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mercredi 17 juillet 2024

PAS EN MON NOM

 


Certains visiteurs en les lisant, font réapparaitre quelques uns de mes vieux écrits...

J'ai apprécié de relire mon texte du 29 septembre 2014 qui exprime tout ce que je suis et ce que je pense :

PAS EN MON NOM

 

 

mercredi 22 mai 2024

Les larmes de la vie

 
 

 
Écrit le 15 mai 2008

Les larmes de la vie rouges du sang de la mort, sèchent au sol de mon désespoir. Où est la si douce jeune fleur, compagne de l’oubli, qui était comme amie que je n’aurais pas eu ?
Elle si attachante, à l’orée de ma nuit, est partie pour toujours sans un dernier regard.
A l’aube de sa vie est une étrange histoire, que mon cœur ne sait pas, mais qu’il a bien compris. La vie me quitte, par mon corps et mon cœur et les larmes de sang inondent mes matins. Je sais une douce amitié, qui à elle me lie, torturée par l’absence au silence de mort.
La noirceur du jour, ténèbres de la nuit, ne guident plus mes pas, à l’errante destinée.
Je m’arrache les poings aux murs sombres qui m’enserrent, mais il n’est pas d’issue pour la retrouver. Les aurores de nuit, aux déchirantes heures, s’écoulent comme le sang qui s’enfuit de mon cœur.
 
Ma petite fille qui m'aimait tant, je t'aime encore et pour toujours.
        

mardi 21 mai 2024

Rédaction : « Racontez une escroquerie subie et digressez vers des généralisations »

 

 
Écrit le 30 avril 2014


Ça y est ! J’ai trouvé aujourd’hui une assurance (une mutuelle) qui assure toutes les conséquences de ces travaux sans base légale que l’on va nous imposer par la seule volonté de l'élu municipal en chef, toujours empressé pour la quête des dessous de table…

Nous citoyens, allons payer avec les augmentations de nos impôts locaux, la rénovation du réseau d’eau potable, qui permettra à la commune de mettre sous affermage (sous concession) la distribution d’eau, qui va procurer des bénéfices monstrueux pour des multinationales, des pots de vins pour ces traitres-élus qui ne défendent pas l’intérêt de l’abonné-électeur. Nous allons subir les augmentations exponentielles du tarif de l’eau et aurons la « chance » de payer une extension d’assurance jusqu’au compteur en espace public…

Triple peine pour les citoyens, véritables vaches à lait de l’état, des multinationales, des assurances et maintenant de la commune… Enfin bref, de toutes les pompes à fric, qui sont en train de vider notre pays de sa substance, pendant que Flamby se demande comment ne pas déplaire à la grosse Merkel et comment raboter tout le monde sans déplaire aux nantis, aux pompeurs de fric, aux "évasionistes" fiscaux, aux spéculateurs de tous poils…

Quelle digression !... C’est l’âge. Il est vrai qu’au CM2 j’aurais eu zéro, mais, privilège de l’âge et de mon affranchissement des maîtres d’écoles ou prétendus tels, je choisis le sujet que je veux avec les digressions que je veux. (Ainsi je me donne le droit d'écrire le sujet de ma dissertation après en avoir formalisé le contenu)...

Le sujet était donc :
« Racontez une escroquerie subie personnellement et digressez vers des généralisations »

Zéro sur vingt à ma dissert. Mais 20/20 à ma quête de contrat d’assurance et à l’optimisation réalisée ce jour, dans le cadre de la réduction de mon déficit budgétaire actuellement de 9%… (Y'a pas que l'état qui soit dans la merde !).

Alors (nouvelle digression), lors de la réunion en mairie (si elle a lieu, parce que la parole de pute du maire, je n'y crois guère), l’argument final que je balancerai sera « puisque nous déboursons un complément d’assurance de votre fait, indemnisez-nous par une baisse de tarif de l’eau ou de la location du compteur a due concurrence »…

Je connais d’ailleurs le résultat d’avance, étant donné que tous les voisins se sont défilés et se défileront : Ce ne sera qu’un baroud d’honneur sans résultat…

Alors, (digression), quand j’invoque une révolution, avec des conauds pareils, aussi dégonflés qu’ils sont serviles… je sais qu’elle est impossible.

