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vendredi 11 avril 2025

Mémoires et radotages (620) – Ça se confirme...

 


 Ecrit le 11 avril 2025

Sarcopénie et diabète - Le blog Pep2Dia®

Par ailleurs, la perte musculaire chez le sujet diabétique est également causée par un dysfonctionnement mitochondrial. En effet, les patients atteints de diabète sucré souffrent souvent d'une diminution de la fonction mitochondriale, ce qui contribue alors à la diminution de la fonction musculaire.

 

Phase terminale du diabète à la période pré-insulinique*

Quels sont les signes de la phase terminale du diabète ?
Après les signes prémonitoires, perte des forces, malaise général, sensibilité accrue au froid extérieur, aversion du mouvement, qui vont en s'accentuant, la soif devient ardente, l'appétit augmente, la sécrétion urinaire se fait plus abondante ; les forces dimi nuent, la marche devient pénible, et le diabétique est est condamné au repos.
Des troubles oculaires font leur apparition, et le cristallin s'opacifie et forme une
"cataracte molle", bien étudiée par Ernest Lécorché

Maladie des nerfs symptômes : Neuropathie Diabétique

Le diabète peut-il causer une perte de force ?
L'hyperglycémie provoque dans l'organisme une série de modifications chimiques qui finissent par altérer les nerfs. L'altération peut aller de l'atteinte fonctionnelle (ralentissement de la conduction électrique) à l'atteinte structurelle du nerf. L'altération est alors de plus en plus difficilement réversible...
 
 

Note de zalandeau : J'ai tout cela... Et mon médecin s'en bat les couilles... Il faut que je change de médecin (monsieur 7 minutes)... Ou bien que je trouve un diabétologue, un vrai... Il faut qu’il me prescrive ce que je réclame depuis 6 mois : du TRULICITY (Dulaglutide) une fois par semaine !!!

Aujourd'hui j'ai dit à ma femme qu'il était temps de trouver les coordonnées des organismes de retraites pour la future demande de pension de réversion... Je n'avais encore pas lu les textes ci-dessus, mais mon état se dégradant (perte de force, perte de poids, mictions très fréquente, cerveau embrouillé, vue de plus en plus brouillée, repas pantagruéliques, soif inextinguible et surtout ce froid perpétuel, pertes d’équilibre, perte d’agilité de mes doigts), je pensais à une fin très prochaine... C'est alors que j'ai cherché et trouvé ce qui figure ci-dessus... Mon intuition s'avère exacte...

        


 


lundi 5 août 2024

Mieux vaut limiter le foie et les moules pour garder la santé


 

Note de zalandeau : J’achète beaucoup de crevettes en ce moment, et pas que, car elles ne sont pas chères et d’après moi, c’est bon pour la santé, des protéines, sans gras, sans sucres, c’est fantastique ! Hélas, trois fois hélas, j’ai complètement tort !!! Je croyais contrer mon diabète, c’est le contraire… Comme quoi on ne peut se nourrir qu’en se renseignant !!! En rouge ci-dessous ce que je mangeais le plus et qu’il va me falloir limiter… Triste je suis…

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Ces aliments, mais aussi les autres abats et d’autres poissons sauvages, ont en commun d’élever le taux d’acide urique quand on les consomme trop. Attention à la goutte, aux calculs rénaux, à l’hypertension, au diabète et à d’autres troubles qu’il vaut mieux s’éviter, comme l’explique le neurologue David Perlmutter.

 

Par Sylvia Vaisman  sur le Parisien

Le 2 février 2023 à 10h18

Il ne faut pas manger de moules plus de deux à trois fois par semaine, selon le docteur David Perlmutter. LP/Olivier Corsan

À première vue, le foie et les moules n’ont rien à voir entre eux. Ils possèdent pourtant un point commun, et non des moindres : leur consommation élève le taux d’acide urique dans le corps. Cet acide est normalement éliminé par les urines, mais lorsqu’il est présent en excès, il accroît le risque de maladies : non seulement la goutte et les calculs rénaux, mais aussi le diabète, l’hypertension artérielle, l’obésité, les troubles neurologiques et l’inflammation des intestins, comme l’explique le docteur David Perlmutter, neurologue membre du Collège américain de nutrition et auteur de « Toxique acide » publié aux éditions Marabout.

 

Que reprochez-vous aux abats et aux moules ?

