Écrit le 18 02 2009
Mais quand l’agresseur montre avec impudeur et surtout bêtise, que son absence d’esprit n’a d’égal que la faiblesse de son vocabulaire, décochons notre plume et visons son point faible : sa cervelle…
Il
est tellement facile d’écrire des critiques dévastatrices, que l’exercice n’est
pas méritoire… Il est autrement plus complexe, d’équilibrer les arguments pour
ou contre quelque chose ou quelqu’un, plutôt que de savoir tremper sa plume
dans du vitriol. Alors pourquoi, certains éprouvent-ils l’envie maladive de
dire ou écrire du mal ?
Simplement
parce qu’est inscrit dans le caractère de chacun, cette faculté plus ou moins
grande de nuire aux autres…
Nous
l’avons vécu pendant l’occupation… Mais il faut bien se dire que de nos jours,
il y a autour de nous, la même proportion de nuisibles, prêts à calomnier, à
salir, à démolir…
Je
considère cette arme épistolaire ou journalistique, comme une défense, à
n’utiliser qu’en contre-attaque à d’ambitieux prédateurs, pour le moins…
imprudents…
Mais quand l’agresseur montre avec impudeur et surtout bêtise, que son absence d’esprit n’a d’égal que la faiblesse de son vocabulaire, décochons notre plume et visons son point faible : sa cervelle…
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