dimanche 30 septembre 2018

Ma chronique - Le « discours » de Napoléon Sarkozy le 12 Juillet 2010.


Toujours égal à lui-même, le Président Sarkozy, puisqu’il faut l’appeler par son nom, a livré une fois de plus un discours d’une habileté, d’un laisser paraître tels qu’il nous a habitué depuis sa campagne présidentielle…

Hélas, trois fois hélas, la magie ne prend plus. Sous l’habileté, on sait les silences, sous les « vérités » énoncées avec une honnêteté apparente, se cache le mensonge.

Pourquoi dis-je en préambule « le discours » ? Tout simplement parce que les questions étaient déjà sur internet depuis 2 jours et par conséquent elles étaient de connivence avec l’interviewer (Pujadas, cette fois ci, Pernaud et Ferrari la fois précédente).

Quelle comparaison peut-on faire entre celui qui se prétend Président et les vrais Présidents dont de Gaulle duquel il se prétend le successeur ?

Une conférence de presse, se fait avec plein de journalistes, sans connaître les questions. Ce n’était pas le cas.
Un vrai Président, aurait parlé de la France et des Français, de leurs attentes, de leurs angoisses et des solutions qu’il envisageait pour eux.
Mais le petit Napoléon a préféré parler de lui-même et essayé de faire pleurer dans les chaumières, tel l’avocat qu’il est lui-même, défendant son client, qui est toujours et encore lui-même, éternellement lui-même, comme si le destin des Français était résumé dans l’égotique discours de son Président de pacotille…
Si on l’écoute, la retraite ne change pas, « il » l’améliore, passant sous silence toutes les modifications déjà décidées et dont il prétend qu’elles seront concertées (C’est certainement selon son cher principe « J’écoute et je ne tiens pas compte », dogme qui à lui seul donne toute la dimension autocratique du personnage)…
Les impôts n’augmenteront pas non plus… Et comment va-ton boucher la dette publique à part en rognant sur les prestations concernant les plus pauvres ?

Entêté à poursuivre sa politique libérale, il ne tient effectivement aucun compte de ce que les Français ne veulent plus de cette attitude égoïste et accaparatrice…

Non, il n’y a rien de changé hier ! Nous sommes toujours dans un pays présidé par un incapable, qui s’accroche à ce qu’il a durement acquis : sa place ! Il n’admettra jamais au fond de lui-même pouvoir se tromper, car il croit qu’il a la science infuse, réfute les conseils, car pour lui l’erreur serait un aveu de faiblesse… Alors que je pense, cela serait un certificat d’intelligence et de grandeur… Mais il préfère rester petit, désespérément petit et mesquin !

Détestable entêtement qui mène toujours au pire…

© zalandeau, le mardi 13 juillet 2010


My chronicle - The "speech" of Napoleon Sarkozy on July 12th, 2010.

Always equal to himself, the President Sarkozy, because it is necessary to call him by its name, delivered once again a speech of a skill, one let appear such as he accustomed to us since his presidential campaign …

Regrettably, three times regrettably, the magic does not set any more. Under the skill, we know the silences, under the "truths" expressed with a visible honesty, hides the lie.

Why do I say in introduction " the speech "? Simply because the questions were already on internet for 2 days and consequently they were of complicity with the interviewer (Pujadas, this time, Pernaud and Ferrari the previous time).

What comparison can we make between the one who claims himself President and the true Presidents of whom de Gaulle of whom he claims himself the successor?

A press conference, is made with a lot of journalists, without knowing the questions. It was not the case.
A true President, would have spoken about France and Frenchmen, their expectations, their fears and solutions which he envisaged for them.
But the small Napoleon preferred to speak about himself and tried to make cry in thatched cottages, such the lawyer as he is himself, defending his customer, who is always and still himself, eternally himself, as if fate of the Frenchmen was summarized in the egotic speech of his President of cheap junk …
If we listen to him, the pension does not change, "he" improves it, crossing under silence all the already decided modifications and of which he claims that they will be arranged (It is certainly according to its expensive principle « I listen to and I do not take into account », dogma which only gives all the autocratic dimension of the person) …
The taxes will not increase either … And how we fill the national debt to part by grumbling on the services concerning the poorest ?

Intoxicated in pursuing its liberal politics, he does not effectively take into account that French people want no more this selfish and monopolizing attitude…

No, there is nothing of changed yesterday! We are always in a country chaired by an incapable, which hangs on to what he hard acquired: his place! He will never admit in the heart of himself to be able to make a mistake, because he believes that he has the inborn science, refutes the advices, because for him the error would be a confession of weakness … While I think, it would be a certificate of intelligence and greatness … But he prefers to remain small, desperately small and narrow-minded!

Terrible stubbornness which always leads to the worst …

© zalandeau, on Tuesday, July 13th, 2010

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