J’ai
fait ma petite marche à pied, ce matin.
Ah , si je pouvais transcrire tout ce qui m’est venu à la pensée. Mais
je pense beaucoup plus vite que je ne parle, et je parle beaucoup plus vite que
je n’écris.
En
passant j’ai acheté « Psychologies ». Je vais donc essayer d’apprendre la
différence de façon d’appréhender le monde, entre les hommes et les femmes.
Je
ne vais pas dire que du bien sur les femmes…
Il
n’est pas trop tard pour apprendre. Je viens d’apprendre qu’une femme peut
avoir ma sensibilité. Ai-je un coté féminin, ou est-ce l’inverse ?
Je
souhaite que les femmes aient leur place dans la société.
Mais
je conseille aux femmes de rester femme.
Exemple
: une femme-chef : Je suis entièrement pour. A condition, (et c’est valable
aussi pour les hommes) qu’elle manage son personnel avec souplesse en tenant
compte des spécificités et caractères de chaque individu. Le tort d’une
femme-chef est bien souvent de vouloir singer les hommes : elles veulent crier,
faire viril. C’est aussi pitoyable qu’un homme en train de singer la femme (
sauf Michel Serrault dans la cage aux folles, c’est très drôle !).
Que
les femmes restent femmes. Elles peuvent en imposer par leur compétence, leur
calme, leur sourire, leur intelligence…
La
« Royal » (Ségo) : au début, j’étais séduit et près éventuellement à lui
accorder ma voix, parce qu’elle avait un parler neuf, plus proche des gens…
Mais le temps passe : Je m’aperçois qu’elle « rase gratis », qu’elle promet
tout et son contraire, : comme un homme politique, hélas !
Il
est vrai que les femmes qui réussissent à « monter » en politique, ne le font
qu’avec l’accord de ces derniers. Les hommes pensent « celle-là elle est trop
gourde, elle n’est pas dangereuse pour moi, on va la laisser grimper un peu,
histoire de ne pas avoir l’air trop machos ». C’est la même chose chez les
hommes : un chef qui ne serait rien sans son entreprise, ne fait pas « grimper
» les jeunes qu’il trouve trop compétents, de peur que ceux-ci ne lui prennent
sa place.
Je
pense que la vraie intelligence en entreprise, c’est de découvrir et favoriser
les talents, dans l’intérêt de l’entreprise. Mais en politique ils sont machos.
D’ailleurs ils sont très préoccupés à faire des « conquêtes », le pouvoir
exacerbe la libido…
Donc
pour revenir à la politique, on aura des femmes compétentes, le jour où, soit
les hommes ne feront plus obstacle, soit les femmes feront semblant d’être «
gourdes », et dévoileront leur compétence une fois franchis les obstacles.
Pourquoi
les hommes sont-ils machos ? Ont-ils peur des femmes ? Est-ce un complexe
devant celles qui donnent la vie ?
La
femme-soldat : Là, je m’interroge… On a vu un reportage où des femmes
s’engageaient dans le 1er Bataillon de Parachutistes de Choc (dernier saut
opérationnel sur Dien Bien Phu en 54)…
On
le voit bien, elles ont du mal à faire des tractions sur les suspentes du
parachute, par exemple. Quand au mal au pied lors des marches, au problème de
la pause pipi, tout ça me laisse bien perplexe. Ajoutant qu’elles sont 3 ou 4
parmi 100 jeunes hommes aux appétits sexuels importants… De plus je trouve que
la femme-qui-donne-la-vie, devenant celle qui tue, n’est pas très rassurant. Il
est vrai qu’elles deviennent plutôt « infirmières-para »…
Je
salue quand même l’armée pour cette large ouverture d’esprit et surtout pour
toute la psychologie qu’il faut aux cadres pour gérer cela.
Par
contre la femme-hystérique : Attention danger !!! J’ai eu affaire à une d’entre
elles. Crise de nerfs, débit de reproches énorme sur un ton violent en 30
secondes ! Une paire de claques l’aurait calmée. Je me suis contenté de lui
dire que, ce que j’avais pu capter de son catalogue, elle aurait pu me le dire
gentiment, même avec le sourire, et que j’en aurai d’autant plus volontiers
tenu le plus grand compte à l’avenir… N’empêche, qu’elle aurait mérité une
paire de claques.
Mais
je me suis promis de ne jamais plus le faire. Oui parce que je l’ai fais étant
jeune (20 ans) : juste une claque (par jalousie). Elle s’est promenée avec le
cou de travers pendant six mois (j’aurais du lui en donner une 2ème dans
l’autre sens pour la redresser). J’en ai été mortifié pendant longtemps…
Depuis,
je n’ai plus tapé de femme et surtout je ne suis plus jaloux : C’est un
instinct très bas et vil…
Et
il n’y a pas lieu d’être fier.
Les
femmes il faut les respecter. Mais les femmes doivent aussi respecter les
hommes (je m’adresse aux petites hargneuses : gare aux baffes de ceux qui n’ont
pas pris conscience de leur force) !
A
ce sujet j’en viens aux violences faites aux femmes : c’est insupportable. Un
homme moyen est bien plus fort qu’une femme moyenne, donc il n’y a aucune
gloire à frapper quelqu’un de plus faible que soi. Bien souvent les femmes sont
victimes d’humanoïdes qui pensent être des hommes parce qu’ils tapent des femmes.
Ce sont les mêmes qui massacrent des civils, vieillards, femmes, enfants
pendant les guerres. C’est eux qu’il faudrait massacrer. Les rares fois où ils
sont jugés au tribunal, on devrait les condamner à être tabassés par des
boxeurs poids lourds très méchants. Là, ils verraient ce que c’est d’être
humilié dans leur chair…
Mesdames,
je verse une larme symbolique pour celles qui endurent ces minables…
Je
souhaite l’harmonie entre les hommes et les femmes.
Bonne
journée et même bonne année de la femme (tous les 8 mars). Comme ça c'est fait.
Je n'y reviendrai pas.
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