 

Dr DAVID PERLMUTTER. Les abats de bœuf, de porc, d’agneau et de volaille (foie, cœur, rognons, tripes, ris de veau…) comptent parmi les aliments les plus riches en purines. Or ces substances, naturellement présentes dans l’organisme, induisent la synthèse d’acide urique au niveau du foie, des intestins et de la paroi interne des vaisseaux sanguins. Les purines apportées par l’alimentation augmentent encore cette production interne. Des études épidémiologiques de grande envergure ont ainsi mis en évidence une corrélation étroite entre la consommation d’aliments riches en purines et la concentration en acide urique dans le sang, c’est pourquoi il est prudent de ne pas manger régulièrement des abats. Les moules, les crevettes, les crabes et les poissons sauvages (anchois, sardine, saumon, cabillaud, sole, mérou…) sont à limiter pour les mêmes raisons : pas plus de deux à trois fois par semaine, avec des portions de 120 à 180 g maximum. Certains légumes comme le chou-fleur, les épinards, les petits pois et les champignons apportent aussi des purines mais il ne faut pas les jeter au pilori car eux ne font pas grimper le taux d’acide urique.

 

De quels autres aliments faut-il se méfier ?

 

Les aliments industriels, tels les biscuits, les viennoiseries, les sauces pour salade, les sauces barbecue, les snacks, les barres énergétiques et les sodas contiennent du fructose, un sucre qui provoque aussi une hausse importante du taux d’acide urique. Je ne parle pas du fructose présent dans les fruits frais, mais du fructose raffiné, très transformé, ajouté dans nombre de produits industriels. Prudence aussi avec les édulcorants, notamment le xylitol dont la consommation booste le taux d’acide urique en stimulant la dégradation des purines.

 

Et sur lesquels miser en cas d’excès d’acide urique ?

 

Les crucifères (brocoli, chou de Bruxelles…) constituent de bons alliés dans la mesure où ils renferment de la quercétine qui tempère la production d’acide urique. Les grenades, les myrtilles, les cerises, les oignons rouges, les noix, le céleri, les épices, le café et le thé vert sont également à privilégier pour réguler son taux d’acide urique, dont l’élévation est annonciatrice de nombreuses pathologies.

 

Par contre on retrouve sur Passeport santé :

 

" Le saumon : Excellente source d’oméga-3, le saumon est un poisson gras dont l’impact sur la diminution des risques de maladies cardiovasculaires a été démontré par de nombreuses études1-2. Ce type d’acide gras aide à réduire la tension artérielle, les triglycérides sanguins et la formation de caillots de sang. Le saumon est également une excellente source de protéines complètes. Il est conseillé d’intégrer la protéine de poisson à son alimentation puisque celle-ci serait favorable à l’amélioration de la sensibilité à l’insuline3-4. Le diabète de type 2 provoque une résistance à l'insuline, une hormone produite par le pancréas qui favorise l'absorption du glucose dans les cellules et qui régularise le taux de sucre dans le sang. Dans le cas d'une insulino-résistance, le glucose se retrouve en trop grande quantité dans le sang, ce qui provoque de l'hyperglycémie.

 

D'un côté le saumon est excellent et de l'autre il est à limiter... Pas facile de survivre

 

       

 

dimanche 18 février 2024

Mémoires et radotages (531) – Cortisone et diabète ne font pas bon ménage

 

Écrit le 18 février 2024

Depuis que je prends des médocs pour mon virus… Ma glycémie a bondi en flèche en atteignant des valeurs jamais atteintes depuis que je suis diabétique…  2,6 g par l de sang !!!

Je suis donc allé voir sur le net ! J’ai eu le nez fin quand même :

Diabète et prise de corticostéroïdes - CHU de Québec

« La cortisone est un glucocorticoïde. Ce médicament augmente la production du glucose par le foie et diminue la sensibilité des cellules du corps à l'insuline. Combinées, ces deux actions contribuent à augmenter la glycémie… »

Plus que deux jours et demi de Cortisone ! J’espère que ça reviendra à la normale !

Nota : depuis mercredi, je porte le masque (j'en ai en réserve)... Celui qu'on ne trouvait par cheu nous qu'à la fin du Covid... Parce que comme par hasard, les masques se retrouvaient dès le début, sur les nez des apparatchiks (conseillers de département, Maires et adjoints, pharmaciens, autres patrons de commerce influents, enfin bref l'entre soi des premiers de cordée), alors que le peuple pouvait bien crever...

En 2020, je fabriquais mes masques avec un drap et l'élastique d'une housse de lit... J'ai même fabriqué mon liquide hydroalcoolique ! Le peuple doit se démerder seul, danss ce département où "not' maîtr" est encore en usage par les métayer, devant les propriétaires terriens !

Hier, les hoquets sont devenus enfin plus rares… Il était temps, ça devenait gonflant !        

        

samedi 18 mars 2023

Mémoires et radotages (461) – Diabète et médecin-bête

 

Écrit le 16 mars 2023

-Déjà que je limite les glucides… voyez : la glycémie a bien baissée !

-Oui mais, les lipides, vous en prenez trop !

