Écrit le 11 janvier 2020
Je ne me souviens pas des chansons, mais parfois quand
je suis occupé, mais non préoccupé, des airs reviennent et parfois les paroles
avec. Et alors, je fredonne ou je chante… Les gens me regardent… Je les emmerde
à pied, à cheval et en voiture…
Il
était un p'tit homme
Qui
s'appelait Guilleri, carabi
Il
s'en fut à la chasse
À
la chasse aux perdrix, carabi
Titi
carabi, toto carabo,
Compère
guilleri.
Te
lairas-tu, te lairas-tu,
Te
lairas-tu mouri?
Il
s'en fut à la chasse
À
la chasse aux perdrix, carabi
Il
monta sur un arbre
Pour
voir ses chiens couri, carabi...
Après en général je ne m’en souviens plus…
Il y a quelques jours, m’est revenue, une chanson que
chantait Papa (Il parait que Bouvil l’a copié, c’est un scandale)…
Il
était une fois, quoi, quoi, quoi ?
Une
poupée de velours
Qui
devenait folle d'amour
Pour
une p'tit soldat d' bois,
Qui
ma foi
Refaisait
avec chic
Le
mêm' geste automatique
Il
tenait une trompette
Mais
il ne jouait jamais rien ;
Et
constamment la pauvrette
Murmurait,
le croyant musicien :
Oh
! dis, chéri, Oh ! joue moi-z-en
D'la
trompette,
D'la
trompette
Comme
ce doit être amusant
Joue
moi-z-en, Oh ! dis joue moi-z-en
Il
s'excusait en lui disant
D'un
air bête,
Je
l' regrette
Mais
j'n'en joue pas j' vais t' dir' pourquoi
Je
suis un trompette en bois.
Je m’arrête donc là à chaque fois… Il est rare que je
me souvienne de tous les couplets.
L’autre jour me revint une chanson qu’on criait à
tue-tête dans la cour de récréation de primaire à Nice :
Calant
de Vilafranca
Per
mi crompà ’n capèu,
Mi
sièu troumpà de pouòrta
Sièu
entrat au bourdèu.
La
femma dòu bourdèu
M’a
dich moun Dio qu’es bèu
M’a
fa calà li braia
Pi
m’a suçà le zéo…
C’est vraiment à l’école primaire qu’on fait notre
éducation !
Cela fait du bien, finalement, ça détend, si je puis
dire
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