mardi 17 novembre 2020

Mémoires et radotages (314) – Les Français à l’épreuve de l’ « antiracisme »

 

Écrit le 17 novembre 2010

Je disais qu’avec les décisions complètement absurdes de ce gouvernement, il lui sera difficile d’obtenir une cohésion nationale sur d’autres sujets. Et pourtant, Macron aurait bien besoin d’une union nationale, sur plusieurs sujets :

-La souveraineté nationale,

-la lutte contre la conquête islamiste intérieure,

-l’agression de l’internationale islamiste extérieure,

-et la sécurité (sûreté) des citoyens y compris de nos forces de l’ordre, au quotidien…

Ces sujets méritent un développement important que je ne ferai pas dans cet écrit.

Il y a cependant des évolutions politiques inquiétantes qui actuellement sapent notre pays dans sa profondeur et le rendent inopérant et surtout passif, face à ces sujets précédemment évoqués ! Il s’agit d’une dérive tiers-mondiste qui ne porte plus sur la politique, mais qui vient à discriminer la race.

Cette déviance nous vient comme toujours des états unis, pays de la discrimination et du communautarisme et prend racine fort mal à propos, dans notre pays qui est laïc et sans discrimination raciale.

A la suite de l’effondrement de la gauche classique, la social-démocratie et sa lutte des classes, se sont vues remplacer par le combat des races, des genres et des identités…

Les minorités ont ainsi remplacé la classe ouvrière…

Nous sommes maintenant en but à des théories féministes, antiracistes et décoloniales. Une sorte de ressentiment est né parmi des peuples qui vivent en France et qui sont nourris de haine par un prosélytisme malintentionné, envers les autochtones de notre pays . (Je précise que cette tendance s'étend à toute la partie de l'occident qui est minée par une immigration massive). C’est ainsi que la France est tenue pour responsable de tous les malheurs de ces peuples inassimilables parce que trop nombreux et trop regroupés… De Gaulle disait s’agissant d’immigration de civilisations très différentes de la nôtre : « Il est possible d’intégrer quelques individus, voire quelques familles, mais jamais tout un peuple ».

C’est ainsi que le Français de souche devient l’accusé, et comme il est majoritairement blanc, c’est le Français blanc qui devient le responsable des mécontentements d’un certain type de population immigrée. Ceci dit l’homme blanc Français se porte souvent volontaire pour être accusé de tous les maux de la terre. Il n’est qu’à voir Macron, au début de son mandat, lorsqu’il battait sa coulpe en notre nom en nous accusant de génocide. Ces blancs prêts au martyr sont des progressistes qui croient bon de céder à cette mode de l’auto flagellation…

Mais ce genre d’aplatissement ne dégonfle pas la vindicte immigrée qui au contraire, se rengorge davantage en se disant que ses accusations étaient fondées…

Ainsi, nous incarnons par notre laisser faire et laisser dire, le summum de l’infamie. Nous serions les barbares exclusifs et universels dont il faudrait se débarrasser, sur le seul critère de notre peau blanche…

L’homme blanc, dans le discours indigéniste, antiraciste et même néo-féministe est la cible unique qui permet la cohésion de ces minorités. Or, haïr le blanc, ce n’est plus une lutte des classes, mais c’est bel et bien du racisme… Ainsi, l’antiracisme est bel et bien du racisme à l’état pur et cela nous renvoie à l’époque des années trente où les persécutions racistes étaient perpétrées par les nazis… Comme le dit Pascal Bruckner « L’anti-racisme est un racisme à l’envers » et « La seule chose qui fédère toutes ces communautés est l’idée que le blanc est responsable de tout ».

Les antifas ont les mêmes préjugés que ceux des années trente, dont la haine des juifs rebaptisée « antisionisme ». Tout ce sur quoi ils sont en désaccord, (une autre religion que la leur, des traditions folkloriques françaises, des habitudes culinaires), est systématiquement qualifié de fasciste !

Nous sommes donc à la merci de gens qui viennent s’installer chez nous pour nous expliquer que nous sommes des criminels et que nous devons expier jusqu’à la fin des temps.

Ce n‘est certes pas en prêtant le flan ni en entrant dans le jeu de ces minorités, comme l’a fait Macron, que nous rétablirons la réalité des choses, puisque c’est notre faiblesse à répondre qui nous cantonne dans le rôle de bouc émissaire. C’est en réaffirmant le rôle de notre république, en assurant l’ordre et la sécurité, au besoin par la force, que les indigénistes réapprendront ce que sont la liberté et l’égalité, dans notre pays.

Actuellement nous punissons en faisant des régimes de faveur aux populations qui nous crachent leur venin. Ne faisons plus de laxisme ciblé, cela nous montre faibles et soumis. Il ne faut plus rien laisser faire de criminel et il faut punir sans exception d’origine.

  

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