. Oh, non pas le défilé. Je crois que c'est la première fois que je ne le regarde pas. Par contre une chose m'a surpris : C'est l'interview de Hollande !

Il ne s'agit pas de son propos dont je n'apprécie pas souvent la teneur, mais du ton.



J'étais habitué à son air de chien battu, son attitude de grosse nouille, ses yeux de cocker, son ton pleurnichard… Et là, ce 14 juillet, devant les deux serveurs de plats habituels de service, il a montré un air décidé, il a parlé d'un ton assuré, il a eu enfin l'air de s'adresser à des adultes et non un public de jeunes enfants…



Alors hier, quand j'ai lu le message de blog.fr... Et bien mon article sur  le 14 juillet de Hollande a sombré tel le Titanic sur lequel nous sommes en train d'écrire nos derniers messages : "MAYDAY, MAYDAY, MAYDAY"...



Enfin, maintenant, où vais-je partager ce que je viens de dire ? Dans cinq mois : EXIT !



Décidément on ne respecte pas la trêve hivernale sur blog.fr…



Y-a-t-il quelqu'un pour reprendre l'affaire en mains avant fermeture ?



Ouh-ouh ! Y'a-t-il quelqu'un ???

vendredi 10 juillet 2015

C'était un "jour de la femme"



J’ai fait ma petite marche à pied, ce matin.  Ah , si je pouvais transcrire tout ce qui m’est venu à la pensée. Mais je pense beaucoup plus vite que je ne parle, et je parle beaucoup plus vite que je n’écris.
En passant j’ai acheté « Psychologies ». Je vais donc essayer d’apprendre la différence de façon d’appréhender le monde, entre les hommes et les femmes.

Je ne vais pas dire que du bien sur les femmes…

Il n’est pas trop tard pour apprendre. Je viens d’apprendre qu’une femme peut avoir ma sensibilité. Ai-je un coté féminin, ou est-ce l’inverse ?
Je souhaite que les femmes aient leur place dans la société.
Mais je conseille aux femmes de rester femme.
Exemple : une femme-chef : Je suis entièrement pour. A condition, (et c’est valable aussi pour les hommes) qu’elle manage son personnel avec souplesse en tenant compte des spécificités et caractères de chaque individu. Le tort d’une femme-chef est bien souvent de vouloir singer les hommes : elles veulent crier, faire viril. C’est aussi pitoyable qu’un homme en train de singer la femme ( sauf Michel Serrault dans la cage aux folles, c’est très drôle !).
Que les femmes restent femmes. Elles peuvent en imposer par leur compétence, leur calme, leur sourire, leur intelligence…
La « Royal » (Ségo) : au début, j’étais séduit et près éventuellement à lui accorder ma voix, parce qu’elle avait un parler neuf, plus proche des gens… Mais le temps passe : Je m’aperçois qu’elle « rase gratis », qu’elle promet tout et son contraire, : comme un homme politique, hélas !
Il est vrai que les femmes qui réussissent à « monter » en politique, ne le font qu’avec l’accord de ces derniers. Les hommes pensent « celle-là elle est trop gourde, elle n’est pas dangereuse pour moi, on va la laisser grimper un peu, histoire de ne pas avoir l’air trop machos ». C’est la même chose chez les hommes : un chef qui ne serait rien sans son entreprise, ne fait pas « grimper » les jeunes qu’il trouve trop compétents, de peur que ceux-ci ne lui prennent sa place.
Je pense que la vraie intelligence en entreprise, c’est de découvrir et favoriser les talents, dans l’intérêt de l’entreprise. Mais en politique ils sont machos. D’ailleurs ils sont très préoccupés à faire des « conquêtes », le pouvoir exacerbe la libido…
Donc pour revenir à la politique, on aura des femmes compétentes, le jour où, soit les hommes ne feront plus obstacle, soit les femmes feront semblant d’être « gourdes », et dévoileront leur compétence une fois franchis les obstacles.
Pourquoi les hommes sont-ils machos ? Ont-ils peur des femmes ? Est-ce un complexe devant celles qui donnent la vie ?
La femme-soldat : Là, je m’interroge… On a vu un reportage où des femmes s’engageaient dans le 1er Bataillon de Parachutistes de Choc (dernier saut opérationnel sur Dien Bien Phu en 54)…
On le voit bien, elles ont du mal à faire des tractions sur les suspentes du parachute, par exemple. Quand au mal au pied lors des marches, au problème de la pause pipi, tout ça me laisse bien perplexe. Ajoutant qu’elles sont 3 ou 4 parmi 100 jeunes hommes aux appétits sexuels importants… De plus je trouve que la femme-qui-donne-la-vie, devenant celle qui tue, n’est pas très rassurant. Il est vrai qu’elles deviennent plutôt « infirmières-para »…
Je salue quand même l’armée pour cette large ouverture d’esprit et surtout pour toute la psychologie qu’il faut aux cadres pour gérer cela.

