mardi 3 septembre 2019

Mémoires et radotages (228) – Villeurbanne - Terroriste ou pas ?


Écrit le 1er septembre 2019

Sur certains médias on peut lire :

« Attaque au couteau à Villeurbanne : un homme de 19 ans tué et neuf blessés, dont trois graves

L'un des auteurs de cette violente agression, survenue ce samedi 31 août 2019 dans la banlieue de Lyon (Rhône), a été interpellé par les forces de l'ordre. Un autre est en fuite ».


Ce que j’apprécie vraiment c’est la phrase de Blanquer : « Ce fait n’aurait pas du se produire »… Je crois que La Palisse n’est pas mort, il s’est réincarné dans Jean Michel Blanquer… Et c’est vraiment une déclaration d’irresponsabilité de la part d’un ministre de l’exécutif au pouvoir !

Ce qui n’aurait pas du se produire, c’est qu’un demandeur d’asile ait été admis en France et qu’il y perpétue un attentat. Bon, je sais, tous les réfugiés ne sont pas des assassins, mais ils ne sont pas tous de pauvres innocentes victimes d’un régime barbare qui les oppresse, comme semble le penser l'intelligentsia qui nous gouverne !
Alors, on nous fait comprendre que si c’est un fou, c’est beaucoup moins grave, que si c’était un terroriste. La punition n'est pas la même !!!
Tout est dans l’intention !

Et si le fou était quand même un terroriste… Parce qu’un fou qui agit à deux… Ce n’est plus un fou, mais plutôt soit, deux fous, ce qui est extrêmement rare, ou bien plutôt un duo de terroristes malfaisants qui ont concerté leur action et en l’occurrence une action qui ne peut être que terroriste…

Et si pour préserver sa misérable vie, le « fou » faisait le fou, afin d’avoir un traitement de faveur ?
J’espère que les services qui examineront celui qui est mis en simple garde à vue seront capables et surtout impartiaux, c'est-à-dire non influençables par un exécutif qui n’a pas envie d’avoir une nouvelle affaire de terrorisme sur le dos…

Attrapera-t-on le « deuxième homme » ? Existe-t-il ?

En tout cas, l’intervention des passants est assez admirable, car c’est assez rare dans notre beau pays de France, par les temps qui courent…

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