https://zalandeau.blogspot.com/2021/12/memoires-et-radotages-386-pas-de.html
Écrit le 3 août 2025
Je n'ai eu que six mois de mon premier stage (stage ouvrier), comme expérience de l'exploitation de la mine de Charbon à Forbach puits Simon III, de -400m à -1000m... Pas le temps de découvrir autre chose que la mortalité par silicose des mineurs de manière précoce...
Mais j'ai découvert cet article qui suggère d'autres réflexions :
https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/charbon-quels-dangers
Ecrit le 03 juin 2025
Ah que j’étais
content après mes opérations de la cataracte ! Je voyais très bien de loin
de l’œil droit et presque aussi bien de l’œil gauche… Formidable !
Mais hier matin,
lundi 02 juin, je ne voyais soudain plus
aussi bien… Sur la route les panneaux indicateurs que je voyais encore dimanche très nettement à plus de cent mètres, étaient troubles et ce n’est qu’à
En même temps ma
glycémie hier matin à jeun était de 1,77 alors qu’habituellement elle est de
1,15 à 1,40… Hier au coucher, elle était de 1,40, bon, admettons… Mais ce matin bonne nouvelle elle était (toujours à jeun)
de 0,86… Incroyable ! Jamais je n’avais eu aussi bas depuis que j’ai ce putain de
diabète… Ce matin, au petit déjeuner, j’ai réduit drastiquement les glucides et curieux de
voir le résultat, deux heures après… 2,62, alors que la veille j’avais
2,17 ???… Je me dis que l’appareil déconne… Je recommence à un autre
doigt… 2,66 !!!
Avec une glycémie à jeun plus faible, une consommation de glucide plus faible, j’ai une glycémie à 11 heures, beaucoup plus forte… Bien que j’aie une médication ultra renforcée de 4 antidiabétiques le matin…
Punaise !
Mais qu’est-ce qu’il se passe ? C’est la cata ! Alors l’appareil
est-il foutu ?
Ou bien… Ces troubles de la vision ne seraient-ils pas la conséquence d’un diabète de plus en plus incontrôlable ? Car « ils » le disent bien que les troubles de la vision sont une des conséquences d’un diabète non équilibré…
Pour le moment je suis dans le doute le plus absolu… Tous les organes sont touchés mais c’est invisible… Et je crois que je vais bientôt rejoindre ma sœur qui un beau matin ne s’est pas réveillée.
J’ai rendez-vous avec monsieur 7 minutes le 16 juin… Quand je vais tenter de lui parler de ma surveillance glycémique, il va m’envoyer balader, parce qu’il ne croit qu’au HbA1c qu’on analyse que tous les trois mois et ne donne qu’une moyenne sur ces trois mois…
Je vais lui demander de me prescrire un appareil neuf (le mien date de bien plus de dix ans, alors qu’on a le droit à un appareil tous les deux ans)… Et si les résultats continuent à être catastrophiques ? Est-ce qu’il va me passer au DUTAGLUTIDE ? Il parait que nous sommes constamment en rupture de stock et que c’est trop cher pour la sécu…
Alors le problème, c’est aussi avec mes futures lunettes… J’ai rendez vous demain avec monsieur 6 minutes (l’ophtalmo)… Les lunettes seront prescrites en fonction de cette vue diminuée depuis lundi… Et après ? Ma vue reviendra-t-elle, ou bien se dégradera-t-elle encore plus… Et si une autre cataracte s’était déclenchée en fond d’œil cette fois, derrière les implants ??? Ça existe, je l'ai lu sur des sites médicaux...
Bon. Je n’ai pas
eu peur une seule seconde pour mes opérations de cataracte… Je n’aurai pas
peur non plus, pour ce destin qui dessine sa fin… Vaya con Dios !
Le diabète de type 2 est associé à divers problèmes de santé, notamment à une diminution de la masse musculaire squelettique. Cette équipe dirigée par le professeur Wataru Ogawa de la Graduate School of Medicine de l'Université de Kobe révèle que l'élévation du taux de sucre dans le sang entraîne une atrophie musculaire et que deux protéines, WWP1 et KLF15, jouent un rôle clé dans ce phénomène.
