Ecrit le 30 août 2008
Améliorer le monde ? Pourquoi faire ?
On ne peut motiver les gens qui n'ont aucune conscience.
Les grandes choses demandent de larges adhésions.
Nos politiciens n'améliorent la société que sous la pression de la rue et encore, parfois cèdent-ils à des exigences peu raisonnables, le reste du temps ils ne se préoccupent que de leurs intérêts personnels.
Comme le citoyen n'existe plus, désintégré par la pression politique et sociétale, il n'y a plus de moyen pour juguler l'action malfaisante du pouvoir.
Alors quoi faire ?
Que chacun se débrouille pour accommoder ses recettes à sa manière.
Adhérons à de vrais organisations du développement durable, participons à une AMAP, lorsque il y en a une pas trop loin, bricolons un four solaire, n'achetons plus de pesticide ni d'engrais chimiques...
Quant aux manifs ? Plus personne n'en a rien à foutre... Sauf à maugréer égoïstement des désagréments subis !
Si nous nous laissons ainsi manipuler, ne nous étonnons pas de la dérive totalitaire de la société, à laquelle nous collaborons par notre complicité passive...
Améliorer le monde ? Pourquoi faire ?
On ne peut motiver les gens qui n'ont aucune conscience.
Les grandes choses demandent de larges adhésions.
Nos politiciens n'améliorent la société que sous la pression de la rue et encore, parfois cèdent-ils à des exigences peu raisonnables, le reste du temps ils ne se préoccupent que de leurs intérêts personnels.
Comme le citoyen n'existe plus, désintégré par la pression politique et sociétale, il n'y a plus de moyen pour juguler l'action malfaisante du pouvoir.
Alors quoi faire ?
Que chacun se débrouille pour accommoder ses recettes à sa manière.
Adhérons à de vrais organisations du développement durable, participons à une AMAP, lorsque il y en a une pas trop loin, bricolons un four solaire, n'achetons plus de pesticide ni d'engrais chimiques...
Quant aux manifs ? Plus personne n'en a rien à foutre... Sauf à maugréer égoïstement des désagréments subis !
Si nous nous laissons ainsi manipuler, ne nous étonnons pas de la dérive totalitaire de la société, à laquelle nous collaborons par notre complicité passive...
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