C'est le pays de la perpétuation féodale :
-Je vais t’enfiler à sec, esclave !
-Bien not’Maître, merci not’Maître …

La résistance est peut-être à Carhaix dans le réduit Breton chez les bonnets rouges. Tant pis s’ils sont un peu Poujadistes ! Après tout, la révolution Française n’a-t-elle pas été enflammée par les artisans et commerçants de la petits bourgeoisie ?

Bon, ce soir j’en ai plein le c... GRRRRRRRR !!!
    

mercredi 13 mars 2024

Une explosion de bonheur (2)



Ecrit le 30 août 2015

Nous sommes fin août 2015.
Mon fils cadet a commencé son travail dans le " Nooooord ", le 1er Juillet. Une semaine et demie à jouer l’esclave de la machine qui va très vite et qui demande à manger en permanence. Hôtel payé par le patron
Crises de colères dans l’atelier du genre « Qu’est-ce que je fous là ? C’est bien la peine d’avoir fait autant d’études ! », heureusement couvertes par le bruit des machines…
Mais malgré tout, ses colères sont entourées d'une envie de s'obstiner et non d'abandonner...

Puis deux semaines en Allemagne pour être formé aux nouvelles machines… Hôtel payé par le patron. Tranquillos, à l’aise Blaise, michto bennez !

Puis, affectation depuis la dernière semaine de juillet dans son usine, avec deux autres gus. Manque de pot, le retard des travaux de construction, de l’installation technique, des réglages, fait que le client a retiré des pièces livrées, pour les usiner lui-même…

Or, sans pièces, pas de réglage possible et sans réglage, pas de pièces…

Comment va se terminer cette affaire ? Déjà deux jours à la maison au mois d’août (certainement non payés)…
Déjà 24 jours de trajets, parce qu’il n’a pas pris le risque de chercher un studio (il est en période d’essai, oui, mais il est le seul de l'équipe à se taper 150 bornes par jour…) et parce qu’il n’ose pas demander un créneau libre à cause de ses horaires au jour le jour (Difficile de prendre un rendez-vous dans ces cas-là ; il faudrait peut-être qu’il ait des c……. au c..)…

Toto a changé ! Il est rebelle et taciturne comme un adolescent… Enfin, il y a quand même un progrès : il est moins enfant, mais pas encore un adulte dans sa tête…

Je m’implique un maximum pour lui chercher des logements, j’en ai trouvé 6, mais au-delà, je ne sais pas faire : C’est à lui qu’il faut que cela plaise, c’est à lui de visiter (même si je suis prêt à le conseiller en la matière, à sa demande)… C’est un homme et je lui laisse prendre ses responsabilités.
En fait c’est un petit homme qui se comporte sur certaines choses comme un enfant.

Quand je pense qu’à seize ans je me démerdais seul pour mes démarches, n’ayant recours à mes parents que pour les documents ou autorisations que seuls eux détenaient…

Enfin, il s’endurcit, même s’il ne fait pas toujours les bons choix dans ses décisions…

Les bons conseils sont ceux que l’on donne, mais jamais ceux que l’on reçoit, c’est en cela que je vis sa période d’adolescence attardé…

On est là pour toi, mon bonhomme, mais on s’efface, pour que tu t’affirmes…
          

mardi 12 mars 2024

Une explosion de bonheur


 
Écrit le 11 juin 2015 à 19h53
 
C’était le 21 mai. Je l’avais emmené dans ce pays du Nord, ce " Nooooord " que décrit Galabru dans " Bienvenue chez les Chtis ".
Comment exprimer combien nous avons été étonnés de l'hospitalité et de la chaleur humaine dans le bistrot de cette petite agglomération nommée Gouzeaucourt ? Tous les gens nous avaient serrés la main, sans nous connaitre, tout le monde disait bonjour et au-revoir, comme nous le faisions nous-mêmes… C’était un rêve éveillé. Tout l’opposé de la région féodale où nous avons le malheur d’habiter. Quand une personne nous serre la main par chez nous, on dit qu’il doit être simplet ; quant à la politesse, elle n’existe pas… Alors que là-bas, dans le " Noooord ", c’est la politesse, le respect, l’humanité vraie et sincère que nous rencontrions et concernant mon fils, c'était certainement la première fois.…

