samedi 20 février 2021

Antiislamophobe et islamiste radicale, elle passe entre les mailles du filet

 Je reçois un message sur ma messagerie :

objet re: Première très bonne nouvelle en 2021 : Si ça pouvait être un début . . . pour tout le reste ! ! !

 ENFIN une bonne nouvelle.
> > > > Rappelez-vous cette magnifique œuvre littéraire, cet ouvrage qui s'intitulait "Nique la France" ?
> > > > Et dont l'auteure était cette admirable Houria BOUTELDJA,
> > > > Eh bien cette poétesse vient d'être mise en examen...
> > > > Si, si... c'est une "Première", pour "racisme anti-français" !   
> > > > Le juge d'instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c'est-à-dire celui de son lieu de domicile.­­­­
> > > > Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.
> > > >
> > > > Par ailleurs, la procédure contre le livre «Nique la France» édité par l'association de Madame Bouteldja dans la même
> > > > veine de haine anti française est en cours.

> > > >

Source : AFP
>

C'est la première fois à notre connaissance qu'une plainte pour racisme anti français est portée devant la Justice et déclarée recevable par un magistrat, dont nous saluons ici la décision, car elle a valeur de message.

Soyons attentifs aux jugements et arrêts qui seront prononcés par les tribunaux dans cette affaire : ils feront jurisprudence.
> > > >
> > > > Les responsables de l'Institut du Monde Arabe, à Paris, qui emploient Houria Bouteldja, apprécieront sans doute médiocrement ce procès impliquant l'une de leurs employées, qui les place dans une situation assez inconfortable.
> > > > Et qui est le président de l'Institut du Monde Arabe : Jack Lang
>

FAITES PASSER SVP

MERCI LES BONNES NOUVELLES SONT SI RARES . . .

 

 Sauf que la nouvelle est un peu périmée et incomplète... Je réponds :

Bouteldja n'est que l'inspiratrice de "Nique la France", dont l'auteur est Saïd Bouamama. Bouteldja était accusée de racisme anti-Français de souche...

Cela se passait en 2011 / 2012, cette histoire... Avant les débuts des attentats islamistes :

https://www.bing.com/search?q=Houria+BOUTELDJA+mise+en+examen&qs=n&form=QBRE&sp=-1&ghc=1&pq=houria+bouteldja+mise+en+examen&sc=1-31&sk=&cvid=95690CCAAC3E4ACFB49D54FAA6667ACF

En complément à ce qui est écrit sur le mail, elle a été relaxée, ce qui est beaucoup moins "réjouissant".

Extrait de Wikipedia :

Biographie

Née à Constantine le 5 janvier 1973, Houria Bouteldja émigre avec ses parents vers la France alors qu'elle est encore enfant[réf. nécessaire]. Elle suit des études de langues étrangères appliquées en anglais et arabe à Lyon. À partir de 2001, elle est salariée de l'Institut du monde arabe1.

Elle est l'un des auteurs de l'appel2 (janvier 2005) qui donne naissance au mouvement des Indigènes de la République, dont elle devient la porte-parole. Les Indigènes de la République se présentent comme un mouvement de dénonciation du passé colonial de la France, de lutte contre les discriminations dont sont victimes les « descendants des populations colonisées  » et, plus largement, contre l'idéologie raciste et colonialiste qui, selon eux, sous-tendrait les politiques sociales actuelles de l'État français3.

Elle démissionne de son poste de porte-parole des Indigènes de la République en octobre 20204.

Prix anti-islamophobie

En 2014, elle remporte le prix du « combat contre l'islamophobie » de la Islamic Human Rights Commission (IHRC), une organisation à but non lucratif militant contre les violations des droits des musulmans »5.

Cette association est qualifiée par Caroline Fourest de « tête de pont du lobby khomeiniste à Londres 6», et, selon elle, « la Islamic Human Rights Commission ne poursuit que un objectif : intimider les adversaires de l'Iran et de l'islam intégriste 6».