Le déclin de la masse musculaire associé au vieillissement altère notre capacité physique, ce qui nous rend vulnérables à toute une série de problèmes de santé et finit par conduire à une réduction de la durée de vie. Le déclin de la masse musculaire lié à l'âge et la perte d'activité physique et d’autonomie qui en résultent aboutissent à la sarcopénie, un grave problème de santé dont la prévalence s’accroît avec le vieillissement des populations.
Diabète et perte musculaire : on savait déjà que les patients atteints de diabète de type 2 sont sujets à perte musculaire en vieillissant, mais le mécanisme sous-jacent restait mal compris. Alors que le diabète est une maladie causée par une action insuffisante de l'hormone insuline, qui non seulement abaisse le taux de sucre dans le sang, mais favorise la croissance et la prolifération des cellules, on pensait que cette résistance à l'insuline avait pour effet de freiner la croissance et la prolifération des cellules musculaires, ce qui contribuait à la diminution de la masse musculaire squelettique. Cependant, l'équipe de Kobe fait ici une découverte surprenante : l’augmentation du taux de sucre dans le sang déclenche le déclin de la masse musculaire et 2 protéines joue un rôle clé dans ce processus :
KLF15 : les chercheurs constatent en effet chez la souris modèle de diabète que l'abondance du facteur de transcription KLF15 augmente dans le muscle squelettique et que les souris dépourvues de KLF15 dans le muscle sont résistantes à ce déclin de la masse musculaire squelettique induit par le diabète (Voir Figure 1). Ces résultats indiquent que la perte musculaire induite par le diabète est imputable à une augmentation des niveaux de KLF15. L’équipe a alors étudié le mécanisme qui entraîne cette abondance de KLF15 dans le muscle squelettique des souris diabétiques. Ils constatent que l'élévation du taux de sucre dans le sang ralentit la dégradation de la protéine KLF15, ce qui entraîne, en compensation, une augmentation de la quantité de cette protéine.
WWP1 : c’est là qu’intervient la protéine WWP1 et son rôle clé dans la régulation de la dégradation de la protéine KLF15. WWP1 est une protéine « ubiquitine ligase » et lorsqu’une « ubiquitine » se lie à d'autres protéines, la dégradation des protéines liées à l'ubiquitine est accélérée. Dans des conditions normales, le WWP1 favorise la dégradation de la protéine KLF15 en liant les ubiquitines au KLF15, ce qui permet de maintenir de faibles niveaux de KLF15 dans les cellules. Lorsque la glycémie augmente, la quantité de WWP1 diminue, ce qui ralentit la dégradation de KLF15 et donc l'augmentation des niveaux de KLF15 (Figure 2).
C’est ainsi que l’élévation de la glycémie caractéristique du diabète de type 2 déclenche le déclin de la masse musculaire et que les deux protéines WWP1 et KLF15 contribuent à cette perte musculaire induite par le diabète.
Outre le diabète, d'autres facteurs, dont l'inactivité physique ou le vieillissement, entraînent une perte de masse musculaire. Les protéines KLF15 et WWP, dont il est démontré ici qu'elles contribuent à la perte de masse musculaire induite par le diabète, pourraient également être associées à ces autres facteurs de perte musculaire. Actuellement, il n’existe aucun traitement pour lutter contre la sarcopénie.
Mais développer un médicament qui renforce la fonction de WWP1 ou affaiblit la fonction de KLF15, pourrait conduire à un nouveau traitement révolutionnaire.
Je ne suis pas Dany Boon ni Michel Drucker ! Je ne suis pas hypocondriaque ! En fonction de ce que je ressens, je cherche sur internet. Et à chaque fois j'ai une confirmation des symptômes par rapport à la maladie dont je suis atteint. Et que le médecin (monsieur 7 minutes) tente de soigner par dessus la jambe. Je n'ai pas les moyens d'aller m'acheter une clinique, moi ! Alors je subis. A partir de maintenant, plus jamais de détracteurs méprisants sur mes posts "pathologie". S'ils sont en bonne santé tant mieux pour eux !
Une fatigue excessive, chronique et inexpliquée peut avoir comme origine le diabète. L’insuline est une hormone qui intervient dans l’absorption du glucose, principale source d’énergie pour les cellules. Les cellules sont privées de leur énergie et cela explique l’un des symptômes principal du diabète : la fatigue.