Par contre la femme-hystérique : Attention danger !!! J’ai eu affaire à une d’entre elles. Crise de nerfs, débit de reproches énorme sur un ton violent en 30 secondes ! Une paire de claques l’aurait calmée. Je me suis contenté de lui dire que, ce que j’avais pu capter de son catalogue, elle aurait pu me le dire gentiment, même avec le sourire, et que j’en aurai d’autant plus volontiers tenu le plus grand compte à l’avenir… N’empêche, qu’elle aurait mérité une paire de claques.
Mais je me suis promis de ne jamais plus le faire. Oui parce que je l’ai fais étant jeune (20 ans) : juste une claque (par jalousie). Elle s’est promenée avec le cou de travers pendant six mois (j’aurais du lui en donner une 2ème dans l’autre sens pour la redresser). J’en ai été mortifié pendant longtemps…
Depuis, je n’ai plus tapé de femme et surtout je ne suis plus jaloux : C’est un instinct très bas et vil…
Et il n’y a pas lieu d’être fier.
Les femmes il faut les respecter. Mais les femmes doivent aussi respecter les hommes (je m’adresse aux petites hargneuses : gare aux baffes de ceux qui n’ont pas pris conscience de leur force) !

A ce sujet j’en viens aux violences faites aux femmes : c’est insupportable. Un homme moyen est bien plus fort qu’une femme moyenne, donc il n’y a aucune gloire à frapper quelqu’un de plus faible que soi. Bien souvent les femmes sont victimes d’humanoïdes qui pensent être des hommes parce qu’ils tapent des femmes. Ce sont les mêmes qui massacrent des civils, vieillards, femmes, enfants pendant les guerres. C’est eux qu’il faudrait massacrer. Les rares fois où ils sont jugés au tribunal, on devrait les condamner à être tabassés par des boxeurs poids lourds très méchants. Là, ils verraient ce que c’est d’être humilié dans leur chair…

Mesdames, je verse une larme symbolique pour celles qui endurent ces minables…
Je souhaite l’harmonie entre les hommes et les femmes.

Bonne journée et même bonne année de la femme (tous les 8 mars). Comme ça c'est fait. Je n'y reviendrai pas.

Pour être un bon blogueur communiquant



Pour être un bon blogueur, il faut être joyeux, enjoué, superficiel, voire blagueur, n'avoir aucun soucis, être en très bonne santé, avoir une situation sentimentale et financière satisfaisante...

Si on n'a pas tout ça, il faut à minima, savoir dissimuler et sembler joyeux, enjoué, superficiel, voire blagueur et paraitre n'avoir aucun soucis...

Le blog, c'est comme pour la bonne société, la pauvreté et la détresse font peur, la maladie dérange et les soucis ennuient...

A la limite on tolère un vague à l'âme s'il est générateur de romantisme, mais sans plus.

C'est donc bien du " bien paraitre" et du "bien penser", dont il s'agit, ici comme ailleurs...

Alors, que dire, que faire d'authentique ?
Faut-il garder ses peines et ses pensées pour soi, quand elles ne sont pas conformes à la pensée unique et aux manières convenues de la société ?

Faut-il paraître et ne savoir plus être ? Faut-il se ranger dans la conformité que l’humain impose aux autres ?
Faut-il se dépouiller de son libre arbitre ? Faut-il adhérer à la futilité, toujours et en tous lieux ?

Germes de révolte

Écrit le 4 mars 2009

L’affaire Pérol, l’affaire Kouchner, sont des icebergs isolés, qui cachent une réalité plus inquiétante… La partie immergée et toute la banquise.