Toto était ensuite allé à son entretien. Je l’avais attendu fébrilement dans la voiture, dédaignant même d’aller me baguenauder pour me changer les idées dans le magasin Aldi, dont j’occupais une place de parking. Je suis resté à l’attendre et j’ai beaucoup pensé à mon fiston, à cette chance qu’il ne devait pas louper. Mon pauvre grand bonhomme aux idées suicidaires. J’étais comme en symbiose, espérant que questions et réponses, motivations et appréciations seraient favorables : " Pourvu qu'il réponde ceci, pourvu que...".
………………..
Puis il y a eu cet appel du 9 juin, espéré, attendu dans l’angoisse, depuis trois semaines, mais aussi depuis quatre ans…

Il a été retenu. Cela faisait quatre années sans travail, quatre années qu'il cherchait le précieux emploi sans rien trouver ! Il a envoyé les éléments demandés pour la déclaration préalable à l’embauche. Stage dans le nord peut-être, d'ici quelques semaines, puis stage spécifique en Allemagne, puis Boulot en principe en province, dans un bâtiment industriel qui est en train de se construire… Et puis même si c’était ailleurs, qu’importe…

Il n’y a plus qu’à attendre…

Mon Toto est beaucoup mieux dans sa tête ; cela se voit au premier coup d’œil… Quant à mon stress, il est passé de 2,5/3 à 1,5/3… Je vais beaucoup mieux. Moi aussi je vais pouvoir me reconstruire un peu.
J’avais tant de désespoir, je portais en moi tant de responsabilité d’avoir donné le jour à trois malheureux exclus de la mondialisation et du droit à vivre, sans pouvoir rien y faire…
Certes, c’est une place d’ouvrier, mais aucun travail n’est déshonorant et surtout le travail est une denrée si rare ! Le travail donne sa noblesse à l’homme, sa raison de vivre.
Mon fiston va pouvoir commencer à se fixer des objectifs et enfin vivre sa vie, comme tous ses camarades de la région où nous habitons.

Il aura conquis son travail sans piston et sans le réseau mafieux de notre région pourrie, dont il est exclu, parce que son père n'est pas du sérail… Quant à ses « amis » dont je dis qu’ils sont des faux-amis, parce qu’ils se délectent de ses déboires en comparant leurs situations à la sienne, il pourra leur faire un bras d’honneur. Du moins, c'est ce que j'aurais fait, à sa place...

Je sais qu'il ne le fera pas... Il est si naïf et si gentil...

Enfin un nuage se déchire et laisse place au soleil de l’espoir.
        

dimanche 10 mars 2024

Mémoires et radotages (537) – Vivons-nous encore en "société" ?


 

Écrit le Vendredi 27 décembre 2013 réédité le 10 mars 2024 parce que c’est toujours d’actualité et même de plus en plus :

J'entre dans la pharmacie en disant "M'sieurs-dames !"... Pas de réponse !

J'attends mon tour derrière une grosse dame suivie d'une petite vieille toute penchée qui se raccroche à son caddie et à sa canne...

Arrive un couple qui se met derrière un des points d'accueil des cinq pharmaciennes, s'apprêtant à passer ainsi  devant les trois clients, dont je fais partie, quand le client actuel sera servi. Je m'apprête à bondir pour les en empêcher le cas échéant...

D'autres clients entrent. Je le sais parce que je me suis retourné, aucun "bonjour" n'étant venu troubler  l'ambiance feutrée...