Les symptômes du diabète de type 1 sont plus marqués que pour le diabète de type 2 sans traitement, car le patient se retrouve en hyperglycémie importante, ce qui conduit aux "4 signes cardinaux" du diabète de type 1 : une polyurie (urines abondantes), une polydipsie (augmentation de la soif), une perte de poids malgré une polyphagie, des troubles de la vision ainsi qu’une fatigue importante.
Cependant, les causes d’une fatigue chronique peuvent être très variées (cancer, mononucléose, surmenage…) et une consultation médicale est donc indispensable.
Une fatigue excessive est également un signe caractéristique de l’hyperglycémie (concentration de glucose dans le sang anormalement élevée). Il est primordial pour un patient de connaître les différents signes qui caractérisent un épisode hyperglycémique, à savoir : une fatigue excessive, une sensation de bouche sèche et de soif intense, ainsi que des urines abondantes. Une hyperglycémie peut être causée par une consommation d’aliments sucrés en trop grande quantité ou encore par une erreur de dosage des médicaments.
De plus, le début d’une hyperglycémie est souvent asymptomatique et c’est pour cette raison qu’il est indispensable de contrôler régulièrement sa glycémie.
Enfin, il est nécessaire de noter qu’une hypoglycémie peut également se manifester par un état de fatigue important. Elle s’accompagne d’une irritabilité, de sueurs, de palpitations, ou encore d’une faim importante. Elle peut être causée notamment par une activité physique prolongée et trop intense ou un mauvais dosage des médicaments.
Le contexte de survenue de l’épisode de fatigue est donc primordiale afin d’en déterminer la cause. Un diabétique doit contrôler sa glycémie dans le cas d’une fatigue excessive, afin de s’assurer que celle-ci n’est pas trop élevée ou trop basse.
Lutter contre la fatigue liée au diabète
Pour éviter les épisodes de fatigue, il est important pour le patient de bien équilibrer son diabète. Pour cela, il est indispensable de contrôler régulièrement son taux de sucre dans le sang à l’aide d’un lecteur de glycémie. L’éducation thérapeutique est donc primordiale, d’une part pour la reconnaissance des signes de complications et d’autre part, pour une utilisation efficace des outils, tel que le lecteur de glycémie.
Dans le cas d’un diabète contrôlé, une activité physique régulière compatible avec le diabète, des horaires de sommeil réguliers ainsi que le suivi de règles hygiéno-diététiques permettent de réduire la fatigue.
Article rédigé par Antoine SCHUSTER, Pharmacien chez Carenity
Amélie
Pelletier journaliste sur Doctissimo
Mis à jour le 12/06/2024 à 08:44
Le point avec le Dr Philippe Godeberge, gastro-entérologue et hépatologue à Paris.
Il s'agit tout
simplement d'une accumulation excessive de gaz dans l'estomac et/ou
l'intestin, ce qui provoque des ballonnements et une évacuation de ces
gaz par la bouche (éructation) ou l'anus (pet).
Il existe un certains
nombre de mots associés à ce phénomène : les bruits intestinaux que l’on entend
chez les personnes ballonnées sont des "borborygmes" ou
"gargouillements" ; l’éructation (le fait de roter) est souvent
appelée "aérophagie" et l’émission de gaz par l’anus est caractérisée
par le terme "pets" ou "gaz intestinaux".
Les flatulences
présentent généralement une odeur désagréable quand le corps l’évacue sciemment
ou non.
Pets, gaz,
flatulences… Quel que soit le nom qu’on leur donne, ces émissions de gaz
parfois malodorant sont un processus parfaitement physiologique. Constituées
d’un mélange d’hydrogène, de méthane et dioxyde de carbone, elles
résultent de la fermentation, par les bactéries présentes dans
le côlon, des résidus alimentaires non absorbés.
Leur production
peut être jugée excessive par certains, mais il s’agit là d’une "impression
purement subjective, qui dépend de l’idée que ces personnes se font de la
production "normale" de gaz intestinaux", souligne le Dr
Godeberge.
D'ailleurs, une
personne en bonne santé pète en moyenne entre 13 et 21 fois par jour,
ce qui représente 0,5 à
"La
plupart du temps, les gens ne s’en rendent pas compte, car l’évacuation de ces
gaz a lieu dans des circonstances appropriées : ils sont seuls, aux toilettes,
en pleine nature… Ce n’est que lorsque l’envie de péter survient à des moments
inopportuns et que l’on est obligé de se retenir ou, au contraire, dans
l’incapacité de se retenir, qu’elle est mal vécue".
