lundi 20 avril 2015

Pris entre mensonges et endoctrinements




Le monde est vraiment noir. Toutes les formes de tromperies et de bourrage de crâne vont si loin dans leurs tentatives de dominer le monde, qu’il y a de quoi désespérer quant à l’avenir de l’humanité.

Enarques, Francs-maçons, lobbies, tous conditionnent l’opinion par du rabâchage accompagné de diabolisation.

Chaque adhérent à un parti s’enferme dans la logorrhée insane dont il assimile la bouillie idéologique venimeuse.

Les croyants à des religions sont sous l’emprise de dogmes non remis en question, acceptés tels quels sous peine d’exclusion et de courroux céleste.

Les athées, loin de se distinguer des autres, s’enferment dans un schéma mental d’exclusion et lancent des anathèmes sur ceux qui ne font pas comme eux.

Les plus infâmes, sont les négationnistes, qui pour faire passer leurs endoctrinements et leurs pseudo démonstrations, en viennent à travestir le passé.

Tous ces comportements ont des relents sectaires, puisqu’ils tendent à convaincre et dominer autrui par une sorte de lavage de cerveau, avec des arguments fallacieux et à chaque fois en employant un pouvoir de persuasion qui va de la diabolisation, à la menace d’exclusion ou autres moyens de pression peu amènes.

L’humain doit-il nécessairement être aussi pervers pour tenter d’influencer son prochain ?

Chacun se dit, je ne suis pas concerné ‘c’est pas moi, c’est l’autre’…

Mais s’il savait cet être humain lambda, qu’il est pris entre ceux qui lui mentent, qui le manipulent et ceux à qui il ment, qu’il manipule ! Nous sommes tous des relais entre les dominateurs et les autres, souvent à notre insu.

Le phénomène sectaire est partout. C’est le processus que la société humaine a adapté de son atavisme animal qui le pousse toujours à dominer ou à être dominé.
Clanisme, ‘tyrannisme’, puissance, pouvoir, nous n’avons guère changé, car nous sommes toujours des animaux grégaires dominés par des pulsions instinctives, qui font de nous des êtres dominés par désir de sécurité, ou dominateurs par envie de puissance.

En devenant espèce humaine, nous avons seulement ajouté à la violence physique animale dont nous étions doté initialement, des moyens d’influences dont les capacités plus importantes de notre cerveau, nous permettent de posséder la perversité nécessaire à leur mise en œuvre…

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