Écrit le 9 mars 2012
L’être humain a les qualités de
ses défauts, c’est dire combien il a de défauts.
Lâcheté, égoïsme, hypocrisie, cupidité, fainéantise, mensonges, mauvaise foi, jalousie, ingratitude, intolérance et dogmatisme sont le lot quotidien de tous et la difficulté de ceux qui voudraient croire en quelque chose et qui voudraient faire évoluer le monde, mais en vain.
Nous avons pourtant essayé la sincérité, l’équité, l’amitié, la protection pour manager les êtres.
Les « êtres » sont bien nommés : Ils sont ce qu’ils sont et on ne pourra les changer. Nous ne ferons adhérer certains d’entre eux que momentanément, simplement par intérêt personnel passager.
Il est facile à comprendre que devant la difficulté de traiter humainement les gens, les managers aient adopté pour méthodes la peur et l’indifférence.
Terminé les bons sentiments si complexes et si longs à mettre en œuvre ! On ne fait plus adhérer, on impose et on menace, c’est tellement plus simple.
On regrette de ne pas avoir choisi cette option. On prive la société d’une brillante carrière pour des gens auxquels on a du oublier de prodiguer des remerciements, à moins qu’il n’y ait jamais eu de telles intentions.
L’ingratitude des uns fait l’amertume des autres…
Lâcheté, égoïsme, hypocrisie, cupidité, fainéantise, mensonges, mauvaise foi, jalousie, ingratitude, intolérance et dogmatisme sont le lot quotidien de tous et la difficulté de ceux qui voudraient croire en quelque chose et qui voudraient faire évoluer le monde, mais en vain.
Nous avons pourtant essayé la sincérité, l’équité, l’amitié, la protection pour manager les êtres.
Les « êtres » sont bien nommés : Ils sont ce qu’ils sont et on ne pourra les changer. Nous ne ferons adhérer certains d’entre eux que momentanément, simplement par intérêt personnel passager.
Il est facile à comprendre que devant la difficulté de traiter humainement les gens, les managers aient adopté pour méthodes la peur et l’indifférence.
Terminé les bons sentiments si complexes et si longs à mettre en œuvre ! On ne fait plus adhérer, on impose et on menace, c’est tellement plus simple.
On regrette de ne pas avoir choisi cette option. On prive la société d’une brillante carrière pour des gens auxquels on a du oublier de prodiguer des remerciements, à moins qu’il n’y ait jamais eu de telles intentions.
L’ingratitude des uns fait l’amertume des autres…
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