-Alors moins de graisse ? OK ! Pourtant je n’en prends plus beaucoup… J’ai eu, les semaines passées, des moments de faiblesse, au cours desquels je n’avais plus de force et mes jambes ne me portaient plus… Alors j’ai absorbé des compléments protéinés… et c’est reparti…

-Mais vous savez… Les protéines, il ne faut pas en abuser, cela peut abîmer vos reins…

-Alors plus de glucides, plus de graisses, plus de protéines… Je mange quoi ? De la merde ? Ben merde alors !

        

lundi 6 février 2023

Symptômes et diagnostic du diabète

 

13 décembre 2021 sur ameli (accès totalement gratuit)

Le diabète de type 1 est le plus souvent diagnostiqué en présence de symptômes qui apparaissent rapidement. Le diagnostic du diabète de type 2 est fréquemment identifié par hasard. Une prise de sang confirme le diagnostic.

Diabète de type 1 : symptômes et diagnostic

Les symptômes du diabète de type 1

Les symptômes du diabète de type 1 apparaissent brutalement, en quelques jours ou quelques semaines. Les principaux signes caractéristiques de l’

sont :

  • une augmentation du besoin d’uriner, qui devient fréquent et survient nuit et jour, avec des urines abondantes (polyurie) ;
  • une augmentation de la soif (polydipsie) ;
  • une perte de poids malgré un appétit qui augmente ;
  • une fatigue importante ou une vision trouble.

Si le diabète n'est pas traité, d'autres signes apparaissent :

  • des nausées et des vomissements ;
  • une perte d'appétit ;
  • une somnolence ;
  • des troubles de la vue plus importants ;
  • un parfum fruité de l'haleine et une odeur anormale des urines dus à la production de corps cétoniques (substances issues de la dégradation des graisses dans l’organisme).

Quand doit-on suspecter un diabète chez le très jeune enfant ?

Soif importante, urines fréquentes, énurésie secondaire (« pipi » la nuit alors que l'enfant était déjà propre), fatigue, amaigrissement, douleurs abdominales, nausées, vomissements, infections cutanées récidivantes... sont des signes qui peuvent faire suspecter un diabète chez un jeune enfant. En présence de ces symptômes chez votre enfant, consultez rapidement votre médecin traitant.

Comment est posé le diagnostic du diabète de type 1 ?

Le diabète de type 1 est le plus souvent diagnostiqué en présence de symptômes ; il est rarement découvert au cours d'un bilan médical, pour un autre motif.

Le diagnostic de diabète est établi grâce à une prise de sang qui dose le taux de sucre (glycémie) dans le sang. Le diagnostic est posé lorsque :

  • la glycémie, à n'importe quel moment de la journée, est supérieure à 2 g/l en présence de symptômes ;
  • la glycémie à jeun est supérieure ou égale à 1,26 g/l, contrôlée à deux reprises en l'absence de symptômes.

Afin de confirmer le résultat du dosage de la glycémie à jeun, le médecin prescrit une seconde prise de sang.

Lorsque le diagnostic est posé, un bilan initial permettant le suivi médical du diabète est prescrit par votre médecin traitant ou un diabétologue :

  • un bilan sanguin : dosage de l’HbA1c, bilan lipidique, bilan de la fonction rénale ;
  • un bilan urinaire à la recherche d’une atteinte rénale ;
  • une consultation ophtalmologique.

D’autres examens peuvent être nécessaires selon chaque cas.

L'exonération du ticket modérateur

Le diabète de type 1 est reconnu affection de longue durée (ALD). Les examens et les soins en rapport avec cette pathologie sont pris en charge à 100 % (dans la limite des tarifs de l’Assurance Maladie). Parlez-en à votre médecin traitant.

Diabète de type 2 : symptômes et diagnostic

Diabète de type 2 : les symptômes sont tardifs

Le diabète de type 2 évolue souvent en silence (sans aucun symptôme) pendant plusieurs années, car la glycémie augmente très progressivement.

Le plus souvent, le diagnostic est fait par hasard, à l’occasion d’une analyse de sang ou lors d’un dépistage du diabète.

Des symptômes existent parfois et sont susceptibles de vous alerter. Ils peuvent apparaître progressivement, après plusieurs années d’évolution :

  • une augmentation du besoin d’uriner ;
  • une augmentation de la soif ;
  • une diminution du poids de manière inexpliquée alors que l’appétit augmente ;
  • une fatigue ;
  • des démangeaisons au niveau des organes génitaux ;
  • une cicatrisation très lente d’une plaie ;
  • une vision trouble ;
  • des infections plus fréquentes.

Parfois, une complication du diabète se manifeste en premier et va permettre le diagnostic.

Comment est posé le diagnostic du diabète de type 2 ?

Afin de diagnostiquer un diabète de type 2, une prise de sang réalisée à jeun est nécessaire. Elle permet de mesurer la glycémie. Pour que les résultats soient justes, il faut auparavant respecter un jeûne de 8 heures.

