dimanche 17 mai 2015

Afghanistan, quand est-ce qu’on se barre ? (mardi 24 août 2010)



Écrit le mardi 24 août 2010



J’ai assez exprimé mon opinion à ce sujet et n’ai pas envie de réexpliquer ma vision du problème Afghan… 

Quoi qu’il en soit, il y a des voix qui commencent à s'élever pour dire « on ne gagnera jamais » (ce que j’ai toujours dit)…

De toute façon on partira ! Alors pourquoi pas maintenant ?

Avec tout l’argent que nous dépensons là-bas sur la base d’une politique militaire obsolète, nous pourrions fort bien financer une prévention anti-terroriste beaucoup plus efficace à l’échelon de l’environnement immédiat d’Al Qaïda, jusques aux portes de nos concitoyens…

Nous ne savons pas lutter efficacement, car nous refusons d’appliquer les techniques de guerre subversives enseignées dans nos armées modernes.
Tout se passe aujourd’hui, à l’échelon occidental, comme cela s’est produit avec l’état-major Français en 1940 : Nous sommes en retard d’une guerre ! Nous avons découvert la technique, mais nous la dédaignons, comme nous avions jadis dédaigné la stratégie de l’arme blindée…

Puisque nous sommes si cons, rentrons chez nous et protégeons dynamiquement nos ressortissants et nos peuples de la barbarie, car elle va se déchainer en représailles des humiliations subies de la part de ceux qu'ils considèrent comme des envahisseurs, des impérialistes… Les barbares se réformeront, eux-mêmes, avec le temps… Mais pour qu’ils y parviennent, il faut les laisser prendre leur destin en mains…

Alors, barrons-nous ! 

NDLA : Je supputais déjà les exagérations qui pourraient arriver en réaction à nos politiques d'occidentaux bornés... Allons-nous enfin être pragmatiques et fins stratèges et retrouver les bonnes vieilles méthodes d'infiltration et de renseignement, ainsi que les procédures d'éradications radicales nécessaires à traiter le djihadisme ?

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