Écrit le 19 avril 2009
Mais les Français perdent la mémoire rapidement. Qui vivra verra !
Ère Sarkozy. Rappel.
Quelque temps avant avril 2009, nul n’avait osé protester, cloué par la peur du monarque, qui, dans sa superbe, avait imposé aux médias une censure silencieuse…
Ce temps était bien révolu à cette date.
Le Président-voyou qui cyniquement avait perverti l’exercice démocratique de son mandat, mettant en place une oligarchie perverse et inique, attisa la colère sourde des masses populaires.
Plus il tentait de réprimer, plus il forçait le trait de sa mégalomanie, plus il montrait son vrai visage méprisant d’ultralibéral et plus la masse des Français perdit ses valeurs de considération de la légalité, de non-violence et de respect des « gens d’en haut »…
Comment expliquer autrement, que chaque jour des avocats se mirent à contester publiquement des décisions de justice, alors qu’avant, ils s’abstenaient de tout commentaire ?
Pourquoi, les médias osèrent-ils monter les signes ostentatoires des dénis de démocratie du fossoyeur de la république ?
Pourquoi, des particuliers, qui n’abordaient jamais les problèmes de politique, en dehors de la sphère privée, s’exprimèrent-ils, indignés, avec force, conviction et colère contre la dérive totalitaire d’un exécutif arrogant et dictateur ?
Quelle autre circonstance peut-elle expliquer, le discrédit du pouvoir, au point que les Français rejetassent toutes formes de pouvoir et d’excès : Etat, justice, salaires des footballeurs, propos arriérés du Pape, etc… ?
Même les séquestrations de patrons, qui autrefois étaient libérés par les forces de police, trouvèrent soudain grâce aux yeux des Français. Ceux qui devraient y mettre fin, n’osaient même plus tenter quoi que ce fut, tant ils comprirent que cela pouvait mettre le feu aux poudres.
Les bagarres à Strasbourg n’avaient pratiquement soulevé aucune indignation de l’opinion publique.
Tout se passait comme si, devant la monstruosité du pouvoir exécutif, les Français considéraient la loi comme délégitimée, et toutes les autorités comme caduques.
Même la violence de mes propos, et mon irrespect envers les instances dirigeantes auraient été inconcevables début 2007 et pourtant je les exprimais avec véhémence en avril 2009.
Mais, comment pouvait-il en être autrement ?
Quelque temps avant avril 2009, nul n’avait osé protester, cloué par la peur du monarque, qui, dans sa superbe, avait imposé aux médias une censure silencieuse…
Ce temps était bien révolu à cette date.
Le Président-voyou qui cyniquement avait perverti l’exercice démocratique de son mandat, mettant en place une oligarchie perverse et inique, attisa la colère sourde des masses populaires.
Plus il tentait de réprimer, plus il forçait le trait de sa mégalomanie, plus il montrait son vrai visage méprisant d’ultralibéral et plus la masse des Français perdit ses valeurs de considération de la légalité, de non-violence et de respect des « gens d’en haut »…
Comment expliquer autrement, que chaque jour des avocats se mirent à contester publiquement des décisions de justice, alors qu’avant, ils s’abstenaient de tout commentaire ?
Pourquoi, les médias osèrent-ils monter les signes ostentatoires des dénis de démocratie du fossoyeur de la république ?
Pourquoi, des particuliers, qui n’abordaient jamais les problèmes de politique, en dehors de la sphère privée, s’exprimèrent-ils, indignés, avec force, conviction et colère contre la dérive totalitaire d’un exécutif arrogant et dictateur ?
Quelle autre circonstance peut-elle expliquer, le discrédit du pouvoir, au point que les Français rejetassent toutes formes de pouvoir et d’excès : Etat, justice, salaires des footballeurs, propos arriérés du Pape, etc… ?
Même les séquestrations de patrons, qui autrefois étaient libérés par les forces de police, trouvèrent soudain grâce aux yeux des Français. Ceux qui devraient y mettre fin, n’osaient même plus tenter quoi que ce fut, tant ils comprirent que cela pouvait mettre le feu aux poudres.
Les bagarres à Strasbourg n’avaient pratiquement soulevé aucune indignation de l’opinion publique.
Tout se passait comme si, devant la monstruosité du pouvoir exécutif, les Français considéraient la loi comme délégitimée, et toutes les autorités comme caduques.
Même la violence de mes propos, et mon irrespect envers les instances dirigeantes auraient été inconcevables début 2007 et pourtant je les exprimais avec véhémence en avril 2009.
Mais, comment pouvait-il en être autrement ?
Le
Nihilisme vers lequel les Français s’acheminaient, n’était qu’une réaction, une
révolte inconsciente, qui enflât peu à peu, devant l’irrespect de la démocratie
que dévoilait le pouvoir de l'époque, un peu plus chaque jour, sans vergogne, arborant
une morgue suffisante, qui écœurait chaque jour un peu plus un bon nombre de citoyens.
Plus l’exécutif persistât dans son négationnisme de la réalité démocratique et plus le peuple niât toutes formes de pouvoir, prêt à sacrifier à la violence ce qu’on ne leur avait pas accordé dans la désespérance !
En rappel de ce souvenir, j'ajouterai qu'il n'est pas souhaitable que ce personnage revienne dans un nouveau mandat présidentiel.
Plus l’exécutif persistât dans son négationnisme de la réalité démocratique et plus le peuple niât toutes formes de pouvoir, prêt à sacrifier à la violence ce qu’on ne leur avait pas accordé dans la désespérance !
En rappel de ce souvenir, j'ajouterai qu'il n'est pas souhaitable que ce personnage revienne dans un nouveau mandat présidentiel.
Mais les Français perdent la mémoire rapidement. Qui vivra verra !
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