Si beau comme le soir qui
descend…
Enchanté des sortilèges de
ta voix et de tes mots que je ne comprends pas mais que je ressens, je voudrais
rendre ta vie aussi douce que tu rends la mienne…
Je voudrais te faire
oublier ce passé de douleur et de souffrance…
Tu existes pour moi, rien
que pour moi.
Tu parles à mon cœur dans ce
ruisseau de mélodie.
Perles de notes, espoirs
cristallins d’un bonheur redescendu sur la terre, je ne veux pas bouger, de
peur de rompre le charme de cet instant magique…
Dans les arènes, à la
douce moiteur des lauriers et des fleurs de ce soir d’été, mon cœur s’est
transporté et j’écoute ta voix.
La nostalgie devient un
fruit de la passion, aux effluves de la brise marine.
Et c’est un doux moment
prolongé dans la nuit,
Aux rêves voluptueux de
tendresse infinie,
Que mon cœur, ce voleur,
prend et garde pour lui.
© zalandeau, le jeudi 6 août 2009
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