Plus que l’excès
de gaz / flatulences, ce serait donc leur évacuation qui poserait problème.
D’ailleurs, les plaintes pour flatulences excessives émanent davantage
des femmes que des hommes, traduisant une gêne sociale typiquement
féminine, souligne le gastro-entérologue.
Le volume des
flatulences dépend essentiellement de deux choses, interdépendantes :
la composition du microbiote intestinal et l’alimentation.
"Certains
profils de microbiote intestinal ont une propension à produire davantage de gaz
que d’autres. Or, on sait que la nature des microorganismes qui composent cet
écosystème (notamment les bactéries), est modulée par divers facteurs :
l’alimentation, les antibiotiques, les antécédents de maladie
intestinale (en particulier la diarrhée du voyageur), le stress... ", explique le gastro-entérologue.
La production
excessive de flatulences peut s’accompagner d’une sensation de ballonnement au
niveau de l'intestin. Elle n’en est pourtant pas nécessairement la cause, même
si l’évacuation des gaz intestinaux soulage temporairement le ventre en
diminuant la tension abdominale. Une étude* a en effet révélé que les personnes
souffrant de ballonnements
ne produisent pas davantage de gaz que les autres, mais les expulsent plus
souvent. En cause, la présence d’une bactérie, Bilophila wadsworthia,
productrice d’un gaz irritant qui augmente la sensibilité intestinale. Ce n’est
donc pas la quantité de flatulences qui est à l’origine de l’inconfort, mais
leur nature.
A contrario,
"on peut aggraver la sensation de ballonnement à force de s’empêcher
d’évacuer les gaz", souligne le Dr Godeberge.
Dans d'autres
situations, ce qui est en cause n'est pas la quantité de gaz intestinaux, mais l'impossibilité
de contrôler leur évacuation. La perte involontaire des flatulences,
appelée incontinence au gaz, est loin d'être exceptionnelle.
Cette baisse ou perte du contrôle s'observe notamment quand la région anale ou
périnéale est altérée ; soit de façon transitoire, comme après un accouchement
ou une intervention chirurgicale ; soit de façon permanente à cause de l'âge ou
d'une maladie neurologique.
Autre cause
possible de flatulences : la constipation. En effet, l’accumulation des selles
dans le gros intestin prolonge et accentue le processus de fermentation à
l’origine de la production de gaz intestinaux.
Plus rarement, les
flatulences excessives peuvent être le signe d’une mauvaise absorption
intestinale des aliments (le passage des substances que nous ingérons à travers
les parois de l'intestin), liée à certaines maladies : Sibo (une maladie
intestinale méconnue caractérisée par une pullulation bactérienne de l'intestin
grêle), intolérance
au lactose ou maladie
cœliaque notamment. Une consultation chez un médecin, associant un
interrogatoire minutieux et un examen clinique, permettra d’orienter le
diagnostic de ces flatulences excessives.
Il n’y a aucune
raison de s’alarmer en cas de flatulences jugées excessives. Quand elles sont
associées à des douleurs
abdominales, une sensation de ballonnement ou des modifications du transit,
on fait probablement face à une colopathie fonctionnelle ou à un syndrome
de l'intestin irritable (un trouble du tube digestif qui provoque des
douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée).
Il est bon de
vérifier cette hypothèse lors d'une consultation ; celle-ci devient en revanche
impérative en cas de signes de gravité :
Certains aliments
sont bien connus pour leur pouvoir fermentescible :
Sans oublier les
féculents (pommes de terre, pâtes, blé, maïs, céréales - à l’exception du riz),
riches en glucides, et tous les aliments
riches en protéines. Limiter la production de gaz intestinaux passe donc
avant tout par une révision de son alimentation et de ses repas (sur conseil de
son médecin).
"Pas
question d’interdire ces aliments, mais d’en limiter la quantité ingérée. On
peut aussi revoir la façon de les consommer, en privilégiant les légumes cuits
aux crudités, de les cuisiner, en les blanchissant, etc. La façon de les manger
est tout aussi importante : la mastication est la première étape de la
digestion, il est donc important de manger et de boire lentement, de façon à
améliorer l’absorption intestinale et diminuer la production de gaz", recommande le Dr Godeberge.