En fait, de tous temps, les pouvoirs qui se sont succédés ont mis des hommes à eux, dans les postes clés et dans les bonnes places bien entendu… Sous la droite comme sous la gauche…
Les hautes institutions de l’état, hauts fonctionnaires, élus, sont un vivier de candidats au « pantouflage », dans les fonctions dirigeantes des plus grosses entreprises.
Le pouvoir en place passe le plus clair de son temps à installer le personnel de son sérail dans des postes de dirigeants avec salaires gigantesques, bonus astronomiques, parachutes dorés. Ce qui lui permet de se mettre à l’abri des aléas de la politique et de s’enrichir en même temps.
Parfois, certains font des perruques (un petit rapport payé hors de prix, une intervention diplomatique pour un contrat de vente d’arme), Ces petits boulots sont les CDD des politiciens non encore placés dans des postes mirobolants. Ils n’ont aucun besoin de justifier d’aucun talent managérial pour arriver à ces fins. Seuls leur charisme, leur faculté à mentir, leur jeu de comédien et leur accointances suffisent à constituer leur C.V.
On place même des hommes de l’autre bord. Qui sait ? Le vent tourne…

Le pouvoir constitue donc une gigantesque agence de placement pour riches (une oligarchie)… Comment s’étonner dès lors, que la tendance soit à créer des groupes géants (qui génèreront plus d’émoluments), à favoriser toutes opérations tendant à produire des situations financières mirifiques, fût-ce au prix d’une bulle spéculative qui éclate ? Peut-on encore douter que les licenciements aux vertus rassurantes pour la bourse, soient applaudis par ces candidats à la richesse, même si devant les médias ils affichent des visages mélodramatiques convenus ? Peut-on croire qu’ils répartiront mieux la richesse (la part des salaires dans la valeur ajoutée est passée de 74% à 65% entre 1980 et 1985 sous le règne de Mitterrand), au risque de lâcher une partie du gâteau ?

La nomenklatura des dirigeants et des élus, de droite comme de gauche, dont l’intérêt financier personnel est totalement au centre de sa préoccupation, ne peut décemment pas défendre les droits du peuple, même s’ils le disent !

Sarkozy avait promis une transparence, une moindre ingérence… Et le voilà qui place ses amis, sans vergogne, en balayant toute protestation d’un revers de main…
Tous les Français sauront ce que c’est que faire de la politique : Mentir et s’en mettre pleins les poches. Qu’ils n’attendent pas de progrès civilisateurs, ils n’en auront pas avec ces gens-là !
Les veaux pourraient-ils attendre une grâce de leur boucher, même s’ils l’avaient choisi auparavant ?

Le libéralisme un bienfait ? Oui pour ceux qui nous gouvernent, mais c’est une barbarie pour le peuple de France…

Écrit le 10 juillet 2015 : Depuis, tant d'autres "affaires", se sont succédées, à un rythme effréné et le peuple stoïque ou bien résigné attend, encore et encore... Tandis qu'il est pressuré de plus en plus et qu'il voit ces privilégiés se goinfrer...
        

Sondage : Français cons ou sondages truqués ?



«  Approuvez-vous de limiter à deux mandats maximum, pour un président de la république ? »



- Hum.... S'il pouvait se casser au bout d'un an, on serait sauvés...

Voyons voir... "Réponse par oui ou non"...

Bon, ben je vais mettre oui, deux mandats, c'est largement assez...

Dommage, qu'ils ne donnent pas le choix d'un seul mandat... ou même d'un mandat plus court...



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Une semaine après...



"Résultat du sondage : 92 % des Français veulent garder Sarko pendant 10 ans"


- Ben, merde alors ! Il n'y a que moi, qui ne veuille plus de lui !!!  Pourtant j'aurais cru que....

Les faux semblants idiots

Écrit le 6 août 2015


Amitié sans frontière ! Dans « ami » il y a l’idée de le lui mettre profondément au passé composé et dans frontière, il y a casse-toi dans ton pays, pouffiasse !



Connerie sans frontière ! Dans « con » il y a l’idée de déviation de l’intelligence vers l’égocentrisme et dans « ferme ta gueule, il n’y a que moi qui ait le droit de parler », l’idée de supériorité.



Hypocrisie sans frontière ! Dans « crisie », il y a l’idée de crise et dans « flatteur », l’idée de lèche-cul.



Flatteur sans frontière ! Dans « flatteur », il y a l’idée de se faire bien voir et dans « visqueux », l’idée que c'est dégoûtant.



Merdier sans frontière ! Dans « merdier », il y a l’idée de merde et dans « défécation », l’idée que ça pue.



Dans intelligence sans frontière, il y aurait intellect, qui suggèrerait la réflexion et dans parler il y aurait l'idée de l'expression d'une pensée aboutie et sincère...