Puis, vient le tour de la petite vieille toute recroquevillée qui est avant moi. Le couple se met en mouvement vers le comptoir qui vient de se libérer (sans "au revoir" de qui que ce soit), comptant bien passer devant la petite vieille. Je pointe mon doigt vers le couple et de ma voix la plus forte, accompagnée de ma mine la plus patibulaire, je leur lance "La queue, c'est par ici !" indiquant d'un geste qu'ils devaient se placer derrière moi. Ma phrase a réveillé la petite vieille qui  va prendre sa place, tandis que le couple de trou-du-culs, comme frappé par mon anathème, se transforme en statues de sel...

Un employé de la livraison expresse de médocs entre alors et dit "Bonjour Messieurs-Dames !". Surpris, n'ayant pas eu le temps d'analyser le nombre ni le genre, je suis le seul à répondre "Bonjour !". Puis, quelques instants après, en repartant il lance "Bonne journée Messieurs-Dames !". Dans l'indifférence générale, je dis "R'voir M'sieur !".

Ensuite je contre une tentative de débordement sur la droite par un grand sifflet quinquagénaire et connard-génaire à la fois, en faisant un pas du même coté. Il se résigne alors à son sort...

Enfin, c'est mon tour. Je dis "Bonjour Madame" à la pharmacienne qui vient de se libérer, sans que sa cliente précédente n'ait rien dit en partant (probablement une muette comme les autres). Je remets à la dame en blouse blanche mon sac de médocs périmés et quelques mots après je lui dis "Bonne journée !". Elle me répond la même chose. En sortant je lance "M'sieur-Dames !" sans aucun écho d'ailleurs et en passant près du couple je leur signifie qu'ils viennent de se faire doubler (par le connard-génaire qui s'était rabattu derrière moi).  Regards de bœufs morts... Les ai-je momifiés par mes ondes sonores ? Bien fait pour leurs gueules !

Moralité... Faut-il vraiment donner une morale comme dans une fable de la Fontaine ? Je ne sais pas. C'est tellement évident, tellement gros, tellement effarant !

Les gens tentent de doubler les autres, de resquiller, c'est déjà fumier ! Mais surtout plus personne ne dit bonjour ni au-revoir chez les commerçants.

Il n'y a plus de respect, il n'y a plus de politesse, il n'y a plus de savoir-vivre ! Vivons-nous encore en société ? Sommes-nous des êtres sociaux ?

Ce sont des gens, tous adultes, et presque tous d'un âge respectable. Aucun, exceptés le livreur, les pharmaciennes et moi ne sait dire de formules de politesse. (J'espère que la politesse du livreur et des pharmaciennes n'est pas que commerciale)...

Et ce sont les mêmes gens qui se plaignent de l'insécurité, des voyous, des" cailleras" !

Ces gens sans aucun respect (à part pour leur propre gueule) doivent probablement ne rien enseigner à leurs enfants, (à part peut-être le mode d'emploi pour amasser le pognon) et ils voudraient que la société les respecte ???

Comment apprécier la vie dans une société devenue aussi vile, malsaine, écœurante ? 

Je dois le respect à priori aux gens que je ne connais pas !

Par la suite, quand j'apprends à connaître les gens, mon respect, je le leur manifeste, si et seulement si, ils le méritent.

           

jeudi 7 mars 2024

Réhabilitons la quenelle

 

Écrit le 30 décembre 2013, complété le 18 octobre 2021.
 
Les quenelles sont des spécialités culinaires de plusieurs régions de France, dont les plus célèbres sont la quenelle Lyonnaise et la quenelle de Nantua.

  J’ois (ou bien j'ai ouï, c'est plus audible) par-ci par là, des propos tendant à diaboliser la quenelle. Quels sont ces anti-gastronomes se permettant de déblatérer sur un mets si délicieux et si économique ? J'entends bien réhabiliter ces merveilleuses quenelles de brochet, de veau, d'écrevisse accompagnées d'une goûteuse sauce Nantua... 

J'enquête alors illico sur ces blasphèmes gastronomiques... J'apprends qu'un geste porte désormais le nom de quenelle.