Il est également
vivement conseillé de réduire sa consommation de boissons gazeuses,
surtout celles qui sont riches en fructose, et de chewing-gums sans sucres,
pourvoyeurs de sorbitol. Le microbiote intestinal étant très résilient
(autrement dit il a naturellement tendance à retrouver sa composition
d’origine), ces modifications alimentaires doivent être entreprises sur le long
terme.
Le Dr Godeberge
met en garde contre les analyses du microbiote ou la recherche des
"intolérances alimentaires" par une analyse
de sang. Ces examens coûteux et non remboursés ne débouchent sur aucune
stratégie thérapeutique.
Il rappelle que la
greffe fécale (ou transplantation de microbiote fécal) n’est pas un traitement
reconnu contre les flatulences excessives. La prise d’antibiotiques, en
diminuant la concentration bactérienne du tube digestif, peut certes s’avérer
efficace, mais pose des problèmes de santé sur le long terme.
En revanche, de
manière ponctuelle et pour une durée qui n’excède pas une semaine, les
médicaments à base de charbon permettent de "passer un cap, même s’ils
ne traitent pas la cause des flatulences excessives".
Face à une
médecine quelque peu démunie, seule une bonne hygiène de vie associant une
alimentation adaptée et la pratique régulière d’une activité physique doit donc
être privilégiée pour venir à bout des pets intempestifs !
En résumé :
En
l’absence de symptômes associés, l’excès de flatulences ne traduit aucune
maladie et n’a pas le moindre caractère de gravité. Évacuer beaucoup de gaz n’a
donc aucune conséquence si ce n’est la gêne sociale que l’émission de pets peut
entraîner. Pour y remédier, certaines règles d’hygiène de vie s’imposent.
Cela fait deux trimestres que je réclame cette injection à mon médecin... Mais cela vaut très cher... Il a probablement peur de se faire taper sur les doigts par la sécu... On peut toujours crever à petit feu... Je suis de plus en plus faible et sans force... S'il ne me donne pas ce médoc, je sens que je vais l'envoyer chier !!! Mais il me faudra un autre généraliste...
VIDAL - Le Trulicity (Dulaglutide)
Ce médicament est un antidiabétique de la famille des analogues du glucagon-like peptide-1. Il agit comme une hormone produite dans l'intestin, appelée glucagon-like peptide-1 (GLP-1), qui a un rôle dans le contrôle de la glycémie. Il stimule la libération d'insuline lorsque le taux de glucose dans le sang est élevé, il ralentit également la vidange de l'estomac et diminue la sécrétion du glucagon. Son action est prolongée et permet de ne faire qu'une seule injection par semaine.
Vous pouvez consulter le(s) article(s) suivants :
Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.
p stylo | p stylo | |
Dulaglutide | 0,75 mg | 1,5 mg |
p stylo | p stylo | |
Dulaglutide | 3 mg | 4,5 mg |
La liste des excipients est consultable sur la page produit de chaque médicament de la gamme (pour la consulter, cliquer sur un nom du médicament).
Ce médicament n'est pas adapté au traitement du diabète de type 1 : celui-ci requiert un traitement par insuline.
L'association de cet antidiabétique avec un sulfamide hypoglycémiant ou avec l'insuline expose à un risque d'hypoglycémie. Une diminution de la dose de sulfamide hypoglycémiant ou de l'insuline peut être envisagée pour réduire ce risque. Pour l'ajustement des doses, il peut être nécessaire de pratiquer vous-même des contrôles, à l'aide d'un lecteur de glycémie.
Certaines situations peuvent contribuer à augmenter la glycémie : infection, prise de médicaments, stress. En cas d'apparition d'une sensation de malaise général, prenez un avis médical.
En cas de douleur abdominale intense et persistante, consultez rapidement votre médecin : risque d'inflammation du pancréas (pancréatite aiguë).
Les effets indésirables digestifs tels que les diarrhées et les vomissements peuvent provoquer une déshydratation entraînant parfois une insuffisance rénale. La perte d'eau doit être compensée par des boissons abondantes.
En cas d'intervention chirurgicale qui nécessite une anesthésie générale, informez l'anesthésiste lors de la consultation pré-opératoire de la prise de ce médicament, car il peut être à l'origine de complications graves.
Évitez les boissons alcoolisées à jeun ou à distance des repas : augmentation du risque d'hypoglycémie.