Mais, c'est une autre histoire... Ça fait du bien de dire des conneries... ça détend...
  

Le vrai visage de Bayrou



C'était un matin de 2009, François Biroute était l’invité de France 2, où il ne s’est pas privé de fustiger l’état Sarkozyen, sous le prétexte cette fois de la fusion de la caisse d’épargne avec les banques populaires. Il critiqua, force détails à l’appui, l’ingérence de l’état dans cette opération, (mise en place d’un proche du pouvoir néomonarchique à la tête du nouveau groupe, etc…), prônant la liberté pour ces établissements de se débrouiller seuls…

François Beyrouth n’est pas à une contradiction près, puisqu’il souhaitait il y a peu un interventionnisme de l’état plus puissant dans la crise…

Gageons, que son ultralibéralisme (de la famille de pensée Madeliniste), est enclin à l’aide publique accordée aux capitalistes sans contrepartie, mais que par opposition forcenée au pouvoir en place, il est prêt à dire tout et son contraire, du moment qu’il puisse critiquer…
Nous aurions été infiniment plus intéressés, par l’exposé de ce qui n’est pas bon dans le plan de fusions des deux organismes bancaires… Y aura-t-il perte du statut coopératif des banques populaires ? Quels inconvénients pour les intérêts des citoyens-clients de ces banques ? Autant de questions sans réponses…

Il est donc à conclure une nouvelle fois, que les intentions néolibérales du Modem sont identiques à celles du pouvoir en place…

La suite des aventures de François Biloute, (celui qui voulait être Vizir à la place du Vizir), au prochain épisode…

La crise, la crise, la crise…



Petit retour en arrière.

Écrit le 25 février 2009 : Ce pourrait être un nouveau sketch de Guy Bedos, mais force est de constater, que cette crise va peut être enfin pencher du bon coté. J’ai bien dit peut-être…

La crise, la crise, la crise... Oui, mais de confiance ! Que celui qui nous baise, baisse dans les sondages, n’est que pure équité, tant les « sondés » en ont plein le cul ! L’égo du monarque absolu va en prendre un coup, mais ne l’empêchera pas de continuer ses conneries…

La crise Antillaise alimente le mécontentement général. Il est cynique de dire que c’est tant mieux, mais je le dis !…

On voit à cette occasion, que le pouvoir Sarkozyen, laisse les îliens se débrouiller entre eux et croit rallier l’assentiment des salariés, en renvoyant la balle des augmentations aux patrons Antillais, alors que son pouvoir régalien se devrait d’intervenir dans l’iniquité des profiteurs qui pillent et s’accaparent les richesses des DOM-TOM.

La solution n’est pas une augmentation des salaires, qui ne produira que l’inflation des prix, annulant lesdites augmentations, la non-compétitivité et la faillite des petites entreprises. Le problème est l’accaparation par quelques familles privilégiées, sans concurrence, de bénéfices colossaux, sur le dos des Antillais. La solution est dans la mise sous tutelle de cette poignée d’affameurs qui sucent le sang de nos compatriotes d’outre-mer. Le système de société Antillais s’apparente à un véritable système colonial, le fouet en moins…
Esclavage par la misère…

Cette « vitrine » du libéralisme Antillais, assez compréhensible pour nous, métropolitains, devrait, je pense, faire réfléchir… En effet, bien des similitudes avec ce que nous vivons, vont se faire jour dans notre perception…
Des bonus à gogo, des dividendes à profusion, des profits accaparés, des abus de marge pour position monopolistique… Tous ces fléaux sont communs aux îliens et aux métropolitains…
Laisser pourrir la situation, constitue une véritable mise en évidence de la doctrine Sarkozyenne : Toujours plus de richesse aux riches…
Le dégât collatéral pour notre Roi fou est la perception de plus en plus consciente de la réalité par nos concitoyens…

Continue, Sarko… Tu creuses ta tombe et la crise n'y est vraiment pour rien…

....................

Alors revenons au présent.

2015 : Nous avons depuis changé de Monarque... François le débonnaire, n'a pas su réparer les conneries de son prédécesseur. La crise, la crise, la crise, continue allègrement. Le trou abyssal de nos comptes, la masse énorme de chômage qui s'accroissent inexorablement, font tomber le culbuto de l'Elysée dans les profondeurs inexplorées des sondages...

