jeudi 22 juillet 2021

Robert Ménard, Président

Écrit le 22 juillet 2021

Est-il nécessaire que j’exprime mon total accord avec les propos de Robert Ménard reproduits ci-dessous ? Enfin, quelqu’un qui partage toutes mes idées et qui est (bien plus que moi) très équilibré dans ses propos et qui n’est pas toujours à la recherche d’un électorat au prix des plus basses déclarations comme les personnages qu’il cite… Ceux-là mêmes qui depuis quelques jours sont tellement tombés bas dans mon estime, qu’ils en sortent totalement du champ possible des candidats pour qui je pourrais éventuellement voter à la prochaine présidentielle.

(Que Macron ne se réjouisse pas, il ne remontera pas dans mon estime, quoiqu’il fasse !)

Ménard, président, Ménard, président, Ménard, président !!!

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“Il n’y a pas d’autre solution” : Robert Ménard fustige la position de Marine Le Pen sur le pass sanitaire

L’élu, pourtant proche de la présidente du Rassemblement national, n’a pas manqué de marquer son profond désaccord avec elle sur ce sujet.

Invité sur le plateau de BFMTV mercredi 21 juillet, le maire de Béziers Robert Ménard s’est exprimé sur le pass sanitaire. Interrogé sur la position de Marine Le Pen, défavorable à cette mesure qui, selon elle, « viole les libertés individuelles et accessoirement l’égalité entre les citoyens », l’élu s’est opposé à son alliée sur ce point-là du combat contre le Covid-19. « Elle a tort de laisser entendre qu’il y a d’autres solutions. Il n’y a pas d’autres solutions que la vaccination », a-t-il lancé en ajoutant que même si c’était « attentatoire aux libertés », c’était « le prix à payer pour, demain, vivre plus librement ».

« Arrêter l’opposition stupide »

 

Le maire sans étiquette de la cité héraultaise a néanmoins compris que la présidente du Rassemblement national craignait « qu’on veuille aller tellement vite que des gens ne pourront pas présenter de vaccins dans les délais qu’on demande » et que le gouvernement applique la loi « du jour au lendemain ». En revanche, Robert Ménard n’y est pas allé de main morte au sujet des positions de « la triplette Asselineau, Dupont-Aignan, Philippot » qu’il a qualifié de « barjos », les accusant aussi d’électoralisme.

"Ils se disent qu'il y a un petit créneau politique 'si je peux grapiller quelques centaines de milliers de voix, j'y vais! [...] C'est minable, honnêtement, c'est minable."

 

S’il a revendiqué vouloir « faire campagne pour Marine Le Pen contre Emmanuel Macron », le maire de Béziers a assuré qu’il fallait « arrêter avec l’opposition stupide » : « Quand j’entends un certain nombre de gens dire qu’Emmanuel Macron est un dictateur, j’ai envie de leur donner un coup de pied dans les fesses, les emmener dans une vraie dictature et qu’ils voient un tout petit peu la différence », a-t-il déclaré sur le plateau de BFTMV.

     

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