Écrit le 12 janvier 2020
Ces chansons de ma jeunesse, entendus à la
radio, étaient parfois chantées par mon paternel.
Mon père chantait en peignant sur ses
chantiers. Ainsi j’écoutais, les jours où j’étais avec lui, car il chantait
juste avec une voix marquée de nostalgie…
C'est
la java bleue
La
java la plus belle
Celle
qui ensorcelle
Et
que l'on danse les yeux dans les yeux
Au
rythme joyeux
Quand
les corps se confondent
Comme
elle au monde
Il
n'y en a pas deux
C'est
la java bleue…
Et quand il pensait à sa mère… (il est
d’ailleurs mort en parlant à sa mère qu’il perdit à « trois ans)… Il
chantait :
"C'est
aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici
des roses blanches, toi qui les aime tant
Va
quand je serai grand, j'achèterai au marchand
Toutes
ses roses blanches, pour toi jolie maman"
Je vais terminer par ses périodes de plus
grande gaîté :
On l'appelait Le dénicheur
Il était rusé comme une
fouine
C'était un gars qu'avait du coeur
Et qui dénichait des combines
Il vivait comme un grand
seigneur
Et quand on rencontrait sa
dame
On répétait sur toutes les
gammes
Voilà la femme à Dénicheur
Et bien entendu... Je les chante aussi...
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