jeudi 16 janvier 2020

Mémoires et radotages (259) – Chantons n’importe quoi, mais chantons ! (1)


Écrit le 11 janvier 2020

Je ne me souviens pas des chansons, mais parfois quand je suis occupé, mais non préoccupé, des airs reviennent et parfois les paroles avec. Et alors, je fredonne ou je chante… Les gens me regardent… Je les emmerde à pied, à cheval et en voiture…

Il était un p'tit homme
Qui s'appelait Guilleri, carabi
Il s'en fut à la chasse
À la chasse aux perdrix, carabi
 
Titi carabi, toto carabo,
Compère guilleri.
Te lairas-tu, te lairas-tu,
Te lairas-tu mouri?

Il s'en fut à la chasse
À la chasse aux perdrix, carabi
Il monta sur un arbre
Pour voir ses chiens couri, carabi...

Après en général je ne m’en souviens plus…

Il y a quelques jours, m’est revenue, une chanson que chantait Papa (Il parait que Bouvil l’a copié, c’est un scandale)…

Il était une fois, quoi, quoi, quoi ?
Une poupée de velours
Qui devenait folle d'amour
Pour une p'tit soldat d' bois,
Qui ma foi
Refaisait avec chic
Le mêm' geste automatique
Il tenait une trompette
Mais il ne jouait jamais rien ;
Et constamment la pauvrette
Murmurait, le croyant musicien :

Oh ! dis, chéri, Oh ! joue moi-z-en
D'la trompette,
D'la trompette
Comme ce doit être amusant
Joue moi-z-en, Oh ! dis joue moi-z-en
Il s'excusait en lui disant
D'un air bête,
Je l' regrette
Mais j'n'en joue pas j' vais t' dir' pourquoi
Je suis un trompette en bois.

Je m’arrête donc là à chaque fois… Il est rare que je me souvienne de tous les couplets.

L’autre jour me revint une chanson qu’on criait à tue-tête dans la cour de récréation de primaire à Nice :

Calant de Vilafranca
Per mi crompà ’n capèu,
Mi sièu troumpà de pouòrta
Sièu entrat au bourdèu.

La femma dòu bourdèu
M’a dich moun Dio qu’es bèu
M’a fa calà li braia
Pi m’a suçà le zéo…

C’est vraiment à l’école primaire qu’on fait notre éducation !

Cela fait du bien, finalement, ça détend, si je puis dire
 

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