La nuit porte conseil, dit-on et c’est vrai.
Les choses sont limpides, limpides comme elles n’ont jamais été.
La langue Française n’est pas assez détaillée. Aimer est utilisé pour tout.
Alors quand je dis à un ami : « Je t’aime », je n’ai pas envie de coucher avec lui. Il n’y a pas de verbe pour l’amitié. Faut –il lui dire « Je t’amite » ? Le verbe n’existe pas.
Mes enfants je les aime avec passion, tendresse et pourtant il ne m’est jamais venu à l’idée de pratiquer le sexe avec eux.
Dans le même ordre d’idée je dis « j’aime le camembert. », je n’ai pas pour cela envie de faire l’amour avec un camembert…
Dans l’autre sens, pourquoi avoir nommé la copulation « faire l’amour » ?
Autant d’ambiguïtés, de cette langue Française, que je vais lever aujourd’hui.
Il faut de suite donner un verbe à faire l’amour. Un nom qui ne soit pas connoté péjorativement. Par exemple « sexer ».
Aimer n’est pas « sexer ». En effet j’ai sexé avec des femmes, en toute jovialité, plaisir, sans acrimonie et quand nous nous revoyons, nous nous faisons la bise. Un point c’est tout.
Le camembert quant à lui, on ne l’aime pas, on « l’apprécie ».
Débarrassé des sens parasitaires nous allons enfin pouvoir parler d’aimer sans rougir et sans tabou…
Conjoints, parents, enfants, amis, copains, collègues… On les aime tous à des degrés différents. D’ailleurs amis et copains, qu’est-ce que ça veut dire ? Ceux qu’on aime beaucoup et ceux qu’on aime un peu ? Et alors, ceux qu’on aime moyennement comment les appelle-t-on ?
La seule notion de graduation est « l’effeuillage de la marguerite » : Pas du tout, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. Il est nécessaire de rajouter moyennement, ou disons, que aimer tout court serait par défaut « moyennement »…
Alors, pour moi les choses sont claires. J’aime mes enfants à la folie, j’aime celle qui m’a largué sur le blog un peu, j’aime mes parents beaucoup. J’aime ma femme tout court (moyennement)…
Mes parents m’ont aimé à la folie, mes enfants m’aiment beaucoup, ma femme un peu et peut-être moyennement avec le temps. Quant à mon ex-amie bloguesque elle ne m’aimait qu’un peu… Pas suffisamment pour me garder, d'autant plus qu'amie bloguesque n'est ni petite amie, ni amie, ni copine; c'est rien du tout en fait, juste une connaissance, une collègue à distance. Donc, il ne faut pas avoir d'amie pour éviter tout quiproquo…
Maintenant, tout est clair… Les amitiés, les amours, doivent être à peu près au même niveau de réciprocité, sous peine de capoter, de sombrer…
Les choses sont limpides, limpides comme elles n’ont jamais été.
La langue Française n’est pas assez détaillée. Aimer est utilisé pour tout.
Alors quand je dis à un ami : « Je t’aime », je n’ai pas envie de coucher avec lui. Il n’y a pas de verbe pour l’amitié. Faut –il lui dire « Je t’amite » ? Le verbe n’existe pas.
Mes enfants je les aime avec passion, tendresse et pourtant il ne m’est jamais venu à l’idée de pratiquer le sexe avec eux.
Dans le même ordre d’idée je dis « j’aime le camembert. », je n’ai pas pour cela envie de faire l’amour avec un camembert…
Dans l’autre sens, pourquoi avoir nommé la copulation « faire l’amour » ?
Autant d’ambiguïtés, de cette langue Française, que je vais lever aujourd’hui.
Il faut de suite donner un verbe à faire l’amour. Un nom qui ne soit pas connoté péjorativement. Par exemple « sexer ».
Aimer n’est pas « sexer ». En effet j’ai sexé avec des femmes, en toute jovialité, plaisir, sans acrimonie et quand nous nous revoyons, nous nous faisons la bise. Un point c’est tout.
Le camembert quant à lui, on ne l’aime pas, on « l’apprécie ».
Débarrassé des sens parasitaires nous allons enfin pouvoir parler d’aimer sans rougir et sans tabou…
Conjoints, parents, enfants, amis, copains, collègues… On les aime tous à des degrés différents. D’ailleurs amis et copains, qu’est-ce que ça veut dire ? Ceux qu’on aime beaucoup et ceux qu’on aime un peu ? Et alors, ceux qu’on aime moyennement comment les appelle-t-on ?
La seule notion de graduation est « l’effeuillage de la marguerite » : Pas du tout, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. Il est nécessaire de rajouter moyennement, ou disons, que aimer tout court serait par défaut « moyennement »…
Alors, pour moi les choses sont claires. J’aime mes enfants à la folie, j’aime celle qui m’a largué sur le blog un peu, j’aime mes parents beaucoup. J’aime ma femme tout court (moyennement)…
Mes parents m’ont aimé à la folie, mes enfants m’aiment beaucoup, ma femme un peu et peut-être moyennement avec le temps. Quant à mon ex-amie bloguesque elle ne m’aimait qu’un peu… Pas suffisamment pour me garder, d'autant plus qu'amie bloguesque n'est ni petite amie, ni amie, ni copine; c'est rien du tout en fait, juste une connaissance, une collègue à distance. Donc, il ne faut pas avoir d'amie pour éviter tout quiproquo…
Maintenant, tout est clair… Les amitiés, les amours, doivent être à peu près au même niveau de réciprocité, sous peine de capoter, de sombrer…
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