2013-05-19
Je me suis posé la question de savoir
si ma façon d'écrire dépendait du sujet ou bien des lecteurs éventuels...
L'article que je suis en train
d'écrire est un résumé. Je n'ai pas résolu cette question en en jet de plume ou
de clavier. Cela a mis un certain temps.
Je dis cela parce que la magie de ces
"posts", donne une immédiateté surréaliste à des choses qui demandent
du temps et de la réflexion...
Finalement, il ressort de mes
interrogations, que ma façon d'écrire ces "posts" est essentiellement
liée à mon humeur, à mon sentiment du moment...
Ceci tranche complètement avec ma
façon d'écrire professionnelle qui, forcément, se devait d'être non seulement
la plus objective, mais la plus sérieuse et la plus aboutie. Donc, à l'époque,
c'était bien le lectorat en premier et le sujet en second, qui imposaient mon
style d'écriture, car le seul moyen d'avoir une crédibilité était d'adopter un
mode pertinent, un mode attendu de communication, surtout s'agissant de faire
passer des idées parfois originales ou dérangeantes.
Il va de soi, que je préfère écrire
maintenant, parce que j'écris ce que je veux, comme je le veux, sur ce que je
veux, quand je le veux, sans aucune auto-contrainte...
Bon, je sais, le roi aurait dit
"nous voulons", mais je ne suis pas roi, sauf des cons.
Voila bien ci-avant, une phrase
déjantée dans ce texte plutôt sérieux. Je peux me le permettre maintenant.
C'est un avantage auquel je ne suis pas prêt à renoncer.
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