mardi 5 janvier 2016

Mémoires et radotages (27) – " Incommunicable "



Le 25 décembre de 2014, j’avais fait de brefs souhaits our l’année suivante, à tous ceux que j’avais été amené à côtoyer " commentairement " et " bloguesquement " parlant… Pourquoi le 25 décembre plutôt que le 1er janvier ? Pourquoi ne pas souhaiter d'avance, puisque souhaiter en arrière est absurde et forcément le 1er janvier, il y a inévitablement une petite partie de souhait rétrograde...
Tous ? Non pas tous. Parce qu’il y en a dont j’avais oublié le sobriquet (oui, " pseudo " pour les modernistes)… Alors à ceux là, dans le brouillard de ma mémoire, j’avais présenté mes excuses… Oh, ils n’avaient pas perdu grand-chose juste deux mots, que je ne prononcerai pas en ce lieu public, car la posture " flagornante " n’est pas ma position favorite (je préfère celle du missionnaire, mais c’est une autre histoire)…

Il y avait deux autres personnes auxquelles j’aurais bien voulu adresser ces mêmes deux mots en particulier, car j’avais de la tendresse pour elles, mais elles sont actuellement inaccessibles " bloguesquement " parlant, par choix délibéré, alors que nous avions échangé sur un mode enjoué il avait été un temps… Alors, tant pis, mais ils se reconnaîtront pas, vu l’éclatement de leur ancien site. Ennemis jurés l’un de l’autre, pris entre deux feux, je n’avais eu que peu de temps à communiquer avec chacun d'eux, de manière expansive ou " expendable " comme on dirait maintenant…

Alors c’est pourquoi en évocation de cette communication maintenant impossible, j’ai choisi comme titre " incommunicable " avec l’accent Anglais (Aujourd’hui, je crois que c’est ma journée du néologisme ; prononcer " incommunicabole ")…

Pourquoi deux mots ? Vaste question, ou plutôt vaste réponse.

Primo, j’ai une épouse si jalouse (et maintenant elle a un ordi), que… Bon c’est clair, non ?
Secondo, en faire de trop, serait de nature à risquer de faire croire à des sentiments équivoques dont je ne veux à aucun prix laisser planer le doute.
Tertio, Comme je l’ai évoqué plus haut, le léchage de cul que je vois parfois chez certains, me débecte profondément, ce n’est pas ma tasse de thé.

En conséquence, à ceux qui avaient reçu mon message, qu’ils comprennent que même laconique, il était sincère et véritable.

" Bonne année et bonne santé "… Je sais, ce n’est pas tout, pour certains ; mais on risque de souhaiter des choses qui ne concernent que soi-même, car que peut-on souhaiter aux autres que ce qui nous manque ?… Alors du coup, je reste dans les généralités… Et après tout, une bonne année et une bonne santé… Cela ne comprend-il pas tout, de manière exhaustive ? Et même, quand on y pense, la bonne santé, n’est-ce pas une proposition redondante, car elle est forcément incluse dans la bonne année ???

Par contre, se limiter à l’année en cours, n’est-ce pas réducteur ?
Alors : " Bonnes années ! ", ne serait-il pas un souhait plus complet, plus approprié à l’usage circonstanciel que l’on veut en faire ?
Je crois d’ailleurs, que cette formule serait de meilleur aloi que les vœux non sincères du président de la république, dans le discours duquel, on sentait bien le genre de vœux qu’il s’adressait, en fait, à lui-même…

Cette flagornerie, doublée d’autosatisfaction, à grande échelle, m’a écœuré… Comme si la manipulation pouvait encore prendre…

«  Bonnes années », est donc très suffisant, je crois, du moment que cela soit sincère…

2 commentaires:

  1. de qui tu parles? des noms!!!je veux savoir les pseudos de blog.fr!!!
    signé : robert d'arcachon

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    1. Oh... Y'avait une habitante d'île éloignée et un gestionnaire d'orchestre des alpes...

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