Dans
le désert de pierres,
qu’il
est dur de marcher.
On
enjambe on titube,
l’équilibre
est précaire.
Chaque
pas est souffrance,
les
chutes sont courantes
et
sur les angles vifs,
les
membres sont brisés.
………
Des
humains aux cœurs fiers,
sont
les seuls habitants,
à
l’abri des tueurs,
sans
âme et sans pitié.
……….
Les
assassins stoppés,
par
cette roche qui tue,
préfèrent
les tueries,
sans
risques, car le courage,
n’est
pas leur qualité.
Tuer
à dix contre un,
des
êtres en faiblesse,
est
un acte pour croire,
qu’ils
sont vraiment plus forts,
alors
qu’ils ne sont rien,
que
des larves visqueuses,
mais
que la société,
à
tort, a épargné.
Eux
n’épargnent personne,
leur
faiblesse est cruelle.
Mais
ils n’iront plus loin.
Ils
chercheront ailleurs,
quelque
butin facile,
quelque
gibet plaisant,
quelque
supplice très lent,
aux
douleurs succulentes,
des
endroits où tuer,
buchers
aux cris mourants,
odeurs
des chair qui brûlent.
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