Le
monde est vraiment noir. Toutes les formes de tromperies et de bourrage de
crâne vont si loin dans leurs tentatives de dominer le monde, qu’il y a de quoi
désespérer quant à l’avenir de l’humanité.
Enarques,
Francs-maçons, lobbies, tous conditionnent l’opinion par du rabâchage accompagné
de diabolisation.
Chaque
adhérent à un parti s’enferme dans la logorrhée insane dont il assimile la
bouillie idéologique venimeuse.
Les
croyants à des religions sont sous l’emprise de dogmes non remis en question,
acceptés tels quels sous peine d’exclusion et de courroux céleste.
Les
athées, loin de se distinguer des autres, s’enferment dans un schéma mental
d’exclusion et lancent des anathèmes sur ceux qui ne font pas comme eux.
Les
plus infâmes, sont les négationnistes, qui pour faire passer leurs
endoctrinements et leurs pseudo démonstrations, en viennent à travestir le
passé.
Tous
ces comportements ont des relents sectaires, puisqu’ils tendent à convaincre et
dominer autrui par une sorte de lavage de cerveau, avec des arguments
fallacieux et à chaque fois en employant un pouvoir de persuasion qui va de la
diabolisation, à la menace d’exclusion ou autres moyens de pression peu amènes.
L’humain
doit-il nécessairement être aussi pervers pour tenter d’influencer son
prochain ?
Chacun
se dit, je ne suis pas concerné ‘c’est pas moi, c’est l’autre’…
Mais
s’il savait cet être humain lambda, qu’il est pris entre ceux qui lui mentent,
qui le manipulent et ceux à qui il ment, qu’il manipule ! Nous sommes tous
des relais entre les dominateurs et les autres, souvent à notre insu.
Le
phénomène sectaire est partout. C’est le processus que la société humaine a
adapté de son atavisme animal qui le pousse toujours à dominer ou à être dominé.
Clanisme,
‘tyrannisme’, puissance, pouvoir, nous n’avons guère changé, car nous sommes
toujours des animaux grégaires dominés par des pulsions instinctives, qui font
de nous des êtres dominés par désir de sécurité, ou dominateurs par envie de
puissance.
En
devenant espèce humaine, nous avons seulement ajouté à la violence physique
animale dont nous étions doté initialement, des moyens d’influences dont les
capacités plus importantes de notre cerveau, nous permettent de posséder la
perversité nécessaire à leur mise en œuvre…
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