Il est parti le 3, il est revenu le 22, soit 19 jours d’absences.
Elle lui avait dit que son amour l’accompagnerait…
Certes, il pensait à elle, mais surtout il avait confiance et il était rassuré…
Alors pourquoi, quand il est revenu, débordant de mots d’amours, a-t-elle été si froide ?
Cela fait deux soirs, qu’elle ne lui saute plus au cou, qu’elle ne lui dit pas de mots d’amour…Elle ne boude pas, il le lui a demandé…
L’Amour d’une femme, voila son talon d’Achille. Dès qu’il en manque, il est désemparé.
Cela lui est aussi indispensable que manger, boire ou respirer… Même peut-être encore plus…
Elle ne lui en veut pas pour leur séparation…
Alors ? Pourquoi ?
Ce matin, il a voulu lui écrire un SMS sur Internet, mais comme son compte n’est pas nomade et qu’il n’a pas emporté son PC, il n’a pas pu l’envoyer. (Taper sur les touches du téléphone c’est long et énervant)… Alors il a abandonné…
Il lui écrivait : « Mon amour de ma vie, on dirait que tu ne m’aimes plus depuis deux jours. T’es-tu forcée depuis fin février ? Est-ce fini ? ».
Je crois que cette fois, il va faire une généralité de la gent féminine, même si c’est lui qui n’ait pas de chance !
Il comprend pourquoi tant d’hommes disent « les femmes sont juste bonnes à baiser et puis basta ».
Il s’est toujours donné entier à l’amour et il a toujours été le dernier à continuer d’aimer.
Il se résout à une comptabilité : « Je l’ai rencontré le 29 février, je crois, elle m’aurait aimé ou fait semblant, cinq semaines… Puis mes 19 jours de mission… Puis plus rien »…
Il avait l’impression d’être avec « l’autre », hier soir (les propos hargneux en moins)…
Lui, pendant 7 semaines et 5 jours, il était heureux, bien dans sa peau, équilibré…
Et là, maintenant, il est à nouveau dans le tourment, dans le manque, dans l’incomplet…
« Mais quelles sortes de monstres sont donc ces mammifères de sexe femelle ? »
Pourquoi a-t-il de la constance en amour ? Pourquoi toutes les femmes qu’il a rencontrées en ont-elles aussi peu ?
Malchance ? Est-ce que c’est de sa faute ? Est-il trop envahissant ?
« Bon ! », se dit-il. « Je vais encore continuer à la prendre dans mes bras ce soir… Mais j’avoue que s’il n’y a pas d’amélioration, je me résignerais à l’inévitable…
En Afghanistan, s’il a vu la fin de l'occident, par contre, il n’a pas vu la fin de l'amour de celle qu’il aime. Et pourtant, c’était si évident, si inévitable, si prévisible...
Elle lui avait dit que son amour l’accompagnerait…
Certes, il pensait à elle, mais surtout il avait confiance et il était rassuré…
Alors pourquoi, quand il est revenu, débordant de mots d’amours, a-t-elle été si froide ?
Cela fait deux soirs, qu’elle ne lui saute plus au cou, qu’elle ne lui dit pas de mots d’amour…Elle ne boude pas, il le lui a demandé…
L’Amour d’une femme, voila son talon d’Achille. Dès qu’il en manque, il est désemparé.
Cela lui est aussi indispensable que manger, boire ou respirer… Même peut-être encore plus…
Elle ne lui en veut pas pour leur séparation…
Alors ? Pourquoi ?
Ce matin, il a voulu lui écrire un SMS sur Internet, mais comme son compte n’est pas nomade et qu’il n’a pas emporté son PC, il n’a pas pu l’envoyer. (Taper sur les touches du téléphone c’est long et énervant)… Alors il a abandonné…
Il lui écrivait : « Mon amour de ma vie, on dirait que tu ne m’aimes plus depuis deux jours. T’es-tu forcée depuis fin février ? Est-ce fini ? ».
Je crois que cette fois, il va faire une généralité de la gent féminine, même si c’est lui qui n’ait pas de chance !
Il comprend pourquoi tant d’hommes disent « les femmes sont juste bonnes à baiser et puis basta ».
Il s’est toujours donné entier à l’amour et il a toujours été le dernier à continuer d’aimer.
Il se résout à une comptabilité : « Je l’ai rencontré le 29 février, je crois, elle m’aurait aimé ou fait semblant, cinq semaines… Puis mes 19 jours de mission… Puis plus rien »…
Il avait l’impression d’être avec « l’autre », hier soir (les propos hargneux en moins)…
Lui, pendant 7 semaines et 5 jours, il était heureux, bien dans sa peau, équilibré…
Et là, maintenant, il est à nouveau dans le tourment, dans le manque, dans l’incomplet…
« Mais quelles sortes de monstres sont donc ces mammifères de sexe femelle ? »
Pourquoi a-t-il de la constance en amour ? Pourquoi toutes les femmes qu’il a rencontrées en ont-elles aussi peu ?
Malchance ? Est-ce que c’est de sa faute ? Est-il trop envahissant ?
« Bon ! », se dit-il. « Je vais encore continuer à la prendre dans mes bras ce soir… Mais j’avoue que s’il n’y a pas d’amélioration, je me résignerais à l’inévitable…
En Afghanistan, s’il a vu la fin de l'occident, par contre, il n’a pas vu la fin de l'amour de celle qu’il aime. Et pourtant, c’était si évident, si inévitable, si prévisible...
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