Tu éclairais ma vie,
mais depuis ton départ, mon temps est suspendu, à ces pas dérisoires. Où donc
es-tu partie, toi qui me donnait la main et qui guidait mes pas, dans un monde
si beau. Je reste déchiré, aux portes de l'obscur, à ton image fugace, qui
s'inscrit aux nuages. Le cri de mon silence reste sans écho, à ma voix arrachée
par de tristes sanglots. Où donc es-tu ma vie, toi, que je consolais, toi qui
éclairait mes jours, toi, qui n'es plus que nuit ? Je te cherche partout, mais
tu n'es que départ, comme oiseau blessé qui s'envole aux nuages lourds de mon
coeur en orage. Si tu entends mes pleurs, aide-moi, parle-moi, ma chérie. Tu es
tout ce qui est beau, je ne suis que survie.
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