Ce geste m'est de plus, totalement familier : Je l'ai pratiqué de tous temps ainsi que mon père et bon nombre de mes amis, pour signifier "jusque là", quand on évoque certains sans-gênes, à qui nous donnons le doigt et nous prennent jusqu'à l'épaule... Et pourquoi cette gestuelle devrait-elle être prohibée ? Sous quel motif ?

J'avoue qu'il m'arrive de me gratter parfois les roustons (à travers le pantalon quand même, restons corrects) et même si le geste est quelque peu cavalier, j'espère qu'il ne viendrait à l'idée de personne de l'interdire... Alors pourquoi interdire ce geste nommé désormais 'quenelle' ? Au risque de jeter l'anathème sur un plat délicieux et de porter préjudice à nos grands chefs ? 

Ahhh ! J'ai compris ! Ca serait parce que ce geste a été pratiqué par quelqu'un qui est anti-sioniste ! 

Alors j'essaye de comprendre : Le sionisme c'est la shoah à l'envers, c'est à dire que ce sont certains juifs qui font à une autre ethnie un peu de ce que leurs propres ancêtres ont subi sous le régime Nazi...

Donc pour moi, le sionisme, c'est 'mal' et partant, l'anti-sionnisme ça devrait être 'bien', non ?

Donc on diabolise le 'bien' ainsi que le 'bien-manger' en même temps ?

On n'arrête pas le progrès... Dans la connerie...

Ce ne sont ni des mots ni des gestes qui doivent être diabolisés, ce sont éventuellement des idées exprimées complètement si elles sont causes de troubles à l'ordre public.

Mais on continue en France à ériger en imprécation des mots sortis de leur contexte (comme 'race' il y a quelques mois) et maintenant des gestes.
Tristes tribunaux d'une nouvelle inquisition, avides  de censure et de sensation...


Moralité : Je suis désolé, le mot quenelle et le geste signifiant "jusque là", n'appartiennent nullement à Dieudonné. Seules ses idées et ses diatribes lui appartiennent !
 
Deuxième moralité : Tout le monde ne donne pas le même sens aux mots. Exemple : Le sieur Zemmour met une frontière entre Islamisme et islam d'un côté et Musulmans  de l'autre côté...
Ses adversaires mettent Islamisme d'un coté, Islam et Musulmans de l'autre...
En fait ils devraient être d'accord, car l'islam des uns est considéré comme une religion de paix, des lumières et presque athéiste... Alors que, pour Zemmour, il s'agit d'Islamisme (sous-entendu radical, intolérant, djihadiste, voire terroriste).
Zemmour et ses contradicteurs sont bien d'accord sur le contenu d'islamisme ainsi que sur celui de musulmans... C'est la frontière entre les deux (le mot Islam) qui fait un tel grand débat...
 
Quelle valeur donner aux mots ? C'est le grand problème.
 
Troisième morale : Diaboliser, c'est s'emparer de n'importe quelle élément de langage, voire de geste, comme c'est le présent cas, de l'isoler du reste du signifiant auquel il appartient et l'ériger en mal absolu, sans aucune explication rationnelle.
Et ensuite c'est coller ces post-it sur une personne que l'on diabolise ainsi, tel un jugement sans défense !!!
    

vendredi 12 janvier 2024

Violente agression antisémite en pleine journée à Paris

Écrit le 13 août 2020

" Violente agression antisémite en pleine journée à Paris "

https://fr.news.yahoo.com/sale-juif-violente-agression-antisemite-paris-093548263.html


C'est un exemple parmi d'autres !

Est-il normal que nous, juifs, catholiques, chrétiens, occidentaux en général, soyons de plus en plus la cible des nouveaux terroristes islamo-gauchistes ?
Est-il normal que les peines ne soient pas exemplaires ?
Est-il normal que le laxisme soit la règle alors que nous avons tous les moyens de mettre au pas ces malfaisants, en les incarcérant,  puis éventuellement en les expulsant après déchéance de nationalité ?

Jusqu'à il y a un mois, nos dirigeants niaient les évidences.

Maintenant, ils les reconnaissent et donnent de beaux discours pour dénoncer ces faits, avec des trémolos dans la voix...