L'agitation frénétique de Nicolas 1er le hutin et sa démagogie à deux balles, l'indécision chronique de François le débonnaire et sa méthode Coué, n'ont pas jusqu'à présent favorisé la reprise et surtout la confiance.
Il va probablement y avoir une embellie, car quand tout le monde autour de la France mange du gâteau, forcément il tombe des miettes dont nous profiterons nécessairement.

Mais au-delà, y a-t-il un pilote dans l'avion ? Y a-t-il quelqu'un qui comprenne le problème fondamental de notre pays ? On se fout de se qui se passe dans les autres pays de l'EU. Ils ont tous un vécu, une organisation, des structures sociales et mentales très différentes des nôtres. Si l'Europe était un pays, nous n'aurions pas ce problème. Mais ce n'est absolument pas le cas. Rien n'est harmonisé. Pourquoi respecter des règles qui vont très bien à certains mais qui ne nous conviennent pas du tout ?

Redémarrer sérieusement l'activité, c'est ce que n'ont pas su faire, ni le Nabot, ni le Flamby...

La critique qui détruit

Écrit le 18 02 2009

Il est tellement facile d’écrire des critiques dévastatrices, que l’exercice n’est pas méritoire… Il est autrement plus complexe, d’équilibrer les arguments pour ou contre quelque chose ou quelqu’un, plutôt que de savoir tremper sa plume dans du vitriol. Alors pourquoi, certains éprouvent-ils l’envie maladive de dire ou écrire du mal ?

Simplement parce qu’est inscrit dans le caractère de chacun, cette faculté plus ou moins grande de nuire aux autres…

Nous l’avons vécu pendant l’occupation… Mais il faut bien se dire que de nos jours, il y a autour de nous, la même proportion de nuisibles, prêts à calomnier, à salir, à démolir…

Je considère cette arme épistolaire ou journalistique, comme une défense, à n’utiliser qu’en contre-attaque à d’ambitieux prédateurs, pour le moins… imprudents…

Mais quand l’agresseur montre avec impudeur et surtout bêtise, que son absence d’esprit n’a d’égal que la faiblesse de son vocabulaire, décochons notre plume et visons son point faible : sa cervelle…
   

Stratégie et objectifs de l'état Sarkozyen



Ecrit en Février 2009 :

Le gouvernement actuel fait des cadeaux aux riches (bouclier fiscal) et aux entreprises.
Ce faisant l’état vide ses caisses. Il peut ainsi dire que nous dépensons trop. Cela lui  fournit un mobile pour compresser les dépenses…
Il réduit sur les budgets sociaux, publics… Faisant retomber sur chacun le poids financier des services et aides non rendues. Ce qui est une charge faramineuse pour les moins riches d’entre nous.

Les conséquences induites de ces actions, sont des suppressions de postes, des inactifs en plus, un ralentissement de la consommation et une baisse des taxes et impôts collectés.

Cette spirale de baisse des revenus de l’état conduira ledit gouvernement à poursuivre ses réductions de dépenses…

Cette politique, qui vise à supprimer le principe redistributeur de notre république ne peut que ralentir l’économie et la réduire à sa plus simple expression…

Économiser, serait de veiller au non-gaspillage des fonds de l’état, par une meilleure répartition.
Relancer l’économie, serait de créer des emplois réels.  Ce qui est tout à fait possible compte tenu de tous les services réclamés et actuellement non rendus par la collectivité nationale…
Cela suppose un investissement de l’état dans la création directe d’emploi. Les emplois créent la consommation, l’activité, et les rentrées d’impôts. C’est un investissement à court terme.

Mais non ! Ce gouvernement veut aider les entreprises. A quoi sert d’investir ou de créer des emplois pour une entreprise, si elle n’a pas les consommateurs en suffisance ? Une entreprise, raisonne sur des durées de plus en plus courtes, ses profits doivent être immédiats… L’argent ira donc aux actionnaires et dirigeants…

Cette politique revient à prendre aux pauvres pour donner aux riches…

C’est une suppression du principe re-distributif de notre société, le seul système qui ait sorti les pays aujourd’hui développés de la misère…

Nous assistons à un retour au moyen-âge. Avec son cortège de misère, de pandémies, de famine…

L’alibi de la compétition mondiale, doit-il faire copier par la France, le modèle du Bangladesh sous prétexte de rentabilité ? Est-ce le modèle que l’on veut pour les Français ?

NDLA : Qui peut raisonnablement vouloir en 2015, le retour au pouvoir d'un tel individu ?