C'était un matin de 2009, François
Biroute était l’invité de France 2, où il ne s’est pas privé de
fustiger l’état Sarkozyen, sous le prétexte cette fois de la fusion de la
caisse d’épargne avec les banques populaires. Il critiqua, force détails à
l’appui, l’ingérence de l’état dans cette opération, (mise en place d’un proche
du pouvoir néomonarchique à la tête du nouveau groupe, etc…), prônant la
liberté pour ces établissements de se débrouiller seuls…
François
Beyrouth n’est pas à une contradiction près, puisqu’il souhaitait il y a peu un
interventionnisme de l’état plus puissant dans la crise…
Gageons,
que son ultralibéralisme (de la famille de pensée Madeliniste), est enclin à
l’aide publique accordée aux capitalistes sans contrepartie, mais que par
opposition forcenée au pouvoir en place, il est prêt à dire tout et son
contraire, du moment qu’il puisse critiquer…
Nous
aurions été infiniment plus intéressés, par l’exposé de ce qui n’est pas bon
dans le plan de fusions des deux organismes bancaires… Y aura-t-il perte du
statut coopératif des banques populaires ? Quels inconvénients pour les
intérêts des citoyens-clients de ces banques ? Autant de questions sans
réponses…
Il
est donc à conclure une nouvelle fois, que les intentions néolibérales du Modem
sont identiques à celles du pouvoir en place…
La
suite des aventures de François Biloute, (celui qui voulait être Vizir à la
place du Vizir), au prochain épisode…
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