Conducteur : une hypoglycémie peut entraîner un malaise pendant la conduite ou l'utilisation de machines.
Ce médicament ralentit la vidange de l'estomac et peut modifier l'absorption d'autres médicaments. Signalez tout autre traitement à votre médecin.
Un diabète mal équilibré peut être néfaste pour l'enfant à naître. Un désir de grossesse nécessite le remplacement des antidiabétiques oraux et de ce médicament par de l'insuline et une surveillance médicale renforcée. Si une grossesse survient alors que vous êtes encore sous traitement, consultez rapidement votre médecin pour un passage à l'insuline injectable.
Les données disponibles ne permettent pas de savoir si ce médicament passe dans le lait maternel ; un choix est donc nécessaire entre l'allaitement et la prise du médicament. Cette décision devra être prise en accord avec votre médecin.
Ce médicament doit être administré une fois par semaine, le même jour chaque semaine. Penser à indiquer le jour choisi sur la boîte. Si le jour de l'administration doit être modifié, la dose suivante doit être faite plus de 3 jours après la précédente injection.
La solution doit être injectée par voie sous-cutanée dans la cuisse, l'abdomen ou le bras. L'injection peut être faite à n'importe quel moment de la journée, indépendamment des repas.
Pour le maniement précis du stylo, conformez-vous à la notice fournie par le fabricant.
Si le contrôle de la glycémie n'est pas suffisant après 4 semaines, cette dose peut être augmentée à 3 mg par semaine, puis à 4,5 mg par semaine.
En cas d'oubli d'une injection, celle-ci doit être administrée dès que possible, sauf si la dose suivante est prévue dans moins de 3 jours. Dans ce cas, ne pas administrer la dose. Poursuivre les injections le jour de la semaine initialement choisi.
Le diabète peut diminuer la sensibilité des pieds à la douleur et favoriser les infections. Des plaies profondes peuvent se développer : une hygiène rigoureuse, un examen régulier des pieds et des chaussures confortables limitent ce risque.
Le régime du diabétique ne consiste pas simplement à contrôler la prise de glucides (sucres, pain, pâtes...) : demandez conseil à votre médecin.
Pesez-vous régulièrement et signalez toute variation rapide de poids à votre médecin.
Une activité physique régulière a une place importante dans le traitement du diabète : 30 à 60 minutes, trois fois par semaine sont recommandés, en privilégiant les activités d'endurance (marche, jogging, natation, vélo...).
Les stylos doivent être conservés dans leur emballage dans la partie basse du réfrigérateur. Si besoin, ils peuvent être gardés jusqu'à 2 semaines à température ambiante ne dépassant pas 30 °C. Au delà de cette période, ils doivent être jetés s'ils n'ont pas été utilisés. Les stylos sont à usage unique.
Très fréquents (plus de 1 patient sur 10) : nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales ; ces effets digestifs disparaissent habituellement avec la poursuite du traitement. Hypoglycémie (notamment en cas d'association avec un sulfamide hypoglycémiant ou de l'insuline).
Fréquents (1 à 10 % des patients) : diminution de l'appétit, digestion difficile, constipation, ballonnements, reflux gastro-œsophagien, rots, sensation de fatigue, tachycardie, troubles du rythme cardiaque.
Peu fréquents (moins de 1 % des patients) : réaction au site d'injection, (rougeur, éruption cutanée), déshydratation, calcul biliaire, inflammation de la vésicule biliaire.
Rares (moins de 0,1 % des patients) : pancréatite, vidange de l'estomac retardée, réaction allergique (œdème de Quincke...).
Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.
Ecrit le 11 avril 2025
Note de zalandeau : J'ai tout cela... Et mon médecin s'en bat les couilles... Il faut que je change de médecin (monsieur 7 minutes)... Ou bien que je trouve un diabétologue, un vrai... Il faut qu’il me prescrive ce que je réclame depuis 6 mois : du TRULICITY (Dulaglutide) une fois par semaine !!!
Aujourd'hui j'ai dit à ma femme qu'il était temps de trouver les coordonnées des organismes de retraites pour la future demande de pension de réversion... Je n'avais encore pas lu les textes ci-dessus, mais mon état se dégradant (perte de force, perte de poids, mictions très fréquente, cerveau embrouillé, vue de plus en plus brouillée, repas pantagruéliques, soif inextinguible et surtout ce froid perpétuel, pertes d’équilibre, perte d’agilité de mes doigts), je pensais à une fin très prochaine... C'est alors que j'ai cherché et trouvé ce qui figure ci-dessus... Mon intuition s'avère exacte...