Le diagnostic est posé lorsque cette glycémie à jeun est égale ou supérieure à 1,26 g/l (ou 7 mmol/l) et est constatée à 2 reprises.

Une fois le diabète découvert, votre médecin traitant vous examine et demande plusieurs examens complémentaires.

L'examen clinique complet inclut :

  • la mesure du poids et de la taille ;
  • le calcul de l’indice de masse corporelle (IMC) ;
  • l'examen du cœur et des vaisseaux sanguins (prise des pouls et mesure de la tension artérielle) ;
  • l'examen neurologique...

Le bilan biologique comporte :

  • le dosage de l’hémoglobine glyquée (ou HbA1c), reflet de la glycémie sur les 3 derniers mois ;
  • le taux de graisses dans le sang (cholestérol, triglycérides…) ;
  • l'analyse de la fonction rénale...

Parmi les examens complémentaires :

L'exonération du ticket modérateur

Le diabète de type 2 est reconnu affection de longue durée (ALD). Les examens et les soins en rapport avec cette pathologie sont pris en charge à 100 % (dans la limite des tarifs de l’Assurance Maladie). Parlez-en à votre médecin traitant.

        

mercredi 1 février 2023

Agueusie : tout savoir sur la perte de goût

 

Paru sur passeport santé

Rédaction : Quentin Nicard  Journaliste scientifique 06 juillet 2022, à 14h53

L'agueusie désigne la perte de goût. Elle est aussi très souvent associée à une perte d’odorat, appelée « anosmie ». Quelle soit temporaire ou persistante, partielle ou totale, la privation de goût peut avoir de nombreuses origines.

 

Depuis la pandémie de la Covid-19, vous avez certainement entendu parler d'« agueusie ». L'agueusie est devenue plutôt célèbre, car elle désigne l'un des symptômes les plus fréquents de la Covid-19 : la perte de goût.

 

Mais quel est vraiment ce trouble olfactif qui vient affecter votre vie quotidienne ?

 

Qu’est-ce que l’agueusie, ou la perte de goût ?

 

L’agueusie est un trouble du goût caractérisé par la perte, la diminution ou l’absence du sens du goût.

 

Elle est due à une altération de différents récepteurs sensoriels, dont les papilles gustatives. Elle peut être considérée comme :

 

  • une agueusie totale lorsqu’elle est caractérisée par la perte de la perception des cinq saveurs : le sucré, le salé, l’amer, l’acide et l’umami ;
  • une agueusie partielle, aussi nommée hypoagueusie, lorsque la perte de goût concerne uniquement certaines saveurs.

Quelles sont les causes de l'agueusie ?

 

L’agueusie peut avoir de nombreuses explications mais est souvent associée à une anosmie, c’est-à-dire une perte de l’odorat.

 

C’est d’ailleurs pour cette raison que les professionnels de santé évoquent parfois le syndrome d’anosmie-agueusie.

 

Avec ou sans anosmie, une agueusie peut être causée par :

 

  • une lésion nerveuse, particulièrement au niveau du nerf glosso-pharyngien ;
  • une paralysie faciale ;
  • un traumatisme ;
  • une affection des voies respiratoires, notamment lors d’un rhume ou d’une pneumonie ;
  • l’inhalation de substances toxiques ;
  • le vieillissement, qui peut induire une altération des récepteurs sensoriels ;
  • le tabagisme ;
  • un cancer ;
  • les traitements du cancer (chimiothérapie et radiothérapie) ;
  • le diabète
  • la prise de certains médicaments dont certains inhibiteurs calciques, antiarythmiques, anti-épileptiques, chélateurs du cuivre ou de façon plus rare certains hypoglycémiants.

 

Quelles sont les conséquences d'une perte de sensibilité gustative ?

 

Si l’agueusie ne constitue pas un risque direct pour la santé, elle peut avoir des conséquences néfastes lorsqu’elle persiste.

 

Les troubles de l'odorat et du goût sont d'ailleurs des symptômes caractéristiques de la covid-19. Ces symptômes peuvent chez certaines personnes persister, pendant de longues semaines.

 

Sur le long terme, la perte de goût peut induire :

 

  • des troubles alimentaires, comme l'anorexie et la boulimie qui sont dus à l’absence de plaisir lors de la dégustation d’un plat ;
  • une sensation de mal-être, qui peut se manifester par une baisse de moral, d’intérêt et de motivation, et qui peut conduire dans les cas les plus graves à des troubles dépressifs, un repli sur soi et un isolement.
  •  

Enfin, l'agueusie avec anosmie constitue potentiellement un problème de sécurité. La perte de goût et d’odorat limite, voire empêche, la détection de certains signaux d’alerte, tels qu’un goût âcre dans la bouche ou une odeur de fumée.

 

Perte de goût : comment le retrouver ?


