Ton petit
corps d'amour repose à mes cotés
Et je sais
un amour, si joyeux, si sublime,
Que tout le
ciel jaloux, n'en a pas cet éclat
Et de toi ma
chérie, dont je guette l'éveil,
J'ai fait
muse de mon coeur et de tous mes écrits.
Ton visage
d'enfant si pur et si gracieux,
Me donne
l'envie puissante d'un homme de vingt ans,
De te faire
l'amour, aurores de velours.
Tu glisses
dans mes veines, comme un parfum nacré,
Nos tendres
aurores de la mort en sursis,
Nous donnent
la vie de toute éternité.
Nous avons
dans le coeur comme un grand soleil,
Dont le feu
brillera encore après la vie.
La douceur
de ta peau, comme un parfum léger,
M'accompagne
au dedans, dans un futur présent.
Il n'est pas
de barrière qui n'arrête l'amour,
Que nous
avons, chérie, dans ces matins subtils,
Où ton corps
endormi, sonne mon doux réveil.
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