Ecrit le 1er avril 2025 (Ce n'est pas un poisson)
… La cata… racte !
Hé non, ce n’est pas un
poisson…
Pas de charges lourdes, pas de
bricolage, pas d’effort, pas de balayage, pas de travaux salissants ou non, pas
de conduite de véhicule, pas de courses… Merci à mon petit Nono, mon chauffeur,
qui a perdu une journée de travail qu’il lui faudra rattraper en heures
sup ! Pour la peine je lui fais cadeau de ses pneus avant... Enfin il faut
dire qu’avec un seul œil cataracté, je n’y vois guère… Et avec le
« réparé », je n’y vois goutte… J’espère qu’il n’y a pas trop de
fautes…
Y’a plus qu’à attendre que
« ça se passe »…
Ecrit le 31 mars 2025
Ouais… Je voulais écrire à
tête reposée le merveilleux après midi du dimanche 23 mars… J’étais devant
l’émission de Lopez, Un Dimanche à la campagne, avec pour invités Estelle
Lefébure, Marie s’infiltre et Jean Marc Généreux…
Je ne m’attendais à rien, mais cette fois, que d’émotions ont-ils partagées… J’ai découvert des personnes humaines avec lesquelles je peux me reconnaître dans leurs souffrances, leurs joies, leurs espoirs… J’ai vraiment cru être présent avec eux, contrairement à l’émission d’hier dimanche 30 mars, avec Nanti, Cohen et Jamy, qui n’étaient que superficialités et apparences extérieures… Bref, je voulais faire un super texte sur l’émission du 23…
Mais, mais mais… le lendemain,
l’enfer… Rendez-vous chez l’anesthésiste… En revenant : panne… La courroie
secondaire pétée… plus de direction assistée, plus d’abs, plus de clignotant et
plus de moteur… et manque de pot, arrêté en côte, en empiétant sur la route,
parce que je n’ai pu me serrer plus près du fossé… Ma femme et moi avons
poussé centimètre par centimètre la bagnole jusque devant une entrée de
propriété… Trop dur à mon âge de pousser dans une côte… Puis dépanné avec mes
cosses, par un brave mec… reparti, puis re-panne au bout de 4 km… Mais ce coup-ci bien rangé en
roue libre… Mon fils est venu nous remorquer après ses heures de travail… Arrivés
à 20 heures, il faisait nuit et sans feux arrière on a pris de sacrés risques,
barre de remorquage tordue… Sacré Nono : on ne freine pas juste après avoir
tourné à 90 degrés … J’ai mis 24 heures pour me remettre de ma fatigue
physique.
Ensuite réparation de la voiture à Toto fuite d'un joint d'injecteur chez profil+, réparation partielle de la mienne chez profil+ (seulement la courroie, mais pas la cause de la rupture, une fuite d'huile non identifiée), réparation fil de fer pour l’échappement de la caisse de Nono et regonflage de sa roue de secours périmée qu'l va falloir racheter… Faire les courses comme d’hab, etc, etc, etc…
Punaise, ils viennent de me rappeler à 17 heures pour me donner l’heure de l’opération de la cataracte pour demain… Il faut que j’y sois à 7h45, à 60 bornes de petite route sinueuse, sachant que je dois me doucher et prendre mes médicaments avant de partir… Il va falloir que je me lève à… 5 heures ou moins…
Alors le blog… J’ai pas le temps… J’ai le temps de rien…
Bien le bonjour…
Note de zalandeau : J’achète beaucoup de crevettes en ce moment, et pas que, car elles ne sont pas chères et d’après moi, c’est bon pour la santé, des protéines, sans gras, sans sucres, c’est fantastique ! Hélas, trois fois hélas, j’ai complètement tort !!! Je croyais contrer mon diabète, c’est le contraire… Comme quoi on ne peut se nourrir qu’en se renseignant !!! En rouge ci-dessous ce que je mangeais le plus et qu’il va me falloir limiter… Triste je suis…
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Ces aliments, mais aussi les autres abats et d’autres poissons sauvages, ont en commun d’élever le taux d’acide urique quand on les consomme trop. Attention à la goutte, aux calculs rénaux, à l’hypertension, au diabète et à d’autres troubles qu’il vaut mieux s’éviter, comme l’explique le neurologue David Perlmutter.
Par Sylvia Vaisman sur le Parisien
Le 2 février 2023 à 10h18
Il ne faut pas manger de moules plus de deux à trois fois par semaine, selon le docteur David Perlmutter. LP/Olivier Corsan
À première vue, le foie et les moules n’ont rien à voir entre eux. Ils possèdent pourtant un point commun, et non des moindres : leur consommation élève le taux d’acide urique dans le corps. Cet acide est normalement éliminé par les urines, mais lorsqu’il est présent en excès, il accroît le risque de maladies : non seulement la goutte et les calculs rénaux, mais aussi le diabète, l’hypertension artérielle, l’obésité, les troubles neurologiques et l’inflammation des intestins, comme l’explique le docteur David Perlmutter, neurologue membre du Collège américain de nutrition et auteur de « Toxique acide » publié aux éditions Marabout.
Que reprochez-vous aux abats et aux moules ?
Dr DAVID PERLMUTTER. Les abats de bœuf, de porc, d’agneau et de volaille (foie, cœur, rognons, tripes, ris de veau…) comptent parmi les aliments les plus riches en purines. Or ces substances, naturellement présentes dans l’organisme, induisent la synthèse d’acide urique au niveau du foie, des intestins et de la paroi interne des vaisseaux sanguins. Les purines apportées par l’alimentation augmentent encore cette production interne. Des études épidémiologiques de grande envergure ont ainsi mis en évidence une corrélation étroite entre la consommation d’aliments riches en purines et la concentration en acide urique dans le sang, c’est pourquoi il est prudent de ne pas manger régulièrement des abats. Les moules, les crevettes, les crabes et les poissons sauvages (anchois, sardine, saumon, cabillaud, sole, mérou…) sont à limiter pour les mêmes raisons : pas plus de deux à trois fois par semaine, avec des portions de 120 à 180 g maximum. Certains légumes comme le chou-fleur, les épinards, les petits pois et les champignons apportent aussi des purines mais il ne faut pas les jeter au pilori car eux ne font pas grimper le taux d’acide urique.
De quels autres aliments faut-il se méfier ?
Les aliments industriels, tels les biscuits, les viennoiseries, les sauces pour salade, les sauces barbecue, les snacks, les barres énergétiques et les sodas contiennent du fructose, un sucre qui provoque aussi une hausse importante du taux d’acide urique. Je ne parle pas du fructose présent dans les fruits frais, mais du fructose raffiné, très transformé, ajouté dans nombre de produits industriels. Prudence aussi avec les édulcorants, notamment le xylitol dont la consommation booste le taux d’acide urique en stimulant la dégradation des purines.
Et sur lesquels miser en cas d’excès d’acide urique ?
Les crucifères (brocoli, chou de Bruxelles…) constituent de bons alliés dans la mesure où ils renferment de la quercétine qui tempère la production d’acide urique. Les grenades, les myrtilles, les cerises, les oignons rouges, les noix, le céleri, les épices, le café et le thé vert sont également à privilégier pour réguler son taux d’acide urique, dont l’élévation est annonciatrice de nombreuses pathologies.
Par contre on retrouve sur Passeport santé :
" Le saumon : Excellente source d’oméga-3, le saumon est un poisson gras dont l’impact sur la diminution des risques de maladies cardiovasculaires a été démontré par de nombreuses études1-2. Ce type d’acide gras aide à réduire la tension artérielle, les triglycérides sanguins et la formation de caillots de sang. Le saumon est également une excellente source de protéines complètes. Il est conseillé d’intégrer la protéine de poisson à son alimentation puisque celle-ci serait favorable à l’amélioration de la sensibilité à l’insuline3-4. Le diabète de type 2 provoque une résistance à l'insuline, une hormone produite par le pancréas qui favorise l'absorption du glucose dans les cellules et qui régularise le taux de sucre dans le sang. Dans le cas d'une insulino-résistance, le glucose se retrouve en trop grande quantité dans le sang, ce qui provoque de l'hyperglycémie.
D'un côté le saumon est excellent et de l'autre il est à limiter... Pas facile de survivre