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La seule maladie virale
chronique à pouvoir être guérie (Note de zalandeau : Seulement depuis quelques années).
L’hépatite C chronique concernerait moins de 200 000
personnes en France, un chiffre en constante diminution ces dernières années.
Cette maladie du foie d'origine virale reste longtemps silencieuse : elle
évolue pendant dix, vingt ou trente ans avant que de graves complications
apparaissent. Désormais, l’enjeu est de parvenir à diagnostiquer et à traiter
les personnes infectées avant ce stade. Des médicaments permettant de guérir
plus de 95% des personnes traitées sont désormais disponibles. En cela,
l’hépatite C chronique est unique : elle est aujourd’hui la seule maladie
virale chronique à pouvoir être guérie.
L’hépatite C est une maladie du foie causée par un
agent infectieux de la famille des flavivirus, le virus de l’hépatite C
(VHC). Avec l’hépatite B, elle constitue l’une des formes les plus
graves d’hépatite virale, capable d’engendrer une atteinte chronique du
foie à risque de complications graves.
En 2011, on estimait à 345 000 le nombre de personnes ayant été en
contact avec le VHC en France, et à 232 000 le nombre de porteurs chroniques du
virus. Cependant, du fait de l’efficacité et de la prescription élargie des
nouveaux traitements, ce dernier nombre est en constante diminution depuis
2014. Ainsi, en 2016, le nombre de porteurs chroniques était estimé à
193 000, dont seuls les deux tiers auraient connaissance de leur infection.
La
France a adopté une politique de santé publique particulièrement proactive
concernant le dépistage et la prise en charge de la maladie, ce qui explique la
diminution récente et constante des chiffres de prévalenceprévalenceNombre de cas
enregistrés à un temps T.. Ailleurs dans le monde, l’enjeu reste
important : 70 millions de personnes seraient chroniquement infectées - soit 1%
de la population du globe - et plus de 350 000 personnes décèderaient chaque
année des suites de cette maladie.
Des modes de contamination parfois sous-estimés
Le VHC se transmet essentiellement par voie
sanguine. Les cas de contamination par voie sexuelle sont rares et
limités aux personnes qui ont des partenaires multiples, des pratiques
sexuelles brutales et/ou sont co-infectées par le VIH. Le risque de
transmission maternofœtal est de l’ordre de 5% si le VHC est détectable dans le
sang de la mère au moment de la naissance. En pratique, la principale
voie de contamination actuelle passe par le partage de matériel entre usagers
de drogues (seringue, paille de sniff, compresse…).
Historiquement,
le virus s’est largement propagé par le biais des transfusions sanguines. La
découverte du VHC en 1989 a ensuite permis d’écarter définitivement ce risque,
au moins dans les pays industrialisés. Le virus a également pu se transmettre à
l’occasion de tatouages, de soins dentaires ou d’acupuncture réalisés avec du
matériel mal stérilisé, mais cette voie de contamination est aujourd’hui
anecdotique.
Depuis l’identification du virus, les mesures de
prévention et de dépistage ont largement permis de réduire l’ampleur de
l’infection en France : même si on ne dispose d'aucune évaluation précise
récente du nombre annuel de nouveaux cas en France, on pense que quelques
milliers de personnes contractent encore le virus chaque année, essentiellement
parmi les usagers de drogues. L’évolution récente des traitements favorise une
moindre circulation du virus et donc, potentiellement, une diminution des
nouvelles infections.
Les usagers de drogues pratiquent pour la plupart des
tests de dépistage réguliers pour le VHB, VHC et VIH. Ils sont donc souvent
diagnostiqués. Restent que les personnes n’ayant pas le sentiment d’appartenir
à un groupe à risque sont peu enclins à réaliser un dépistage : celles ignorant avoir reçu une transfusion
sanguine avant 1992, celles ayant été infectées à l’occasion d’une unique
consommation de drogue… Au total, on estime que près d’une personne
concernée sur trois, ignore qu’elle est infectée par le VHC.
Zalandeau : C’était le cas de mon Papa ! Mon père a été
contaminé dans les années 70 suite à une
très grave brûlure, à l’hôpital Saint Roch à Nice lors de transfusion de
produits sanguins. Comme le dit si bien le texte ci-dessus, l’hépatite C
n’était pas recherchée dans le sang des donneurs à l’époque.
Et ce n’est que dans les années 90, à la retraite, que sa maladie a
été diagnostiquée… Un des deux lobes de son foie était nécrosé et totalement
mort… Etant donné son âge, il n’était pas question de lui faire une greffe de
foie, ces organes étant destinés en priorité à des personnes plus jeunes, quand
au médicament il n’est apparu qu’en 2013, bien après le décès de mon père et à
un prix inabordable…
Ce qu’aucune littérature ne transcrit, c’est comment la maladie arrive
à son terme… La mort !
Les derniers jours de mon père, j’étais à l’hôpital Saint Cyr de
Villeneuve sur Lot et je m’enquis, auprès d’un médecin du service, des
symptômes qui avaient successivement frappé mon père.
Il m’expliqua alors, que depuis des mois, mon père allait tous les
quinze jours se faire retirer du liquide qui s’accumulait dans son abdomen et
que le foie ne filtrait plus… Après la nécrose totale du deuxième lobe du foie,
la maladie s’en prend à d’autres organes… Poumons, cœur et finalement le
cerveau… Parallèlement le liquide envahit tout le corps… dont les poumons… Et
le patient meurt en partie par noyade…
Me diagnosticaron portador de HEPATITIS B en 2013 con fibrosis del
RépondreSupprimerhígado ya presente. Empecé con medicamentos antivirales que
inicialmente redujo la carga viral. Después de un par de años, el virus
se volvió resistente. Comencé a investigar para una posible cura y finalmente conocí muchos Testimonios de personas que se curaron con medicinas a base de hierbas que obtuvieron de este herbolario llamado Dr. OSE .. Decidí contactarlo por correo electrónico: droseherbalhome@gmail.com, 3 días después de que me comuniqué con él sobre el tratamiento a base de hierbas para la HEPATITIS B, me envió el medicamento a través de DHL a mí en marzo de 2020.
El tratamiento revirtió totalmente el virus. Hice otro análisis de sangre después
el tratamiento de 3 meses y dio negativo al virus. Increíble
¡tratamiento! Este tratamiento es un gran avance para todos los portadores del VHB.
La hepatitis B es relativamente fácil de tratar, a diferencia de la hepatitis C.
SupprimerQue tengas un buen día