lundi 10 février 2014

Suisse : Pour une fois, nos hommes politiques révèlent leur vraie nature



La Suisse a voté pour le contrôle de l’immigration et le rétablissement de quotas.
La Suisse ne fait pas partie de l’U.E, mais avait passé des accords de libre passage du type Schengen. La démocratie directe vient de sonner le glas des dictats Européens en la matière…

Il est intéressant de noter que lorsque nous nous plaignons du même genre de problème chez nous (immigration incontrôlée), tous nos hommes politiques, la main sur le cœur et une auréole sur la tête, nous déclarent « Ce n’est pas nous, on ne peut rien faire, c’est l’Europe », prétendant ainsi qu’ils voudraient bien faire ce que les Français demandent, mais qu’ils ne peuvent pas…
Mais sur ce même sujet concernant la Suisse, les politiciens Français invectivent cette décision démocratique et cette suppression de la libre circulation des personnes. Ils aboient haineusement contre et jettent l'anathème sur nos voisins ! Tiens, tiens, n’est-ce pas contradictoire ? Ne nous avaient-ils pas dit regretter l'impossibilité de faire la même chose en France ?

N’est-ce pas en cet instant que nos politiciens révèlent leurs pensées profondes ? Ils ont voulu Schengen, ils veulent Schengen et ils voudront Schengen, même s’ils disent le contraire !
Jamais ils ne feront rien pour maîtriser les flux migratoires, parce qu’ils ne veulent rien faire, parce que ça leur va bien, parce qu’ils ont des administrés dociles et corvéables à merci, divisés, menacés dans leur emploi, leur droit social, leur liberté et leur fraternité ! Nous les prenons en flagrant délit. Ils nous livrent ce qu’ils ont dans la tête. Voilà le complot qu’ils hourdissent dans leurs loges maçonniques depuis tant d’années : Affaiblir la puissance des peuples qu’ils gouvernent. (Ensuite ils sont surpris de l'affaissement de la consommation, mais bon, à part l'ENA, ils n'ont pas fait d'études).

Les Suisses ont raison : Ils ont le droit de choisir, eux !
Par contre si nous avions le droit de choisir (et nous pourrions l’avoir si on nous chantait pas la messe en Moldo-Valaque), nous pourrions décider que les capitaux qui s’évaporent de France, par exemple, n’aient plus le droit d’aller se cacher en Suisse, ni partout ailleurs non plus !

Quand va-t-on bouter ces gouvernants comploteurs hors de leurs alcôves et déchirer le traité de Schengen ?

Quand arrêterons-nous la fuite des capitaux ? Quand stopperons-nous l'invasion communautariste qui nous détruit ?

A quand une démocratie directe chez nous ?

La France est morte ! Vive la Suisse !

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