Diagnostiquer l’agueusie


Traiter l’agueusie dépend de l’origine de la perte de goût. Le diagnostic peut être réalisé par un médecin généraliste ou un oto-rhino-laryngologiste en cas d’agueusie avec anosmie. Pour confirmer ou approfondir un diagnostic, certaines analyses médicales peuvent être appliquées. Un examen d’électrogustométrie peut être effectué pour analyser l’origine de la perte du goût.

 

Traiter l’agueusie

 

Selon le diagnostic, plusieurs solutions peuvent être envisagées pour traiter ou limiter l’agueusie. Un traitement médicamenteux peut, par exemple, être prescrit lorsque le syndrome d’anosmie-agueusie est dû à une infection des voies respiratoires.

 

Les complications de la perte de goût peuvent également être limitées grâce à un travail d’apprentissage, de reconnaissance et de réhabilitation des aliments.

 

Plus de goût, plus d'odorat ? Pour cela, la rééducation olfactive existe. Retrouver le goût et l'odorat peut prendre du temps, mais plus on s'y prend tôt, meilleurs sont les résultats.

 

Prévenir l’agueusie

 

Il est possible de prévenir la survenue de certaines formes d’agueusie et d’anosmie en limitant certains facteurs de risque.

 

Il est notamment conseillé de :

 

  • éviter la consommation de tabac, arrêter de fumer ;
  • maintenir une alimentation saine et équilibrée.

        

dimanche 29 janvier 2023

Troubles olfactifs et diabète : un nouveau lien découvert

 

Sur passeport santé en accès totalement libre

Home / Actualités / Troubles olfactifs et diabète : un nouveau lien découvert

Troubles olfactifs et diabète : un nouveau lien découvert

Jan 22, 2016 / par Pierre M.

Des chercheurs de l’Institut Karolinska en Suède viennent d’identifier, chez des rats diabétiques de type 2, des altérations dans un groupe de neurones intervenant dans l’olfaction. Cette découverte pourrait expliquer pourquoi certains patients diabétiques de type 2 présentent des troubles olfactifs, et permettre le développement de nouvelles molécules thérapeutiques.

Home / Actualités / Troubles olfactifs et diabète : un nouveau lien découvert

Troubles olfactifs et diabète : un nouveau lien découvert

Jan 22, 2016 / par Pierre M.

Des chercheurs de l’Institut Karolinska en Suède viennent d’identifier, chez des rats diabétiques de type 2, des altérations dans un groupe de neurones intervenant dans l’olfaction. Cette découverte pourrait expliquer pourquoi certains patients diabétiques de type 2 présentent des troubles olfactifs, et permettre le développement de nouvelles molécules thérapeutiques.

 

Les liens entre diabète et maladie d’Alzheimer sont maintenant établis. Les conséquences du diabète sur l’élasticité des vaisseaux sanguins, et les troubles cardiaques associés au diabète de type 2 sont des facteurs de risques reconnus de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, les personnes diabétiques présentent davantage de risque de développer cette maladie neurodégénérative (3).

 

Un des symptômes de la maladie d’Alzheimer est une baisse de l’olfaction. Or, ce type de trouble est également fréquemment observé chez les patients diabétiques. En effet, des études cliniques ont montré que certains patients diabétiques présentent une augmentation du seuil de détection des odeurs, une diminution de la capacité à distinguer différentes odeurs et un risque plus grand de développer une anosmie (perte partielle ou totale de l’odorat) (4). Cette diminution des capacités olfactives pourraient donc être un marqueur précoce du développement d’une maladie neurodégénérative.

 

Par ailleurs, des recherches récentes montrent un rôle de l’insuline dans la modulation de la perception des odeurs (5). Dès lors, une résistance ou une déficience en insuline pourraient être des facteurs importants dans l’installation de ces troubles olfactifs.

 

Les neurones responsables de ces troubles n’étaient jusqu’alors pas identifiés. Dans cette étude, les chercheurs suédois, ont tout d’abord détecté une augmentation du stress cellulaire dans des neurones, appelés interneurones, situés dans le cortex rhinal des cerveaux de rats âgés diabétiques de type 2. Le cortex rhinal traite l’information nerveuse venant du bulbe olfactif, est a donc un rôle majeur dans l’interprétation des odeurs perçues.

 

Peut-on prévenir la dégénération de ces neurones ? Les expériences des chercheurs semblent l’indiquer. En effet, l’injection d’une molécule reproduisant l’effet du GLP1 (glucagon-like peptide 1), une hormone stimulant la production d’insuline, permet de contrer la dégénérescence de ces neurones.

 

Cette découverte ouvre ainsi la voie à la recherche et au développement de nouvelles molécules qui permettront de lutter contre l’installation des troubles olfactifs chez les personnes diabétiques.