Lors de la nomination en juin 2007 de Fadela Amara, présidente de Ni putes ni soumises, au secrétariat d'État à la politique de la ville, Houria Bouteldja déclare qu'il s'agit d'une « promotion à l'islamophobie et au racisme »7.

En novembre 2017, l'université de Limoges invite Houria Bouteldja à l'occasion d'un séminaire d’études décoloniales, ce qui provoque une polémique, du fait de ses prises de position controversées. Dans un premier temps, le président de l'université, Alain Célérier, assume cette sollicitation, avant de finalement annuler sa venue, évoquant un « risque de trouble à l'ordre public », la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal appelant pour sa part les universités « à la vigilance »

Sur Wikipedia :

Houria Bouteldja affirme qu'elle parlait, sans ambiguïté, de « souchiens »23, un néologisme grammaticalement correct construit à partir de l'expression « Français de souche », et non de « sous-chiens ». À la suite des polémiques naissantes et grandissantes, elle clarifie ce point à plusieurs reprises, dans un article dédié intitulé : « Petite leçon de français d'une sous-sous-chienne aux souchiens malentendants »24.

L'hebdomadaire Marianne fut le premier média à faire part de la polémique, dans un article intitulé « Une petite leçon de racisme », paru le 28 juin 2007. L'orthographe que met en avant l'auteur de l'article est « sous-chiens » : le terme est pour lui une insulte déguisée, masquée par un jeu volontaire sur l'homophonie. L'intéressée réfute les accusations en se désignant elle-même comme une « sous-sous-chienne » et affirme avoir fait usage du néologisme « souchiens » pour désigner les « Français de souche », les « Blancs »24[source insuffisante].

Quand, près d'un an plus tard, le ministre Brice Hortefeux revient sur l'idée qu'elle « traite les Français de sous-chiens », assurant qu'il ne laisserait pas prononcer de tels mots sans réagir25, un communiqué des Indigènes de la République réaffirme qu'il s'agit d'accusations mensongères26[source insuffisante].

L'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne (Agrif), proche de l'extrême droite, lui intente un procès devant le tribunal de Toulouse, ce qui cause sa mise en examen le 10 mai 2010 pour injure raciale27[source insuffisante] à la suite de son emploi du terme « souchien ».

Le 25 janvier 2012, l'Agrif et Bernard Antony perdent leur procès, et Houria Bouteldja est relaxée28[source insuffisante]. Le tribunal correctionnel de Toulouse motive ainsi son jugement : l'expression « Français de souche », utilisée « dans les discours officiels roboratifs à l'attention des Français installés à l'étranger, colons ou expatriés, et plus particulièrement à ceux d'Algérie », a pris « son essor dans les années 1980 sur un mode néo-raciste avec la politisation de la question de l'immigration et des enfants de l'immigration que cet artifice de langage tend à matérialiser en race définie en creux, avec en toile de fond cette idée de la disparition de la grande race ou de la revendication d'un type supérieur d'humanité. »

Le tribunal rappelle cependant que « cette notion de français de souche qui va susciter en miroir celle de souchien a des résonances de pertinence affective et respectable (« la Nation, c'est la terre et les morts », disait Barrès tandis que Zola parlait de ce Français de souche né en France de parents français) ».

La partie civile et le parquet ont fait appel29. En effet, pour l'avocat général de la Cour d'appel, le terme « souchien » constitue une injure à caractère raciste30.

Houria Bouteldja a été relaxée par la cour d'appel de Toulouse le 19 novembre 201231,32, puis le pourvoi en cassation de l'Agrif a été rejeté le

Depuis elle est à l'abri et protégée de toutes poursuites (même quand elle accuse les Français d'islamophobie)  en 2021 :

https://www.lepoint.fr/debats/l-invraisemblable-petition-de-soutien-a-houria-bouteldja-22-01-2021-2410717_2.php

Amicalement

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