Les larmes de la vie rouges du sang de la mort, sèchent au
sol de mon désespoir. Où est la si douce jeune fleur, compagne de l’oubli, qui
était comme amie que je n’aurais pas eu ?
Elle si attachante, à l’orée de ma nuit, est partie pour toujours sans un dernier regard.
A l’aube de sa vie est une étrange histoire, que mon cœur ne sait pas, mais qu’il a bien compris. La vie me quitte, par mon corps et mon cœur et les larmes de sang inondent mes matins. Je sais une douce amitié, qui à elle me lie, torturée par l’absence au silence de mort.
La noirceur du jour, ténèbres de la nuit, ne guident plus mes pas, à l’errante destinée.
Je m’arrache les poings aux murs sombres qui m’enserrent, mais il n’est pas d’issue pour la retrouver. Les aurores de nuit, aux déchirantes heures, s’écoulent comme le sang qui s’enfuit de mon cœur.
Elle si attachante, à l’orée de ma nuit, est partie pour toujours sans un dernier regard.
A l’aube de sa vie est une étrange histoire, que mon cœur ne sait pas, mais qu’il a bien compris. La vie me quitte, par mon corps et mon cœur et les larmes de sang inondent mes matins. Je sais une douce amitié, qui à elle me lie, torturée par l’absence au silence de mort.
La noirceur du jour, ténèbres de la nuit, ne guident plus mes pas, à l’errante destinée.
Je m’arrache les poings aux murs sombres qui m’enserrent, mais il n’est pas d’issue pour la retrouver. Les aurores de nuit, aux déchirantes heures, s’écoulent comme le sang qui s’enfuit de mon cœur.
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