        

mercredi 16 novembre 2022

Candidoses

Institut Pasteur

Les champignons (levures) du genre Candida peuvent provoquer des infections superficielles touchant les muqueuses et la peau et des infections viscérales : elles peuvent se limiter à un organe ou disséminer à travers l’organisme. Parmi les 200 espèces de Candida connues, une vingtaine est responsable d’infections humaines. Les levures Candida sont souvent responsables d’infections graves, survenant dans un contexte nosocomial.

Candidoses cutanées et muqueuses

 

Les infections de la peau et des muqueuses peuvent se produire aussi bien chez des sujets sains que chez des individus immunodéprimés. Elles sont principalement dues à des modifications de l’hydratation, du pH, des concentrations de nutriments ou de l’environnement microbien de la peau et des muqueuses. On connait désormais plusieurs déterminants de susceptibilité génétique dans les formes chroniques ou récidivantes. Les candidoses cutanées se développent dans les zones de transpiration, comme l’aine, les aisselles, les zones interdigitales, et sur les endroits brûlés ou écorchés. Les Candida peuvent infecter différentes muqueuses : la cavité buccale, la muqueuse vaginale et l’œsophage.

 

L’une des candidoses les plus connues touchant la cavité buccale est le muguet qui affecte fréquemment le nouveau-né, les patients traités par antibiotiques à large spectre et les personnes immunodéprimées, surtout celles atteintes du sida.

 

Les candidoses génitales ou vulvo-vaginites sont également fréquentes et dues dans 80% des cas à l’espèce Candida albicans. Elles ne sont pas considérées comme des maladies sexuellement transmissibles et peuvent être le signe d’un diabète. Les causes de récidives sont nombreuses : les médicaments (cures répétées d’antibiotiques), les œstrogènes, les corticoïdes et immunosuppresseurs, la contraception par stérilet ou diaphragme.

 

Les candidoses de l’œsophage enfin accompagnent souvent l’infection par le VIH. Elles nécessitent des traitements antifongiques dont les modalités et les durées sont adaptées à chaque situation, et font l’objet de recommandations internationales auxquelles participe le Centre National de Référence des Mycoses Invasives et Antifongiques.

 

Les candidoses systémiques

 

L’incidence des candidoses systémiques a augmenté en France au cours des dix dernières années. Les candidoses systémiques relèvent de deux mécanismes différents sur le plan physiopathologique. Elles peuvent en effet être la conséquence de contaminations nosocomiales « exogènes » souvent chez des patients ayant des cathéters intravasculaires (produits de perfusion, transmission manuportée). Elles peuvent aussi être consécutives au passage vers le sang et les organes profonds de levures ayant colonisé des sites digestifs et/ou génito-urinaires « endogènes ». Cet évènement est favorisé par la fragilisation des muqueuses après les chimiothérapies et par des traitements antibiotiques prolongés principalement chez les patients hospitalisés en réanimation, notamment chirurgicale mais aussi chez des patients neutropéniques (atteints de déficit en certains globules blancs, les neutrophiles).

 

Les facteurs de risque de candidoses systémiques sont nombreux : neutropénie prolongée, allo et autogreffe de moelle, corticothérapie, chirurgie digestive lourde, réanimation, prématurité, brûlures étendues, etc. Toutes les localisations peuvent se voir, en particulier les localisations rénales, valvulaires cardiaques.

 

Au plan épidémiologique, tous facteurs de risque confondus, l’espèce Candida albicans est responsable d’environ la moitié des infections. Viennent ensuite, en France, Candida glabrata, Candida parapsilosis et Candida tropicalis. Les autres espèces sont moins fréquentes et leur émergence dépend souvent d’écologies particulières. L’identification de certaines espèces peut modifier la prise en charge thérapeutique en raison de leur résistance intrinsèque à certains antifongiques.

 

Le diagnostic des candidoses systémiques s’appuie sur la notion de fièvre prolongée résistante aux traitements antibiotiques chez un patient à risque de candidémie. La positivité d’une hémoculture permet le diagnostic. Le traitement antifongique doit être systématique ainsi que le retrait des cathéters intravasculaires souvent colonisés. La mortalité reste voisine de 40%.

        

mardi 25 octobre 2022

Miction excessive ou fréquente

Par Geetha Maddukuri , MD, Saint Louis University

https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-r%C3%A9naux-et-des-voies-urinaires/sympt%C3%B4mes-des-troubles-du-rein-et-des-voies-urinaires/miction-excessive-ou-fr%C3%A9quente

Dernière révision totale mai 2021

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La plupart des personnes urinent 4 à 6 fois par jour environ, le plus souvent pendant la journée. Normalement, les adultes éliminent de 700 millilitres à 3 litres d’urine par jour. Une miction excessive peut signifier

·        Un volume accru d’urine (polyurie)

·        Un volume normal d’urine avec une nécessité d’uriner plus souvent (fréquence urinaire)

·        les deux.

