2012
Ah ce que c'est bon ! Mes fils, quand ils étaient petits ! Des heures durant cet après-midi, j'étais plongé dans cet enchantement des photos du passé.
Souvent, la pensée de ces mêmes moments (y compris ceux qui ne sont pas gravés sur des images), me remplit de félicité. Je souris jusqu'aux oreilles, béatement. Les gens qui me voient, disent "il est cinglé l'gars". mais je m'en bats les couilles. Ces moments de refuges inviolables, roses, azur, ensoleillés m'aident à supporter le présent si terne, si brumeux, si gris, si sombre.
..........
J'étais en
déplacement et ne rentrais pas tous les soirs. Quand je rentrais le soir (et
encore pas trop tard, sinon ils étaient couchés), j'ouvrais la porte d'entrée.
Aussitôt, trois petits garçons, Nono, Toto et Kikson, faisaient la course pour être le premier, en
criant "Papa"... Chacun voulait être le premier, mais invariablement, c'était du plus petit au plus grand qu'arrivaient ces petites mines réjouies... Et j'avais droit à plein de bisous... Je les embrassais dans l'ordre : Le petit, puis le cadet, puis l'ainé ! Je suis certain que c'est mon Kikson qui avait initié cette précipitation vers leur Papa... S'en souviennent-ils ? Moi, si !!!
Ah ce que c'est bon ! Mes fils, quand ils étaient petits ! Des heures durant cet après-midi, j'étais plongé dans cet enchantement des photos du passé.
Souvent, la pensée de ces mêmes moments (y compris ceux qui ne sont pas gravés sur des images), me remplit de félicité. Je souris jusqu'aux oreilles, béatement. Les gens qui me voient, disent "il est cinglé l'gars". mais je m'en bats les couilles. Ces moments de refuges inviolables, roses, azur, ensoleillés m'aident à supporter le présent si terne, si brumeux, si gris, si sombre.
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J'étais en
déplacement et ne rentrais pas tous les soirs. Quand je rentrais le soir (et
encore pas trop tard, sinon ils étaient couchés), j'ouvrais la porte d'entrée.
Aussitôt, trois petits garçons, Nono, Toto et Kikson, faisaient la course pour être le premier, en
criant "Papa"... Chacun voulait être le premier, mais invariablement, c'était du plus petit au plus grand qu'arrivaient ces petites mines réjouies... Et j'avais droit à plein de bisous... Je les embrassais dans l'ordre : Le petit, puis le cadet, puis l'ainé ! Je suis certain que c'est mon Kikson qui avait initié cette précipitation vers leur Papa... S'en souviennent-ils ? Moi, si !!!
Ça n'est pas sur
les photos, puisque cela se passait avant les téléphones mobiles, mais c'est dans ma tête jusqu'à ma mort...
C'était du bonheur à l'état pur, mais qui est passé si vite... Trop vite... Comme un rêve...
C'était du bonheur à l'état pur, mais qui est passé si vite... Trop vite... Comme un rêve...
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