Je relis mes écrits
parfois. Et souvent, pour ne pas dire à chaque fois, je découvre des fautes
d’orthographes ou de grammaire, fautes d’inattention que je m’empresse de corriger… Ceci, sans
compter toutes les autres fautes que je ne verrais probablement jamais, comme
toutes ces bombes et obus enterrés par les guerres et qu’aucun démineur ne
découvrira… Sauf que je déteste les démineurs qui viennent sur mon terrain,
tout comme je déteste les chasseurs qui pour traverser un champ invoquent la
loi Verdeille ! J’t’en foutrais de la loi Verdeille ! Alors, les
professeurs d’orthographe qui viennent se faire mousser en donneurs de leçons,
je les em….. (Ça y est, je m’emballe encore dans le vulgaire…). Disons que ce sont mes fautes, je tiens à m'en occuper moi-même !
Ces auto-lectures, souvent de parcours rapides, me font sourire. Pourquoi ? Je crois que le style dans lequel j’écris est à l’origine de l'ironie que j'éprouve. Parfois, j’écris dans un langage plutôt châtié, parfois, je suis sur le registre populaire, trivial, grossier, argotique…
Ces différents styles cohabitent bien souvent dans le même texte, en proportions variables… C’est quand même bizarre… Mais, bien ou mal, intéressant ou inintéressant, c’est moi, entièrement moi, une personnalité étrange que je ne saurais définir…
Alors pour aussi étrange que je sois, je suis ainsi. Je dis ce que je pense, tout simplement, avec bonne ou mauvaise foi, exaltation ou recul.
Il arrive parfois que je me contredise, d’un texte à l’autre. C’est que je suis pétri de sincérités successives comme disait… Je ne sais plus qui (et je n’ai pas envie de rechercher sur Wikipédia)…
Extraits de réminiscences scolaires ? Certainement. Enfin pourquoi n’emploierais-je pas les citations que je connais et surtout qui me collent à la peau. Quand on a peu de culture, on l’étale comme du beurre sur du pain comme disait… Je ne sais toujours pas qui et je m’en fous…
Enfin, il est à noter que je parle souvent de moi. Mais de qui peut-on le mieux parler, si ce n’est de soi-même ? Tant pis pour l’égocentrisme, tant pis pour ma modestie qui n’a pas l’air d’en souffrir, probablement parce qu’elle est inexistante…
Un texte que j’écris, c’est un texte qui commence tout de suite, sous une « inspiration » immédiate, alors que j’ai de quoi écrire à ma disposition.
On peut dire que beaucoup de sujets me viennent à des moments inopportuns. Ils ne feront l’objet d’aucune formalisation, car ils s’évaporent comme nuages au soleil, sauf s’ils reviennent lorsque j’ai mon clavier sous la main…
Je n'ai pas de talent mais j'ai un style, le mien (comme tout le monde d'ailleurs)… Ça ne vaut pas tripette. Ce n’est que du Zalandeau…
Ces auto-lectures, souvent de parcours rapides, me font sourire. Pourquoi ? Je crois que le style dans lequel j’écris est à l’origine de l'ironie que j'éprouve. Parfois, j’écris dans un langage plutôt châtié, parfois, je suis sur le registre populaire, trivial, grossier, argotique…
Ces différents styles cohabitent bien souvent dans le même texte, en proportions variables… C’est quand même bizarre… Mais, bien ou mal, intéressant ou inintéressant, c’est moi, entièrement moi, une personnalité étrange que je ne saurais définir…
Alors pour aussi étrange que je sois, je suis ainsi. Je dis ce que je pense, tout simplement, avec bonne ou mauvaise foi, exaltation ou recul.
Il arrive parfois que je me contredise, d’un texte à l’autre. C’est que je suis pétri de sincérités successives comme disait… Je ne sais plus qui (et je n’ai pas envie de rechercher sur Wikipédia)…
Extraits de réminiscences scolaires ? Certainement. Enfin pourquoi n’emploierais-je pas les citations que je connais et surtout qui me collent à la peau. Quand on a peu de culture, on l’étale comme du beurre sur du pain comme disait… Je ne sais toujours pas qui et je m’en fous…
Enfin, il est à noter que je parle souvent de moi. Mais de qui peut-on le mieux parler, si ce n’est de soi-même ? Tant pis pour l’égocentrisme, tant pis pour ma modestie qui n’a pas l’air d’en souffrir, probablement parce qu’elle est inexistante…
Un texte que j’écris, c’est un texte qui commence tout de suite, sous une « inspiration » immédiate, alors que j’ai de quoi écrire à ma disposition.
On peut dire que beaucoup de sujets me viennent à des moments inopportuns. Ils ne feront l’objet d’aucune formalisation, car ils s’évaporent comme nuages au soleil, sauf s’ils reviennent lorsque j’ai mon clavier sous la main…
Je n'ai pas de talent mais j'ai un style, le mien (comme tout le monde d'ailleurs)… Ça ne vaut pas tripette. Ce n’est que du Zalandeau…
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