Combien faudra-t-il encore de temps pour que ces paroles donnent naissance à des actions fortes pour faire régner l'ordre et le respect et pour punir fermement les délinquants et criminels de tous poils ???
 
Note de zalandeau du 12/01/2024 : Depuis, ces violences racistes anti-blanc ont progressé d'une manière fulgurante ! Et qu'a fait le régime totalitaire Macronien ? Rien ! Il faut qu'il garde la racaille comme alliée !!!

Hier, la petite sympathie que j'avais pour Attal, l'ancien ministre de l'éducation, s'est transformée en défiance totale, depuis qu'il a en tant que premier ministre, désigné ses ministres ! En effet, il garde Moretti, Darmanin et Le Maire dans leurs fonctions... Je ne peux imaginer une seule seconde que ces trois ministres changeront de politique pour contenter l'opinion publique Française ! C'est donc de volonté délibérée que la situation actuelle ne cessera d'empirer !
Nous continuerons donc à subir la violence, le laxisme, le désordre, la présomption de culpabilité des flics, la sévérité contre les justiciables "normaux", et l'accaparation de l'argent des Français pour financer nos envahisseurs...
    

dimanche 17 décembre 2023

Albums de photos - La course des enfants



Ça n'est pas sur les photos, puisque cela se passait avant les téléphones mobiles, mais c'est dans ma tête jusqu'à ma mort...

C'était du bonheur à l'état pur, mais qui est passé si vite... Trop vite... Comme un rêve...
        

dimanche 14 mai 2023

Mémoires et radotages (476) – Le ressort est cassé (Réédition)


Écrit le 11 février 2013

C'était hier matin, je crois.
Elle m'a demandé :"Tu m'aimes ?"...
Long silence... Elle me l'a redemandé deux autres fois... Deux autres longs silences...

Que pouvais-je répondre ? "Mais oui, mais oui, c'est cela"... Mais je n'aurais pas eu le ton, parce que j'aurais menti. Ou bien dire "Non", avec tous les éclats hystériques que cela aurait suscités... C'est pour ça que je me suis abstenu de répondre...

Depuis si longtemps, je l'ai avertie qu'il fallait qu'elle arrête, que j'en avais marre, qu'un jour je ne supporterai plus ses scènes...

C'est à l'occasion de cette dernière scène (samedi soir, je crois), que je me suis aperçu que mon amour pour elle était peut-être terminé. D'ailleurs quand elle me reprochait de ne pas m'inquiéter pour elle, qu'elle aurait pu être engloutie dans les congères (des congères... Tu parles !), j'ai pensé "si au moins ça pouvait être vrai, je serais débarrassé, libre et enfin tranquille"...
Je suis un monstre, mais ça ne me fait rien. Mais, aimer mon bourreau, c'est pas ma tasse de thé... Si au moins elle redevenait gentille quelque temps avant de me poser une telle question, peut être que j'aurais répondu positivement ! Je pense de plus en plus qu'elle doit être bipolaire... Ce n'est peut-être pas sa faute... Mais ce n'est pas supportable... Me maîtriser devient de plus en plus difficile...
Je devrais avoir honte, mais ça ne me fait rien.
Je me suis senti comme Meursault le personnage de Camus, dénué de chagrin, dénué d'amour. Étrange atmosphère. Étranger aux sentiments, je n'avais plus d'empathie, à part peut-être un peu de pitié pour elle, puisque je lui ai épargné la réponse négative... Et encore, ce n'est pas certain. C'est pour épargner ma tranquillité que je n'ai rien dit...

Avant je lui disais "je t'aime", parce que je l'aimais vraiment, alors qu'elle dédaignait mes déclarations et les rabaissait... Et bien maintenant, elle fera sans déclaration, parce que, pour le moment, je n'en ai plus rien à faire.
      

mardi 23 août 2022

Ces putains de Suédois…

Écrit le 14 mars 2015, complété le 8 novembre 2021
 
J'adore (façon de parler) la communication et le management sociétal sous le règne de l'UMPS (UMPS : 1970-2017 environ)… Au commencement était le socialope ! Le socialope : C'est une langue de bois hypocrite qui a fait violence à l'expression courante et s'est imposée, au besoin par la loi.
1er dogme : Tu ne nommeras point les choses ni les êtres ni les faits par leur nom !
2ème dogme : Les faits réels tu cacheras !
 
De fait, les UMP, ont emboité le pas des socialopes et nombre d'entre eux, dégonflés, préfèrent adopter le même système de comportement que les socialopes...
 
C'est ainsi que j'apprends chaque jour que « des jeunes » ont tué, pillé, violé, volé, torturé, commis des incivilités sans plus de détails. Ni les noms ni les prénoms ne sont cités. Les visages sont floutés. Ils encourent des peines souvent très minimes et non dissuasives, surtout quand elles ne sont pas appliquées, par laxisme, ou faute de moyens… C'est ce qu'on appelle la justice socialiste…
 
A chaque fois que ces faits sont commis. Je suis en rage contre ces jeunes. Il y a neuf chances sur dix que ce soit encore un coup de ces jeunes Suédois ou bien toute cette racaille scandinave, de blancs, blonds aux yeux bleus… Ils sont peu nombreux, mais on les laisse faire. On a peur des réactions des Scandinaves ! Ils sont sanguinaires et sans pitiés. Ne vous avisez pas de dire à un scandinave qu'il est scandinave : c'est une insulte ! C'est l'état qui l'a décrété !
Alors, l'état les laisse faire. Alors, l'état les encourage. Alors, l'état fait de la discrimination « positive », qu'il dit.
Alors, on les laisse venir chez nous et commettre tout ce qu'ils ont envie de commettre. Surtout, ne dites pas qu'il s'agit de Scandinaves, c'est interdit par la loi !
 
Mes enfants ne sont pas scandinaves. Alors eux, ils ne peuvent pas tirer à la sulfateuse sur des gendarmes qui les arrêtent pour un clignotant grillé, ou un contrôle de routine.
Ils ne peuvent pas, parce qu'ils ne sont pas protégés par les lois socialistes et aussi, parce que, nous, leurs parents, nous avons l'extrême bêtise, l'extrême faiblesse de leur inculquer le respect de la loi ainsi que les bonnes manières. On leur apprend à tendre l'autre joue aux coups des scandinaves, car sinon ils encourraient des châtiments exemplaires. « Tu ne feras pas aux scandinaves ce que eux peuvent faire ».
Car ce qui est permis à une minorité, n'est pas permis au citoyen ordinaire ! Le citoyen ordinaire doit se laisser dominer par le joug programmé d'auxiliaires suédois sous la protection du pouvoir… Et ces auxiliaires ont toutes facilités, toutes prébendes, tous privilèges d'intouchabilité, d'immunité, d'indulgence… Ils sont scandinaves, donc ils ont des excuses... C'est leur religion qui veut ça : Odin et Torr l'ont soi-disant ordonné : « Extermine les infidèles, au Walhalla tu iras ! ».
 
Le pire pour un scandinave, c'est de se laisser intégrer dans la société des serfs Gaulois. Il devient ainsi un citoyen ordinaire. Ils sont nombreux à le faire, d'ailleurs, à leurs dépends... Ils deviennent ainsi les féaux, les serfs, les souffre-douleurs des scandinaves sanguinaires. Ils n'osent pas réagir, honteux et tiraillés entre deux sociétés si différentes...
 
Ainsi est programmée la nouvelle féodalité, sorte d'esclavage intérieur, au pays du libéralisme forcené : Comment faire entendre raison à ces Gaulois irréductibles qui osent résister à la migration barbare d'outremer ? La solution a été prestement trouvée ; elle est mise en œuvre, mais le peuple fantôme ne réagit plus, pris entre les seigneurs du fric et le binôme insécurité-précarité .
 
Concurrence interne, silence général, autocensure. La violence scandinave est l'alliée des seigneurs d'aujourd'hui, pour faire marcher le troupeau panurgique vers son funeste destin…