A l’amie, trop vite enfuie, sur un déluge de mots, disparue
dans la vie, mais présente en mon cœur. Si un jour tu voulais, sur une épaule
amie, déposer ton fardeau, je serais toujours là, pour accueillir ta peine. Mon
malheur de te perdre, amplement compensé, par le bonheur qui naît, de te savoir
heureuse. Aimer, c’est te donner, un port pour l’amitié, même si je suis à
quai, attendant le navire. Si tu es très heureuse, alors viens me le dire. Rien
ne saurait autant, aviver mon plaisir.
J’ai le cœur bien trop grand, comme une cathédrale. Et l’écho de ta voix, résonne encore en moi. Fort de ton amitié, j’allais d’un cœur léger. Sauras-tu me faire part de tes joies retrouvées ? Afin que moi aussi, je parvienne à puiser, l’énergie de survivre, par ton bonheur gagné.
J’ai le cœur bien trop grand, comme une cathédrale. Et l’écho de ta voix, résonne encore en moi. Fort de ton amitié, j’allais d’un cœur léger. Sauras-tu me faire part de tes joies retrouvées ? Afin que moi aussi, je parvienne à puiser, l’énergie de survivre, par ton bonheur gagné.
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