La fréquence urinaire peut s’accompagner de la sensation d’une nécessité impérieuse d’uriner (urgence urinaire). En particulier, de nombreuses personnes remarquent une polyurie parce qu’elles doivent se lever pour uriner la nuit (nycturie). Une nycturie peut également survenir lorsque les personnes absorbent trop de liquides peu avant le coucher, même si elles ne boivent pas plus de la normale dans l’ensemble.

(Voir Présentation des symptômes des voies urinaires.)

Causes d’une miction excessive ou fréquente

Certaines des causes d’un volume accru d’urine diffèrent de celles d’une miction trop fréquente. Toutefois, du fait que de nombreuses personnes qui produisent des volumes excessifs d’urine ont également besoin d’uriner fréquemment, ces deux symptômes sont souvent considérés conjointement.

Les causes les plus courantes de la fréquence urinaire sont les suivantes

·        Infections de la vessie (cause la plus fréquente chez les femmes et les enfants)

·        Incontinence urinaire

·        Hypertrophie prostatique non cancéreuse (hyperplasie bénigne de la prostate, la cause la plus fréquente chez les hommes âgés de plus de 50 ans)

·        Calculs dans les voies urinaires

Les causes les plus fréquentes de polyurie à la fois chez les adultes et les enfants sont les suivantes

·        Diabète sucré non contrôlé (cause la plus fréquente)

·        Prise de boissons trop importante (polydipsie)

·        Diabète insipide

·        Prise de médicaments ou de substances diurétiques (augmentant l’excrétion d’urine), telles que l’alcool ou la caféine

Le diabète insipide provoque une polyurie du fait de troubles causés par une hormone dénommée l’hormone antidiurétique (ou vasopressine). L’hormone antidiurétique permet la réabsorption des liquides par les reins. Si la production d’hormone antidiurétique est insuffisante (une pathologie dénommée diabète insipide central) ou si les reins sont dans l’incapacité d’y répondre correctement (diabète insipide néphrogénique), les personnes urinent excessivement.

Les personnes atteintes de certains troubles rénaux (tels qu’une néphrite interstitielle ou des lésions rénales résultant d’une anémie falciforme) peuvent également uriner excessivement parce que ces troubles réduisent également le volume de liquide réabsorbé par les reins.

Évaluation d’une miction excessive ou fréquente

Un grand nombre de personnes sont gênées de s’entretenir avec leur médecin des troubles relatifs à la miction. Mais du fait que certains troubles provoquant une miction excessive sont très graves, les personnes qui urinent excessivement doivent consulter un médecin. Les informations suivantes aident les personnes à déterminer si une consultation médicale est nécessaire et elles les y prépareront le cas échéant.

Signes avant-coureurs

Chez les personnes urinant excessivement, certains symptômes et caractéristiques sont une source d’inquiétude. À savoir :

·        Faiblesse des jambes

·        Fièvre et douleur dorsale

·        Apparition soudaine ou apparition au cours des premières années de la vie

·        Sueurs nocturnes, toux et perte de poids, en particulier chez les personnes présentant de lourds antécédents de tabagisme

·        Trouble psychiatrique

Quand consulter un médecin

Les personnes présentant une faiblesse des jambes doivent consulter immédiatement à l’hôpital car elles peuvent présenter un trouble de la moelle épinière. Les personnes présentant fièvre et douleur dorsale doivent consulter un médecin dans la journée car elles peuvent être atteintes d’une infection rénale. Les personnes présentant d’autres signes avant-coureurs doivent consulter un médecin dans un délai d’un jour ou deux. Les personnes ne présentant pas de signes avant-coureurs devront prendre rendez-vous chez un médecin dès que cela leur est possible, généralement dans un délai de quelques jours à une semaine plus tard, bien que le fait d’attendre plus longtemps soit généralement sans danger si les symptômes se sont développés sur plusieurs semaines ou plus et s’ils sont légers.

Que fait le médecin

Les médecins posent d’abord des questions sur les symptômes et les antécédents médicaux de la personne puis procèdent à un examen clinique. Les observations faites par les médecins pendant le relevé des antécédents et l’examen clinique les aiguillent souvent sur la cause des mictions excessives et les examens complémentaires à réaliser le cas échéant (voir le tableau Quelques causes et caractéristiques des mictions excessives).

