Écrit le 26 octobre 2013
Il va sans dire que nous préférons être fier de certains actes que nous avons accomplis dans notre vie.
Vaut-il mieux connaître la gloire de la
célébrité, ou bien être fier de certains actes que l’on a accomplis ?
Paraitre ou
être ?
La gloire est éphémère. Elle est vorace en
énergie d’actes sans valeur, pour perdurer.
C’est une illusion qui tourne la tête et qui laisse nombre d’individus dans des états psychologiques précaires, lorsque la gloire les a quittés.
Nombre de stars, se sont adonnés à des paradis artificiels, ou se sont donnés la mort, soit par le stress de se maintenir vedette, soit par le vide de l’anonymat qui suit la gloire passée.
C’est une illusion qui tourne la tête et qui laisse nombre d’individus dans des états psychologiques précaires, lorsque la gloire les a quittés.
Nombre de stars, se sont adonnés à des paradis artificiels, ou se sont donnés la mort, soit par le stress de se maintenir vedette, soit par le vide de l’anonymat qui suit la gloire passée.
Il va sans dire que nous préférons être fier de certains actes que nous avons accomplis dans notre vie.
Actes de courage, parfois de témérité,
triomphe sur soi-même, équité dans l’exercice d’un pouvoir sont des actes qui
restent gravés à jamais dans notre mémoire.
Certes, il peut y avoir quelques actes
dont on n’est pas très fiers. D’autres, dont on ne saura jamais si le choix que
l’on a fait était le meilleur ou pas, dans des situations difficiles où il
fallait décider et agir vite et en toute objectivité.
Car le dilemme est bien celui-ci : Nous sommes pris en permanence entre l’objectivité froide, nécessaire et notre subjectivité.
La subjectivité peut être le meilleur ou le pire de notre être profond.
Car le dilemme est bien celui-ci : Nous sommes pris en permanence entre l’objectivité froide, nécessaire et notre subjectivité.
La subjectivité peut être le meilleur ou le pire de notre être profond.
Lorsqu’elle s’exerce sur nous même ou sur
quelqu’un qu’on préfère, l’on risque d’être particulièrement injuste envers les
autres. Il s’agit alors de partialité, inéquitable dont hélas le monde est
rempli chaque jour.
Lorsque par contre, la subjectivité
consiste à faire passer en premier un noble sentiment (justice, charité) avant
l’objectivité qui tendrait à traiter tous de manière égale, dans ce cas elle
est motrice d’actes justes dont on peut légitiment s’enorgueillir.
Avons-nous commis bien plus d’actes gratifiants envers les autres, que d’actes méprisables ?
Avons-nous commis bien plus d’actes gratifiants envers les autres, que d’actes méprisables ?
Avons-nous reçu beaucoup plus
d’injustices, que de reconnaissance ?
Avons-nous été très injustes envers
nous-mêmes, pour nous être négligés trop longtemps ?
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