Écrit le 20 octobre 2013
Au cours de ma vie professionnelle, j'ai vu beaucoup de SDF. Un grand nombre d'entre eux sont Français. Il y a des petites vieilles qui touchent le minimum vieillesse. Des quantités de chômeurs sont en fin de droit. Magasiniers, ouvriers, employés jetés à la rue par la mondialisation, des millions de Français se retrouvent dans la précarité et souvent dans la misère, bien en dessous du seuil de pauvreté.
Hélas, aucun Français n'aide un autre Français. Même la famille coupe les ponts avec la brebis galeuse (contrairement aux étrangers qui s'entraident), laissant l'entraide au soin des pouvoirs publics...
Par contre, qu'est-ce qu'elles sont charitables ces bonnes âmes Françaises de l’extrême gauche qui accordent généreusement l'argent public à des étrangers sans papiers venus simplement chercher l'argent mais pas le travail !
Et bien, que ces bonnes âmes les aident avec leur argent, qu'ils les logent chez eux, qu'ils partagent leur nourriture avec eux, mais sans recourir à l'argent public de la France. Pourquoi ont-ils tant de compassion pour les sans-papiers et si peu pour leurs compatriotes ? C'est un grand mystère.
Les logements sont attribués en priorité aux étrangers, alors que des Français pauvres attendent en vain pour se loger.
Une famille de sans-papiers composée de deux parents et 3 enfants reçoit plus de 1800 euros/mois. Avec cet argent on pourrait donner 200 euros de plus à trois vieux retraités miséreux, on pourrait donner 200 euros à 1 chômeur en fin de droit et on pourrait créer un emploi de proximité à 800 euros à temps partiel.
Où est la solidarité républicaine, lorsqu'on laisse nos nationaux sur le carreau pendant qu'on distribue les deniers publics à tous ceux qui parviennent à poser le pied ou à scolariser un enfant sur le territoire Français ?
Les gauchistes en aidant leurs "frères" étrangers font le jeu du capitalisme par la mise en concurrence des travailleurs.
Notre démocratie a su créer le regroupement familial, signer le traité de Schengen, accorder les prestations sociales et l'école aux sans-papiers, mais elle se sait pas supprimer ce qu'elle a créé.
Ces mesures avaient été prises dans une période faste d’excédent budgétaire, de croissance, de demande de main d’œuvre.
Autrefois, les gens venaient en France pour travailler et ils créaient de la richesse.
Maintenant les gens viennent en France pour percevoir et profiter des aides sociales et en plus en se foutant de notre gueule. Ils considèrent avoir tous les droits et aucun devoir. Et pour les remerciements, nous avons droit à un bras d'honneur dans le meilleur des cas... Ils nous apportent aujourd'hui de la misère.
Nous avons l'imbécilité de continuer cette distribution infâme au détriment du petit peuple Français.
Nous Français, devons être solidaires des Français et pas de tous les habitants de la planète.
Que se passera-t-il lorsque 7 milliards d'étrangers miséreux s'inviteront en France pour percevoir leur part du gâteau ?
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