Les médecins posent des questions concernant

·        Quantités de liquides absorbées et urinées afin de déterminer si le problème est lié à la fréquence urinaire ou à une polyurie

·        Depuis combien de temps les symptômes sont présents

·        Si d’autres problèmes liés à la miction sont présents

·        Si la personne prend des diurétiques (médicaments et autres substances qui augmentent la production d’urine), y compris des boissons contenant de la caféine

Certains résultats évidents peuvent fournir des indices quant à la cause de la miction fréquente. Une sensation de douleur ou de brûlure à la miction, de la fièvre et une douleur dorsale ou costale peuvent être les signes d’une infection. Chez les personnes qui absorbent de grandes quantités de boissons contenant de la caféine ou qui ont juste débuté un traitement par un diurétique, la substance diurétique est susceptible de constituer une cause. Les hommes souffrant d’autres problèmes de miction, comme des difficultés à débuter la miction, un faible débit urinaire et des pertes urinaires post-mictionnelles, peuvent présenter un trouble de la prostate.

Certains résultats évidents peuvent également fournir des indices quant à la cause de la polyurie. Par exemple, une polyurie se manifestant dans les premières années de la vie est susceptible d’être causée par un trouble héréditaire tel que le diabète insipide central ou néphrogénique ou un diabète sucré de type 1.

Chez les femmes, l’examen clinique comprend généralement un examen pelvien et le prélèvement d’échantillons de liquide cervical et vaginal, aux fins de dépistage d’infections sexuellement transmissibles. Chez les hommes, le pénis est examiné pour dépister la présence d’un écoulement et les médecins pratiquent un toucher rectal afin de contrôler la prostate.

Examens

Les médecins pratiquent une analyse d’urine et souvent une mise en culture d’urine chez la plupart des personnes. La nécessité d’autres examens dépend de ce que les médecins auront trouvé lors du relevé des antécédents et au cours de l’examen clinique (voir le tableau Quelques causes et caractéristiques des mictions excessives). Si les médecins ne sont pas sûrs que les personnes produisent réellement plus d’urine que la normale, ils peuvent collecter et mesurer le volume d’urine produit pendant 24 heures. Si les personnes souffrent réellement de polyurie, les médecins mesurent la glycémie. Si le diabète sucré n’est pas la cause de la polyurie et si aucune autre cause, telle qu’un excès de liquide intraveineux, n’en est clairement responsable, d’autres examens s’avéreront nécessaires. Les taux d’électrolytes et la concentration de certains sels (osmolarité) sont mesurés dans le sang des personnes, dans leur urine, ou dans les deux, souvent après une privation d’eau pendant un certain temps, suivie de l’administration d’hormone antidiurétique.

Traitement de la miction excessive ou fréquente

La meilleure manière de traiter une miction excessive est de traiter le trouble sous-jacent. Par exemple, le diabète sucré est traité par un régime alimentaire et de l’exercice physique plus des injections d’insuline et/ou des médicaments par voie orale. Dans certains cas, les personnes peuvent réduire une miction excessive en réduisant leur consommation de café ou d’alcool. Chez les personnes dont le sommeil est perturbé parce qu’elles doivent se réveiller pour uriner (nycturie), il peut être nécessaire de réduire la consommation de boissons avant le coucher.

Les enfants qui présentent une énurésie nocturne (pipi au lit) peuvent également être pris en charge par une thérapie de motivation, dans laquelle ils sont récompensés pour la pratique de comportements qui réduisent l’énurésie nocturne (par exemple, avec des autocollants sur un calendrier rappelant d’aller aux toilettes avant d’aller se coucher). Si la thérapie de motivation ne fonctionne pas, des alarmes rappelant la nécessité d’uriner peuvent alors être essayées. En cas d’échec des autres mesures, les médecins peuvent prescrire de la desmopressine par voie orale pour contrôler la soif et la miction excessives

Les médecins peuvent régler la posologie des diurétiques qui contribuent à une miction excessive. Les adultes atteints de nycturie peuvent être traités par des myorelaxants vésicaux et des médicaments pour prévenir les spasmes vésicaux. Les cas résistants peuvent également être traités avec de la desmopressine.

Aspects essentiels concernant les personnes âgées

Les hommes âgés urinent souvent fréquemment parce que le volume de la prostate augmente avec l’âge (hyperplasie prostatique bénigne). Chez les femmes âgées, une miction fréquente est également plus courante du fait de nombreux facteurs, tels que l’affaiblissement des tissus de soutien pelvien après l’accouchement et la diminution des œstrogènes après la ménopause. Les personnes âgées des deux sexes sont plus susceptibles de prendre des diurétiques, de telle sorte que ces médicaments peuvent contribuer à une miction excessive. Les personnes âgées présentant une miction excessive ont souvent besoin d’uriner la nuit (nycturie). La nycturie peut contribuer à l’augmentation des troubles du sommeil et des chutes, en particulier si les personnes se dépêchent d’aller aux toilettes ou si la zone n’est pas bien éclairée. Les traitements ciblant l’hyperplasie prostatique bénigne incluent des médicaments par voie orale et la chirurgie dans certains cas.

Points clés

·        Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants.

·        Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie.

·        L’hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.

·        Une absorption excessive de caféine peut provoquer une fréquence urinaire chez tout le monde.