vendredi 10 juillet 2015

Où va la société : Et l’inspiration, dans tout ça ?



L’inspiration, elle va, elle vient. Il faut la saisir au vol, faute de n’avoir rien à exprimer…
Cet article, est le premier, que j’écris sans aucune inspiration, sans ce souffle d’air chaud, qui m’emporte, tel un courant ascendant, dans les nuages de la pensée…
Mon article sera ce qu’il sera…

Le monde est dur, car le monde est mauvais. Le monde est mauvais, parce qu’on le laisse être ce qu’il a envie d’être.
Les lois ne sont faites pour être respectées, que par ceux à qui leur non-respect coûterait trop cher…
L’absence de rigueur morale de l’état, est une invite, à peine voilée, à la liberté de transgresser dans l’impunité…
Les « réformes » entreprises, sont des économies qui profiteront aux plus nantis et écraseront davantage les classes les moins riches. En « favorisant » cette déstructuration du système re-distributif Français, il y a une volonté d’agrandir la « fracture sociale », d’accroitre les inégalités, de fonder un enrichissement de classe, sans création de richesse, sur le seul transfert de l’argent des pauvre vers le porte-monnaie des riches…

Tout le monde sait que ce dessein est mauvais. Seul, le partage des ressources et des richesses permet la pérennisation du système capitaliste…
Si la machine à créer des produits, n’a plus de client, elle n’a plus aucune raison d’exister…

J’ai souvent cité Colbert, ainsi que Henri IV, deux exemples historiques de prospérité créée par la répartition moins inique du profit… Les caisses des Rois de France étaient pleines et le peuple avait à manger dans un royaume en paix… Supprimer des emplois n’a jamais créé de richesses…
Chaque période de misère a vidé à terme, les caisses des Seigneurs et de la France…
Pourrait-on enseigner l’histoire de France et la morale à ces technocrates, qui pensent tout savoir ?...

Lorsque les dirigeants du monde comprendront que l’accaparation de tout par un petit nombre, mène le monde à l’autodestruction, le monde changera…

Mais, malgré les diverses déclarations lénifiantes, aucune volonté de comprendre réellement la problématique, ni forcément encore moins de tenter de prendre des décisions, ne se manifeste de par le monde…

Et notre dirigeant n’échappe pas à la règle…

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