A la suite de mon article précédent, je constate toujours s'agissant de ma
propre personne, un très étrange paradoxe.
Je dis que j'ai dénoncé (entre autres), dans le cas de danger pour ma propre
personne...
C'est vrai ! Mais pour autant, il m'est arrivé de passer outre le danger
pour ma propre personne, pour aider quelqu'un accusé injustement, sachant
concrètement les conséquences néfastes que cela entrainerait pour moi (J'ai été
licencié).
Jamais je n'ai hésité à aller défendre une personne accusée injustement, lorsque javais la preuve et ou la connaissance de la vérité. Heureusement je n'ai pas été licencié à chaque fois que j'ai agi, je dirais, "comme un homme".
Cela a été vrai également concernant le risque vital, que j'ai pris pour porter secours à autrui.
Jamais je n'ai hésité à aller défendre une personne accusée injustement, lorsque javais la preuve et ou la connaissance de la vérité. Heureusement je n'ai pas été licencié à chaque fois que j'ai agi, je dirais, "comme un homme".
Cela a été vrai également concernant le risque vital, que j'ai pris pour porter secours à autrui.
Donc je n'ai jamais protégé ma personne à tout prix.
Je me suis protégé des malfaisants, mais j'ai pris des risques pour
des victimes.
Je crois que cette double réflexion, définit ma "morale", mon
"code de l'honneur" personnel. C'est très démodé... Tant pis, je ne
recommencerai plus.
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