Écrit le 29 février 2020
Nous avions été libéré de l’invasion arabe
par Charles Martel en 732, à Poitiers (Coluche disait « A moitié », s’appuyant sur le constat d’une présence Maghrébine grandissante…
En fait, ce n’est pas la présence
d’immigrés de confession musulmane qui pose problème en France… Le problème,
c’est la présence grandissante de certains musulmans qui ne s’intègrent pas dans le
système laïc et républicain de notre pays.
Et pourquoi donc certains ne
s’intègrent-ils pas ?
-Parce que l’immigration est de plus en
plus forte et que le pays ne parvient plus à absorber cet afflux et par voie de
conséquence, l’intégration diminue au fil de l’afflux migratoire
-Parce que nous n’avons pas de travail
pour tout le monde et avec un taux de chômage important, nous n’avons pas de
travail pour ces gens qui s’agglomèrent en sortes de Ghettos, dans lesquels
l’oisiveté les pousse vers la délinquance.
-Parce que l’islam redevient conquérant et
un islam politique s’est formé, sans opposition de la république et a projeté
de conquérir le monde et de le soumettre à sa loi barbare : Le coran et la
charia !
-Parce que cet islam politique s’appuie
sur la racaille délinquante pour faire levier sur nos institutions vacillantes,
qui reculent peu à peu, croyant faire la paix sociale, mais préparant la plus
grande défaite de notre civilisation.
-Parce que cet islam politique, en jouant
sur le registre de la victimisation, arrache des privilèges et des entrées dans
l’organisation de la société à seule fin d’en faire modifier les principes dans
le sens d’une islamisation du pays… La conquête !
-Et enfin parce que nos dirigeants ont
toujours lâché des mesures et des principes devant les musulmans, alors qu’ils
ne l’auraient pas fait pour des non musulmans…
La conquête par les islamistes et la
soumission concomitante de nos institutions a commencé depuis fort longtemps.
« Le
jalon essentiel, c’est 1973 », explique Paul-François Paoli dans son livre « Aux sources
du malaise identitaire Français » (éditions l’Artilleur).
Il poursuit : « Pour qu’il y ait des islamistes, pour qu’il
y ait un problème islamiste, il fallait qu’il y ait un terreau propice à
l’islamisme, et ce terreau, c’est immigration de masse, notamment en provenance
du Maghreb qui l’a constitué. »
En 1973, à Marseille un immigré algérien
est assassiné à la gare saint Charles. L’Algérie en représailles annonce faire
cesser toute émigration à destination de la France.
« Eh
bien, on a assisté à une levée de boucliers :Les syndicats, le patronat,
la gauche, l’Eglise, tout le monde s’est écrié : Il faut que l’immigration
continue ! »
Yves Mamou cite quatre grandes dates de la
dramaturgie de cette pièce tragique qui se joue sous nos yeux.
« Je
prends d’abord 1975, quand le GISTI (Groupe d’Information et de Soutien aux
Travailleurs Immigrés), obtient devant le conseil d’état l’annulation des
circulaires Marcellin-Fontanet de 1972 qui liaient la présence des immigrés en
France à un contrat de travail et à un logement. Par cet acte juridique [d’abrogation], le gouvernement de l’époque se voit interdit de réguler les flux
migratoires en fonction des besoins [strictement] économiques du pays. »
La conséquence c’est que toute tentative
ultérieure de limitation de l’immigration sera fustigée en tant que raciste et attentatoire aux droits de
l’homme… Comme si nous, Français, n’étions pas des hommes et n’avions pas les mêmes
droits à choisir qui entre sur notre territoire…
Autre date clé 1984 selon Yves
Mamou : « Un antiracisme de
nouvelle génération voit alors le jour, qui dissimule un authentique projet de
société où le migrant – et l’immigré musulman en particulier- cesse d’être un
travailleur en quête d’emploi pour devenir une "victime". »
Selon Mickaël Fonton : « Au nom des [prétendus] "droits" de cette victime,
l’antiracisme va remodeler la société Française. Cette dernière, qui professe
que l’attachement à la nation prime toute autre considération, cède peu à peu
le pas à une société, où non seulement l’appartenance ethnique est prise en
compte, mais où cette appartenance ethnique est génératrice de
"droits".
2002, le djihad des tribunaux : Des
procès sont intentés par des associations musulmanes pour incitation à la
haine, ou pour racisme. On se souvient de Michel Houellebecq qui avait été
poursuivi en justice pour avoir déclaré : « La religion la plus con, c’est quand même l’islam. Quand on lit
le Coran, on est effondré ». Déboutés en première instance les
plaignants avaient renoncé à faire appel.
Yves Mamou analyse : « Suivront les procès à Charlie hebdo,
pascal Bruckner, Eric Zemmour, Georges Ben Soussan, Mohammed Louizi, Riposte
Laïque… Tous ces procès sont généralement gagnés par les intellectuels
poursuivis, mais le but, est d’épuiser la critique, de réduire la liberté
d’expression, et donc, la liberté de critiquer l’islam ».
Stéphane Perrier signale qu’en 2002 au
sujet des ELCO (Enseignement de Langue et de Culture d’Origine) : « C’est un point important. Tout le
monde a oublié que ces enseignements devaient permettre aux enfants de
conserver la pratique de leur langue d’origine dans le but d’un retour au pays.
Or, quand ce but s’est évaporé, au lieu de supprimer les ELCO, on les a
conservé [ ] alors qu’il était clair qu’ils resteraient en France ! C’est
très significatif d’une renonciation au projet d’assimilation. »
Le 2 janvier 2015, dernier acte connu du
renoncement de la république, au lendemain des attentats contre Charlie hebdo
et contre l’Hyper Cacher : Mickaël Fonton écrit « Christiane Taubira, garde des sceaux, enjoint par circulaire à
tous les parquets de France, de combattre avec la plus grande vigueur, les
propos ou agissements répréhensibles, haineux ou méprisants, proférés ou commis
en raison de l’appartenance à une religion ».
« Or,
cette circulaire », poursuit
Yves Mamou, « ne part pas en guerre
contre le djihadisme, qui vient pourtant de décimer une rédaction et
d’assassiner des Juifs, mais se préoccupe de traquer toute parole hostile à
l’islam. Destinée à museler toute parole anti-islamiste – car les mots
"appartenance à une religion" ne pouvaient avoir d’autre
signification – elle n’a jamais été abrogée. »
Certes, personnellement, je pense que en
théorie, cette circulaire devait empêcher des manifestations de haine et de
racisme, mais en fait elle a protégé la déviance extrémiste de l’islam djihadiste,
ainsi que l’islam politique contre les critiques totalement justifiées que celles-ci
méritent…
Je ne m’étendrai pas sur les
méfaits de nos institutions tout au long des années post-Gaulliennes :
Conseil constitutionnel, conseil d’état, mesures gouvernementales de
regroupement familial, attribution des aides sociales sans condition, qui ont
alimenté le vortex de la pompe aspirante de cette immigration de masse, parce
que non contrôlée, qui rendent actuellement notre pays terre de colonisation d’une religion…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire