mercredi 24 janvier 2024

Mémoires et radotages (519) – Amour, sexe, meute, inhumanité

 

Écrit le 23 janvier 2024

 

Écrire… Mais quoi ?... J’ai déjà tout écrit… Oh je sais, je n’ai pas écrit tout ce qui peut s’écrire, mais seulement ce que moi, je pouvais écrire !

Tout mais… pas tout en vérité… Il y a des choses que je pourrais écrire mais que je ne pourrais pas diffuser, parce que cela serait incorrect, méchant, voire monstrueux !

Il faudrait écrire les choses sans les décrire, écrire mes états d’âme superficiellement, crier ma rage, mon dégoût, sans mot et sans bruit, afin de ne pas être montré du doigt par cette société qui majoritairement ne m’a jamais admis en son sein, ou alors très « périphériquement ».

L’amour ! Quelle fumisterie… On y croit, on tombe dans ses pièges, dans ses sortilèges… Et pour finir, on retombe de haut… N’est-ce pas une idée complètement iréniste et sans aucune matérialité ?

Il y a principalement cinq hormones de l’amour

Ocytocine : Attachement ou bonheur

Sérotonine : Bonheur, stabilisatrice de l'humeur dans le temps

Testostérone : Libido

Œstrogènes : Activation par inhalation, du désir, de la femme vers l’homme

Dopamine : Désir et Plaisir immédiat

Phéromones : Substance inhalée excitant le sexe opposé, plutôt de l’homme vers la femme

Seules l’Ocytocine et la Sérotonine sont les hormones de l’amour platonique (Amitié, Amour filial, Amour parental, Amour fraternel)… Ce sont les hormones du véritable amour…

Les autres (en rouge), ne sont que des hormones ou fragrances excitantes du sexe , lequel est souvent bestial et sans aucun amour… Ce n'est que le désir et l’envie de recommencer la copulation sans attachement véritable, ce qu'on appelle l'instinct de reproduction… Et dire que l’humanité s’est construite sur cette confusion mentale…

Et la vie en groupe, en communauté, en « société »… Ah, quelle déception ! On peut être de vrais amis avec quelques très rares individus… mais dans un groupe il y a un phénomène d’aimantation, comme si Certains individus formaient un noyau autour d’un chef de meute et les autres suivent, la queue basse… De sorte que ceux que tu crois tes « amis » quand les autres ne sont pas là, se détachent et tombent dans l’orbite de la meute quand celle-ci est là ! Ce sont des amis « faute de mieux »… Et c’est pourquoi les vrais amis sont si rares !

J’ai souvent perçu ces phénomènes de meutes qui me font gerber… L’humain, si l’on peut l’appeler ainsi, même parmi les plus cultivés, les plus éduqués est un animal pas très différent des autres… J’arrête le sujet, sinon j’en viendrais aux insultes et aux dénonciations…

Je ne veux plus voir ceux pour qui je n’étais qu’un ectoplasme, ceux aux regards dédaigneux, aux non-regards… Sans moi, cela ne change pas leur monde… Mais moi sans eux, cela change mon monde qui n’est plus un monde d’exclusion mais un monde de simple solitude… Vivre en solitaire n’a rien à voir avec vivre en paria…

J’ai laissé par écrit, mes consignes : Prévenir untel ou untel, mais après mon enterrement… Comme ça je leur éviterai le cas de conscience hypocrite de venir ou non « Ah, ben, je l’ai su trop tard... Ouf ! »… Et moi, ça m’évitera de me retourner dans ma tombe à cause d’une présence incongrue… Mais ma famille lira-t-elle mes consignes ? Quand je leur dis qu’il y a telle chose à tel endroit, quelque temps après, ils ne s’en souviennent plus…

        

 

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